Lorsque nous nous croisons devant les boites aux lettres de ma résidence, son parfum emplit le hall, créant une opportune atmosphère de sensualité. Elle doit avoir 19-20 ans. Un peu jeune pour moi mais le désir ne se contrôle pas. Etudiante probablement. A première vue elle est plutôt banale. Petite, ronde, avec de jolis cheveux blonds vénitiens, une belle peau fraiche et laiteuse parsemée de quelques taches de rousseur, de jolies joues et de belles dents blanches.
Je suis troublé lorsque nous nous effleurons involontairement. Le rouge lui monte aux joues. Le trouble est manifestement partagé. Je la trouve charmante et désirable. Je la suis dans le couloir qui mène à l’ascenseur, le regard posé sur ses fesses rebondies avantageusement mises en valeur dans son jean moulant. Des premières bouffées de pulsion sexuelle m’envahissent. Sa voix douce et son apparente innocence n’y sont pas étrangères.
Moi qui préfère habituellement prendre l’escalier, j’opte pour une fois pour la promiscuité érotique de l’ascenseur. Les portes s’ouvrent instantanément devant nous, évitant le malaise de l’attente. Dommage. Nous allons au même étage. Nos épidermes se frôlent de nouveau au moment d’appuyer sur le bouton. Cette fois ces effleurements sont intentionnels de ma part. Son parfum m’enivre. Je suis saisi d’une violente envie de plonger ma tête entre ses cuisses, de la prendre contre le mur, là maintenant.
Alors que je la dévisage, la déshabille du regard, elle baisse les yeux au sol. Est-elle si innocente qu’elle en a l’air ? Combien de queues a-t-elle déjà eu en bouche ? Je m’imagine volontiers dans le rôle de l’initiateur un brin sadique, du mentor de débauche. S’imagine-t-elle les pensées qui traversent mon esprit ? Non bien sûr... Je me laisse envahir par des visions voluptueuses de ses taches de rousseurs, de ses gros seins ronds entre lesquels je glisserais ma queue, de ma bouche dévorant son sexe poilu sentant la savonnette, de ma queue disparaissant entre ses fesses blanches. Un pur moment de sublimation et de divigation.
Nous sommes lancés dans un torride 69. Sa bouche virginale avale ma queue avec gourmandise et ma langue fouille son anus lorsque les portes de l’ascenseur s’entre-ouvrent et me rappellent à la réalité. Elle sort la première de l’ascenseur. Je la suis dans le couloir. Je bande. Arrivée devant la porte de son appartement, elle me lance un chaleureux «bonne soirée». Une demi-seconde j’envisage sérieusement de l’inviter à prendre un verre.
Une prochaine fois peut-être.
Je suis troublé lorsque nous nous effleurons involontairement. Le rouge lui monte aux joues. Le trouble est manifestement partagé. Je la trouve charmante et désirable. Je la suis dans le couloir qui mène à l’ascenseur, le regard posé sur ses fesses rebondies avantageusement mises en valeur dans son jean moulant. Des premières bouffées de pulsion sexuelle m’envahissent. Sa voix douce et son apparente innocence n’y sont pas étrangères.
Moi qui préfère habituellement prendre l’escalier, j’opte pour une fois pour la promiscuité érotique de l’ascenseur. Les portes s’ouvrent instantanément devant nous, évitant le malaise de l’attente. Dommage. Nous allons au même étage. Nos épidermes se frôlent de nouveau au moment d’appuyer sur le bouton. Cette fois ces effleurements sont intentionnels de ma part. Son parfum m’enivre. Je suis saisi d’une violente envie de plonger ma tête entre ses cuisses, de la prendre contre le mur, là maintenant.
Alors que je la dévisage, la déshabille du regard, elle baisse les yeux au sol. Est-elle si innocente qu’elle en a l’air ? Combien de queues a-t-elle déjà eu en bouche ? Je m’imagine volontiers dans le rôle de l’initiateur un brin sadique, du mentor de débauche. S’imagine-t-elle les pensées qui traversent mon esprit ? Non bien sûr... Je me laisse envahir par des visions voluptueuses de ses taches de rousseurs, de ses gros seins ronds entre lesquels je glisserais ma queue, de ma bouche dévorant son sexe poilu sentant la savonnette, de ma queue disparaissant entre ses fesses blanches. Un pur moment de sublimation et de divigation.
Nous sommes lancés dans un torride 69. Sa bouche virginale avale ma queue avec gourmandise et ma langue fouille son anus lorsque les portes de l’ascenseur s’entre-ouvrent et me rappellent à la réalité. Elle sort la première de l’ascenseur. Je la suis dans le couloir. Je bande. Arrivée devant la porte de son appartement, elle me lance un chaleureux «bonne soirée». Une demi-seconde j’envisage sérieusement de l’inviter à prendre un verre.
Une prochaine fois peut-être.
23 commentaires:
J'ai hate que vous l'invitiez... et que vous nous racontiez la suite (par la même occasion.)
Que d'excitation et de promesses dans ces quelques aveux...Pourquoi ne pas franchir le pas ?...sourire
Vous parlez de son innocence Kinky mais vous avez là des emballements de puceau ! En même temps, l'on sent bien dans vos délires que vous n'êtes pas né de la dernière pluie... Amusant ce contraste. Nous verrons bientôt, enfin je l'espère, si finalement c'est bien elle la pucelle de l'affaire ...
@ miss pelisse & volcane :
Comme si j'étais du genre à raconter !
@ gicerilla :
Mdr... Il y a un peu de ça... D'une certaine façon je me sens puceau à nouveau...
Puceau maintenant ? Naaan ! On aura tout vu/lu !
Ha ! les occasions manquées... On se sent couvert de regret ! Mais comme tu le laisse entendre, tout n'est pas perdu ! Une tite jeune comme ça... Une petite gourmandise ;-)
Doux baisers
Oui l'inviter a prendre un verre et déguster des pates au basilic?(sourire)
baisers
Armandie
Un défi, une promesse, une envie...
aliana
Comment ? Vous n'êtes pas ici pour nous raconter vos histoires de fesses ?
Je suis déçue, déçue, déçue...
...et bien qu'attendre pour se lancer ???
....en tout cas j'ai pu imaginer l'atmosphère de l'ascenseur...y'en a qui on dû suer avant de sortir !! lol
bises
J'ai hate que tu te rendes compte qu'il te manque un ingrédient pour une recette ou une dose de soupe en sachet - fou rires.
Il ne te manquerait pas un tout petit peu de chocolat, de la chantilly peut-etre... A moins que tu sois un adepte du miel...
sourires
@ papier froissé :
Gicerilla disait que j'avais des fantasmes de puceau, pas que je l'étais ;-)
@ ange :
C'était plus une pulsion du moment, un retour en force quasi-printanière de ma libido... pas de regrets.
@ armandie :
Excellente idée !
@ aliana :
Tout cela à la fois
@ miss pelisse :
Pas queue...
@ cheyenne :
Mais je ne saute pas sur tout ce qui bouge ! Rires...
@ aliana :
Il manque TOUJOURS quelque chose en cuisine ;-)
L'ascenseur est décidément un lieu de hauts fantasmes...j'y réfélchirai à deux fois quand j'en reprendrai un avec un homme à l'intérieur...sourire
@ noir intense 35 :
Comme si vous l'ignoriez !
Monter les escaliers quotidiennement ça fait de belles cuisses...mais prendre l'ascenseur, ça fait de belles histoires!
Un homme et une femme dans un ascenseur et chabadabada...
Un homme qui fantasme sur une jeune fille ne fantasmerait-il pas sur ce qu'il pourrait lui apprendre ? ;-)
et bien...je crois que je préfère imaginer tous les scénarios possibles...
c'était le but...n'est-ce pas?
Kahina.
hum...Si elle avait pu déviner vos pensées..sans nul doute, vous auriez quitté l'ascenseur dans le même état!
!
J’ai un ascenseur qui tombe souvent en panne dans ma résidence….bon je n’ai plus 20 ans mais je suis sûr d’une chose, c’est que je fais plus jeune que mon age….donc si le cœur vous en dit…
Doux Baisers Aériens
@ arthémisia :
Rires... Je prends habituellement les escaliers et il est vrai que j'ai de fort jolies cuisses.
@ claireinconfessions :
Assurément !
@ kahina :
Of course
@ athena :
Probablement. Rires...
@ vennusse :
Si un jour je viens par chez vous nous prendrons l'ascenseur ;-)
(hm, de belles cuisses oui... si j'en crois vos jolies photos... ;) )
Le tout c'est de ne pas regretter de n'avoir pas profiter d'une belle occasion.
@ miss s :
Les occasions il faut savoir les provoquer ;-)
Haaaaa, ces scènes d'ascenceur... j'adore! Quel lieu érotique! Vraiment agréable à lire ce passage! Ca fait sourire!
Rosie rose
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