S’il y a une chose que je ne m’attendais pas à faire un jour, c’est bien baiser une fille avec un rottweiler tatoué sur l’épaule. C’est le charme de ses soirées, on partage quelques moments (de plaisir) entre personnes qui s’ignorent dans la vie de tous les jours. Le cadre sup et la caissière de Prisunic. L’agent de sécurité et la directrice des ressources humaines. Tous des corps désirants. Tous sur un même pied d'égalité.
Si une barrière persiste parfois c’est celle de l’âge. Dans ce joli loft sous les toits, une dizaine de couples et quelques électrons libres font connaissance autour d’un verre. Une moitié de late vingtenaires et early trentenaires, l’autre de quadras. Deux clans qui s’ignorent et ne se mélangent pas. Les vieux sont lourds me dit la jeune brune dont je caresse l’entrecuisse. Il est vrai que malgré leur ascendant social, ils sont parfois un peu trop portés sur l’humour grivois. Les jeunes mecs n’ont pas un regard. Ignorent-ils que c’est dans les belles quadragénaires qu’on fait les meilleures pipes ?
Lorsque je franchis la frontière invisible pour rejoindre sur un canapé une blonde aux jolies formes qui se remet de puissantes étreintes que j’ai suivies du coin de l’œil, je suis accueilli avec un sourire de surprise amusée par le petit groupe qui l’entoure. Madame hésite un peu avant de me déshabiller et de me prendre en bouche, comme si ce qu’elle allait faire était interdit en ces lieux. Apartheid absurde. Petit pincement au cœur.
Son homme parait amusé et excité par la situation, semble-t-il inédite. « Tout à l’heure je veux que tu la baises » me dit-il. Tout à l’heure c’est lorsque la mezzanine sera libre. Je lis un « nous aussi on aimerait bien » dans le regard des deux femmes assises en face de nous et qui ne perdent rien du spectacle de ma queue avalée par cette bouche gourmande. L’une d’elle, brune, un peu ronde et intimidée, me fixe un long moment droit dans les yeux. D’un petit geste de la tête je l’invite à nous rejoindre pour une pipe à deux bouches. En quelques minutes elles me mènent à l’extase. Je jouis sur les seins de la brune.
Temps mort.
Au bar je raconte à un jeune gars intimidé par les lieux le joli moment que je viens de vivre. Je rêve du grand mélange. Mais rien à faire, il est dans un autre trip et a déjà choisi sa proie. Une jeune blonde élancée au look de lolita perverse : jupe écossaise, chemise blanche nouée au dessus du nombril, couettes et… tatouage sur l’épaule. Je ne peux lui en vouloir, elle a un petit cul d’enfer.
Retour dans le camp des trentenaires.
Je me laisse entrainer par un petit groupe au sein duquel la lolita n’est pas la plus timide. Son amie, chaleureuse petite brune, me redonne vigueur en promenant sa langue sur mon sexe lorsque j’aperçois mes deux fellatrices prendre l’escalier qui mène à la mezzanine. Je me promets de les rejoindre un peu plus tard. Avant de perdre toute notion du temps.
Parfois leurs râles parviennent jusqu’à mes oreilles malgré la musique à plein tube, comme une invitation à les rejoindre. Mais pas facile de quitter des corps qui vous aimantent. Lorsque je rejoins la mezzanine accompagné de la maitresse des lieux, de lolita et de son amie (ainsi que de leurs compagnons respectifs), mes jolies quadras sont en train de se rhabiller. Trop tard. Je sens dans leur voix une pointe d’amertume. J’ai trahi un espoir de pont transgénérationnel.
Sur la mezzanine, les corps se mélangent, se caressent, se lèchent, se sucent, s’abandonnent… les têtes tournent, les mains explorent, les sexes s’offrent, les bouches prennent… dans cette profusion je donne et m’abandonne.
Si une barrière persiste parfois c’est celle de l’âge. Dans ce joli loft sous les toits, une dizaine de couples et quelques électrons libres font connaissance autour d’un verre. Une moitié de late vingtenaires et early trentenaires, l’autre de quadras. Deux clans qui s’ignorent et ne se mélangent pas. Les vieux sont lourds me dit la jeune brune dont je caresse l’entrecuisse. Il est vrai que malgré leur ascendant social, ils sont parfois un peu trop portés sur l’humour grivois. Les jeunes mecs n’ont pas un regard. Ignorent-ils que c’est dans les belles quadragénaires qu’on fait les meilleures pipes ?
Lorsque je franchis la frontière invisible pour rejoindre sur un canapé une blonde aux jolies formes qui se remet de puissantes étreintes que j’ai suivies du coin de l’œil, je suis accueilli avec un sourire de surprise amusée par le petit groupe qui l’entoure. Madame hésite un peu avant de me déshabiller et de me prendre en bouche, comme si ce qu’elle allait faire était interdit en ces lieux. Apartheid absurde. Petit pincement au cœur.
Son homme parait amusé et excité par la situation, semble-t-il inédite. « Tout à l’heure je veux que tu la baises » me dit-il. Tout à l’heure c’est lorsque la mezzanine sera libre. Je lis un « nous aussi on aimerait bien » dans le regard des deux femmes assises en face de nous et qui ne perdent rien du spectacle de ma queue avalée par cette bouche gourmande. L’une d’elle, brune, un peu ronde et intimidée, me fixe un long moment droit dans les yeux. D’un petit geste de la tête je l’invite à nous rejoindre pour une pipe à deux bouches. En quelques minutes elles me mènent à l’extase. Je jouis sur les seins de la brune.
Temps mort.
Au bar je raconte à un jeune gars intimidé par les lieux le joli moment que je viens de vivre. Je rêve du grand mélange. Mais rien à faire, il est dans un autre trip et a déjà choisi sa proie. Une jeune blonde élancée au look de lolita perverse : jupe écossaise, chemise blanche nouée au dessus du nombril, couettes et… tatouage sur l’épaule. Je ne peux lui en vouloir, elle a un petit cul d’enfer.
Retour dans le camp des trentenaires.
Je me laisse entrainer par un petit groupe au sein duquel la lolita n’est pas la plus timide. Son amie, chaleureuse petite brune, me redonne vigueur en promenant sa langue sur mon sexe lorsque j’aperçois mes deux fellatrices prendre l’escalier qui mène à la mezzanine. Je me promets de les rejoindre un peu plus tard. Avant de perdre toute notion du temps.
Parfois leurs râles parviennent jusqu’à mes oreilles malgré la musique à plein tube, comme une invitation à les rejoindre. Mais pas facile de quitter des corps qui vous aimantent. Lorsque je rejoins la mezzanine accompagné de la maitresse des lieux, de lolita et de son amie (ainsi que de leurs compagnons respectifs), mes jolies quadras sont en train de se rhabiller. Trop tard. Je sens dans leur voix une pointe d’amertume. J’ai trahi un espoir de pont transgénérationnel.
Sur la mezzanine, les corps se mélangent, se caressent, se lèchent, se sucent, s’abandonnent… les têtes tournent, les mains explorent, les sexes s’offrent, les bouches prennent… dans cette profusion je donne et m’abandonne.
31 commentaires:
Je me demande comment j'ai fait pour douter, je te reconnais bien au coeur de l'action :D
le tatouage il avait une museliere
@ a@t :
Je crois que c'est le style que vous avez reconnu, parce que vous ne m'y avez encore jamais vu au coeur de l'action (Sourire).
Quelle scène exquise, si tu me donnes l'adresse, la prochaine fois je serai là aussi :) Bises coquines Kinky
@ coquine :
Merci. Attention, je ne prends pas les invitations à la légére ;-)
"c’est dans les belles quadragénaires qu’on fait les meilleures pipes" ?
Tiens donc !
Inutile de dire que j'aime ta poésie!
@ délice :
Il existe fort heureusement des femmes qui acquièrent cette expertise avant les 40 ans.
Kinky,
si tu me donnes l'adresse, la prochaine fois, moi aussi je serai là.
Et j'espère bien que tu ne prends pas mon invitation à la légère.
@ CUI :
Connaissant votre réputation, je ne risque pas de la prendre à la légère ;-)
:)
C'est marrant, dès que vous n'êtes plus seul en scène, plus personne ne se bouscule au portillon !
C'est que je vous aurai bien accompagné moi !
@ effrontée :
Rires...
Mais pourquoi pas...
Charmante soirée dites donc.
On est preneur pour l adresse :)
Arggg ns sommes trops loin !
Un texte tres bien pondu une fois encore.
Vos voyages érotiques sont delicieux.
@ x-addict :
Merci pour le compliment. Cette adresse je la tiens absolument secrète. Rires...
Salut Kinky,
J'adore ton blog et ta façon d'écrire. Cela fait 1 sem que je me ballade chez toi et je suis emballée total par ton style.
Ton debriefing m'a bien fait rigoler,
continue, les femmes adorent rire !
bisoux
Choupa
@ choupa&choup :
Bienvenue et merci, cela fait plaisir que l'on note que sur ce blog il y a de l'humour aussi.
Et votre blues post-partouze, ça en est où ?
@ nivalane :
Passé, depuis un moment...
Plus je vous lis et plus je me dis "qu'est-ce qu'on s'ennuie ici !" Y'a pas à dire, il faut que je déménage...
@ gicerilla :
Ne croyez pas que chez nous ce soit la fête permanente ;-)
Ben finalement ça m'étonne pas du tout que vous ayez le blues... Vous l'avez bien cherché !
bel endroit...belle plume...humour craquant...désopilant...
situation parfaitement excitante...
bien à toi...
@ miss pelisse :
Vous trouvez ?
@ kahina l'insoumise :
Merci pour vos compliments (je vais rougir) et bienvenue !
J'ai oui dire (sourir) que j'avais acquis l'expérience que les femmes n'ont qu'à 40 ans :)
Je découvre votre blog et je prend un grand plaisir à vous lire....mon esprit aussi d'ailleurs. Elles ont l'air intéréssantes vos soirées :-))
Bises à vous et à bientôt.
@ vennusse :
Cela doit donc être vrai (sourire).
Merci et revenez quand vous voulez.
Il est vrai qu'il faut se méfier des femmes tatouée sur l'épaule...
;)
Décidément, ce jeune homme a beaucoup de talent ;-)
Voilà une soirée où tu n'as pas dû t'ennuyer...dit la post-trentenaire que je suis...sourire
@ miss s :
(Sourire)
@ mn :
Merci !
@ noir intense 35 :
Je ne me suis en effet pas ennuyé une seule seconde répond le trentenaire et des poussières ;-)
belle soirée... où il apparait que les limites des un(e)s finissent par tomber... pour le plaisir de tous !
Quel contraste avec le moment présent... mon moteur à fantasmes s'est engagé à plein régime ! (sourire) Vous en passez de drôles de soirées vous, merci de les offrir à lire ;-) Une trentenaire et des poussières (si peu ^^)
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