Je viens d’avoir quatre ans. Je suis sous le charme d’une petite anglaise nommée Suzy. Sur la plage il y a des dizaines d’enfants de mon âge et pourtant je reviens invariablement vers cette fille qui ne comprend pas un mot de ce que je lui dis. Elle est mignonne Suzy. Jolie blonde aux yeux bleus. Quelque chose comme une Mariel Hemingway modèle enfant. Nous faisons des pâtés de sable, je l’invite sur mon bateau gonflable. On ne se comprend toujours pas et pourtant on rigole bien. Et puis un matin plus de Suzy. Pas plus le matin suivant. Première peine de cœur.
Eté de mes sept ans. Je joue les funambules, j’escalade les rochers pour atteindre la petite crique où quelques jolis bateaux viennent jeter l’encre pour la journée et où j’aime plonger. Je tombe sur deux femmes nues qui se sont isolées pour bronzer loin des regards. Je reste un moment à les regarder, fasciné et intrigué. Les jours suivants j’y emmène des copains. Bien sûr il n’y a personne et je passe pour un mytho. Mais j’ai des souvenirs plein la tête.
L’été de mes huit ans j’ai sympathisé avec un garçon de deux ans plus vieux que moi qui m’initie au baby-foot et me laisse regarder le magazine porno qu’il a planqué quelque part derrière la cabane des CRS chargés de surveiller la baignade. Les photos de ces créatures peu farouches ouvrant les cuisses sont une révélation. Il faut dire que dans mon imaginaire de petit garçon qui n’ose pas demander à sa mère comment on fait les bébés, le sexe des femmes se trouvait au milieu du pubis, caché derrière les poils. J’observe et reste circonspect devant ces sexes de femmes dont la complexité est effroyablement intimidante. De toute façon les filles m’intéressent bien moins que le football.
Je dois avoir 10 ans. On s’est arrêtés quelques jours dans la famille avant de descendre sur la côte provençale. On est toute une bande de gamins à jouer dans la grange. Un cousin parvient à convaincre la fille des voisins de nous montrer ce qu’il y a dans sa culotte. J’ai déjà vu celle de ma cousine, je ne suis pas impressionné. Je le suis plus par mon cousin qui n’hésite pas une seconde avant de se déboutonner. Je crois que je l’envie d'oser.
Eté de mes douze ans. Le réveil violent de mes hormones a lieu le jour de mon entrée au collège en voyant Virginie, la blonde pulpeuse de la 6ème7 qui porte toujours des sous-pulls hyper moulants. Avec un copain on essaie de draguer un peu sur la plage. Il est aussi timide que moi. Une catastrophe. La première pelle attendra. De toute façon aucune n’est aussi jolie que Virginie, mon amoureuse secrète qui préfère les garçons qui ont une mobylette.
Les choses se passent mieux l’année suivante. On est une super bande de potes. J’ai pris un peu d’assurance depuis qu’Isabelle, une belle redoublante de ma classe, m’a laissé glisser ma langue dans sa bouche, sans manifester le moindre signe de dégout. Cet été là je connais mon premier vrai amour de vacances. Sortez les violons. Je pratique avec beaucoup d’assuidité la masturbation que j’ai découvert quelques mois plus tôt, en m’imaginant me faire dépuceler par la mère de la fille qui me laisse parfois toucher ses seins. Ce fantasme d'une initiation par une femme mûre m'accompagnera un bon moment.
Eté de mes sept ans. Je joue les funambules, j’escalade les rochers pour atteindre la petite crique où quelques jolis bateaux viennent jeter l’encre pour la journée et où j’aime plonger. Je tombe sur deux femmes nues qui se sont isolées pour bronzer loin des regards. Je reste un moment à les regarder, fasciné et intrigué. Les jours suivants j’y emmène des copains. Bien sûr il n’y a personne et je passe pour un mytho. Mais j’ai des souvenirs plein la tête.
L’été de mes huit ans j’ai sympathisé avec un garçon de deux ans plus vieux que moi qui m’initie au baby-foot et me laisse regarder le magazine porno qu’il a planqué quelque part derrière la cabane des CRS chargés de surveiller la baignade. Les photos de ces créatures peu farouches ouvrant les cuisses sont une révélation. Il faut dire que dans mon imaginaire de petit garçon qui n’ose pas demander à sa mère comment on fait les bébés, le sexe des femmes se trouvait au milieu du pubis, caché derrière les poils. J’observe et reste circonspect devant ces sexes de femmes dont la complexité est effroyablement intimidante. De toute façon les filles m’intéressent bien moins que le football.
Je dois avoir 10 ans. On s’est arrêtés quelques jours dans la famille avant de descendre sur la côte provençale. On est toute une bande de gamins à jouer dans la grange. Un cousin parvient à convaincre la fille des voisins de nous montrer ce qu’il y a dans sa culotte. J’ai déjà vu celle de ma cousine, je ne suis pas impressionné. Je le suis plus par mon cousin qui n’hésite pas une seconde avant de se déboutonner. Je crois que je l’envie d'oser.
Eté de mes douze ans. Le réveil violent de mes hormones a lieu le jour de mon entrée au collège en voyant Virginie, la blonde pulpeuse de la 6ème7 qui porte toujours des sous-pulls hyper moulants. Avec un copain on essaie de draguer un peu sur la plage. Il est aussi timide que moi. Une catastrophe. La première pelle attendra. De toute façon aucune n’est aussi jolie que Virginie, mon amoureuse secrète qui préfère les garçons qui ont une mobylette.
Les choses se passent mieux l’année suivante. On est une super bande de potes. J’ai pris un peu d’assurance depuis qu’Isabelle, une belle redoublante de ma classe, m’a laissé glisser ma langue dans sa bouche, sans manifester le moindre signe de dégout. Cet été là je connais mon premier vrai amour de vacances. Sortez les violons. Je pratique avec beaucoup d’assuidité la masturbation que j’ai découvert quelques mois plus tôt, en m’imaginant me faire dépuceler par la mère de la fille qui me laisse parfois toucher ses seins. Ce fantasme d'une initiation par une femme mûre m'accompagnera un bon moment.
5 commentaires:
Comme c'est touchant...
;)
Mais comment donc sera la seconde partie ?...
@ miss s :
Pire...
J'attends de voir...
:)
j'ai passé un bon moment à lire tes derniers articles (merci d'être repassé chez moi, ce qui m'a guidé jusqu'à toi). Je m'arrête sur celui ci pour laisser un comm, car j'ai bien aimé cette première partie. Et en plus cela me fait imaginer la suite.
baisers
Armandie
@ armandie :
Merci ! Revenez quand vous voulez
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