La monogamie est un sacré défi. Deux mois d’exclusivité. Deux mois sans rendez-vous secrets chargés d’adrénaline, sans fière érection devant une nuée de corps emmêlés, ni nouveau cul à dévorer. Une nouvelle aventure. Mi-choisie, mi-subie. Est-ce que ça me manque ? Oh que oui ! Pas plus tard qu’hier j’ai failli craquer pour un sosie à peine majeure de Kim Kardashian (les amateurs d’arrière-trains sauront de quoi je parle). C’est amusant de constater combien les opportunités sont nombreuses lorsque vous n’êtes pas disponible, combien la drague devient facile.
Je suis loin d’être à plaindre. J’ai passé deux mois bien remplis, avec Petite Brune de plus en plus demandeuse de sexe direct, brut et bestial. Je me réjouis que nous ayons réussi – pour l’instant – à nous préserver de cette routine sexuelle qui mine tant de couples malgré des obstacles importants au quotidien. Dommage qu’elle soit toujours aussi peu encline à se laisser séduire par une sexualité libre. Si nos attaches et nos affinités n’étaient pas si fortes tout serait plus facile.
Je suis un fervent défenseur de l’adultère et des étreintes illicites. Mais il peut parfois pomper beaucoup d’énergie, dépensée en organisation. Et en stress. Sensation nouvelle pour moi. J’y ai laissé quelques forces. Vue du bon côté de la lorgnette, la monogamie peut-être intéressante (à court termes) pour ce qu’elle stimule. Le manque et la frustration qu’elle génère chez l’incurable pluraliste font naitre des désirs nouveaux, de nouveaux fantasmes.
Le nomadisme sexuel me manque. A nouveau. Car je suis passé pas loin de devenir un de ces libertins blasés baisant mécaniquement et sans joie, qui me désolent lorsque je les croise en club. Très prometteuse sur le papier, ma dernière aventure hors couple fut plutôt fade malgré une partenaire de jeu ravissante, des liens, une cravache et du champagne. Mais je n’y étais pas vraiment. Un break s’imposait.
Le jeu, l’inconnu, l’indécent, le fulgurant, l’imprévu, le déstabilisant me manquent. Ils sont des épices indispensables à mon épanouissement. Les envies de nouvelles complicités, de nouveaux corps sont énormes. A l’instant même où j’écris ces lignes une furieuse envie de lécher une chatte inconnue me noue le bas-ventre. Mais je résiste.
Pour l’instant.
Je suis loin d’être à plaindre. J’ai passé deux mois bien remplis, avec Petite Brune de plus en plus demandeuse de sexe direct, brut et bestial. Je me réjouis que nous ayons réussi – pour l’instant – à nous préserver de cette routine sexuelle qui mine tant de couples malgré des obstacles importants au quotidien. Dommage qu’elle soit toujours aussi peu encline à se laisser séduire par une sexualité libre. Si nos attaches et nos affinités n’étaient pas si fortes tout serait plus facile.
Je suis un fervent défenseur de l’adultère et des étreintes illicites. Mais il peut parfois pomper beaucoup d’énergie, dépensée en organisation. Et en stress. Sensation nouvelle pour moi. J’y ai laissé quelques forces. Vue du bon côté de la lorgnette, la monogamie peut-être intéressante (à court termes) pour ce qu’elle stimule. Le manque et la frustration qu’elle génère chez l’incurable pluraliste font naitre des désirs nouveaux, de nouveaux fantasmes.
Le nomadisme sexuel me manque. A nouveau. Car je suis passé pas loin de devenir un de ces libertins blasés baisant mécaniquement et sans joie, qui me désolent lorsque je les croise en club. Très prometteuse sur le papier, ma dernière aventure hors couple fut plutôt fade malgré une partenaire de jeu ravissante, des liens, une cravache et du champagne. Mais je n’y étais pas vraiment. Un break s’imposait.
Le jeu, l’inconnu, l’indécent, le fulgurant, l’imprévu, le déstabilisant me manquent. Ils sont des épices indispensables à mon épanouissement. Les envies de nouvelles complicités, de nouveaux corps sont énormes. A l’instant même où j’écris ces lignes une furieuse envie de lécher une chatte inconnue me noue le bas-ventre. Mais je résiste.
Pour l’instant.
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