Des règles du jeu simples. Pas de pénétration. Pas d’artifices. Pas de sexe oral. Un véritable défi. Une délicieuse torture. Une utopie ?
Effleurements, effeuillage, caresses... Les corps se dénudent, frissonnent, s'apprivoisent et s’épousent. Nous prenons notre temps. Mains baladeuses et longues caresses sensuelles. Epidermes de plus en plus réactifs. Redécouverte de nos corps, de zones érogènes délaissées.
Les caresses deviennent plus aventureuses. Nos mains osent. La température monte, des frissons parcourent mon échine. Accélération du rythme cardiaque. Ses yeux se posent sur mon sexe en érection, moulé dans mon boxer devenu trop étroit. Aguicheuse, elle passe sa langue sur ses lèvres et me lance un regard plein de défi. J’adore…
Ma main s'attarde sur ses fesses. Du bout des doigts elle survole le sillon entre mes couilles, effleure ma verge et taquine mon gland à travers le tissu devenu seconde peau. Envie d’y sentir la douceur de sa langue. Une idée à vite oublier, nous avons scellé un pacte. Je promène mon index entre ses fesses, descendant jusqu'à la naissance de son sexe, remontant jusqu'à son petit trou... Des images pornographiques défilent dans mon cerveau en ébullition. J’ai une envie pulsionnelle d'un 69 obscène, de ma langue dans son cul. La privation devient de moins en moins supportable.
Elle me chevauche et le contact de ses seins chauds sur mon torse m’électrise. Elle se déhanche pour sentir mon pieu entre ses cuisses puis me mordille les tétons. Mon point faible. Je réplique immédiatement. Dent pour dent. Elle fait glisser mon boxer et se débarrasse de son string, frotte son sexe trempé contre ma queue turgescente. Le jeu dure de longues minutes, prenant une tournure franchement masochiste.
Je la sens à deux doigts de jouir. Je l'embrasse à pleine bouche et lui mordille la lèvre inférieure au moment de l’orgasme. Sa chatte dégouline sur mes couilles. Le liquide chaud coule entre mes fesses, caressant mon anus. Sensation divine. Pas de pénétration avons-nous dit. Dommage, je n’aurais pas été contre un doigt dans le cul.
Je la retourne, la plaque sur le ventre et avec son string lui attache les poignets aux barreaux du lit. Je lui écarte les cuisses et lui demande de se cambrer. Elle se plie volontiers, m’offrant sa croupe luisante et son entrée interdite. Je lui pince les fesses, les mords. Elle se tortille quand mes doigts visitent sa chatte et son cul. Quelques claques bien senties viennent rosir ses fesses rebondies. La tension érotique est insoutenable.
Son corps entier tremble lorsque je caresse son clito avec mon gland. Lorsqu’elle lâche un « prends-moi » suppliant, j’en oublie les règles de ce jeu qui nous a menés à ce divinement douloureux état de désir et la pénètre violemment.
- Excuse-moi j’ai oublié notre pacte
- Si tu ne l’avais pas fait je t’aurais coupé les couilles !
Pas très fiers d’avoir si rapidement cédé, nous nous sommes promis de recommencer. Et gare au premier qui craquera...
Effleurements, effeuillage, caresses... Les corps se dénudent, frissonnent, s'apprivoisent et s’épousent. Nous prenons notre temps. Mains baladeuses et longues caresses sensuelles. Epidermes de plus en plus réactifs. Redécouverte de nos corps, de zones érogènes délaissées.
Les caresses deviennent plus aventureuses. Nos mains osent. La température monte, des frissons parcourent mon échine. Accélération du rythme cardiaque. Ses yeux se posent sur mon sexe en érection, moulé dans mon boxer devenu trop étroit. Aguicheuse, elle passe sa langue sur ses lèvres et me lance un regard plein de défi. J’adore…
Ma main s'attarde sur ses fesses. Du bout des doigts elle survole le sillon entre mes couilles, effleure ma verge et taquine mon gland à travers le tissu devenu seconde peau. Envie d’y sentir la douceur de sa langue. Une idée à vite oublier, nous avons scellé un pacte. Je promène mon index entre ses fesses, descendant jusqu'à la naissance de son sexe, remontant jusqu'à son petit trou... Des images pornographiques défilent dans mon cerveau en ébullition. J’ai une envie pulsionnelle d'un 69 obscène, de ma langue dans son cul. La privation devient de moins en moins supportable.
Elle me chevauche et le contact de ses seins chauds sur mon torse m’électrise. Elle se déhanche pour sentir mon pieu entre ses cuisses puis me mordille les tétons. Mon point faible. Je réplique immédiatement. Dent pour dent. Elle fait glisser mon boxer et se débarrasse de son string, frotte son sexe trempé contre ma queue turgescente. Le jeu dure de longues minutes, prenant une tournure franchement masochiste.
Je la sens à deux doigts de jouir. Je l'embrasse à pleine bouche et lui mordille la lèvre inférieure au moment de l’orgasme. Sa chatte dégouline sur mes couilles. Le liquide chaud coule entre mes fesses, caressant mon anus. Sensation divine. Pas de pénétration avons-nous dit. Dommage, je n’aurais pas été contre un doigt dans le cul.
Je la retourne, la plaque sur le ventre et avec son string lui attache les poignets aux barreaux du lit. Je lui écarte les cuisses et lui demande de se cambrer. Elle se plie volontiers, m’offrant sa croupe luisante et son entrée interdite. Je lui pince les fesses, les mords. Elle se tortille quand mes doigts visitent sa chatte et son cul. Quelques claques bien senties viennent rosir ses fesses rebondies. La tension érotique est insoutenable.
Son corps entier tremble lorsque je caresse son clito avec mon gland. Lorsqu’elle lâche un « prends-moi » suppliant, j’en oublie les règles de ce jeu qui nous a menés à ce divinement douloureux état de désir et la pénètre violemment.
- Excuse-moi j’ai oublié notre pacte
- Si tu ne l’avais pas fait je t’aurais coupé les couilles !
Pas très fiers d’avoir si rapidement cédé, nous nous sommes promis de recommencer. Et gare au premier qui craquera...