mercredi 30 juillet 2008

(Petits) joueurs

Des règles du jeu simples. Pas de pénétration. Pas d’artifices. Pas de sexe oral. Un véritable défi. Une délicieuse torture. Une utopie ?

Effleurements, effeuillage, caresses... Les corps se dénudent, frissonnent, s'apprivoisent et s’épousent. Nous prenons notre temps. Mains baladeuses et longues caresses sensuelles. Epidermes de plus en plus réactifs. Redécouverte de nos corps, de zones érogènes délaissées.

Les caresses deviennent plus aventureuses. Nos mains osent. La température monte, des frissons parcourent mon échine. Accélération du rythme cardiaque. Ses yeux se posent sur mon sexe en érection, moulé dans mon boxer devenu trop étroit. Aguicheuse, elle passe sa langue sur ses lèvres et me lance un regard plein de défi. J’adore…

Ma main s'attarde sur ses fesses. Du bout des doigts elle survole le sillon entre mes couilles, effleure ma verge et taquine mon gland à travers le tissu devenu seconde peau. Envie d’y sentir la douceur de sa langue. Une idée à vite oublier, nous avons scellé un pacte. Je promène mon index entre ses fesses, descendant jusqu'à la naissance de son sexe, remontant jusqu'à son petit trou... Des images pornographiques défilent dans mon cerveau en ébullition. J’ai une envie pulsionnelle d'un 69 obscène, de ma langue dans son cul. La privation devient de moins en moins supportable.

Elle me chevauche et le contact de ses seins chauds sur mon torse m’électrise. Elle se déhanche pour sentir mon pieu entre ses cuisses puis me mordille les tétons. Mon point faible. Je réplique immédiatement. Dent pour dent. Elle fait glisser mon boxer et se débarrasse de son string, frotte son sexe trempé contre ma queue turgescente. Le jeu dure de longues minutes, prenant une tournure franchement masochiste.

Je la sens à deux doigts de jouir. Je l'embrasse à pleine bouche et lui mordille la lèvre inférieure au moment de l’orgasme. Sa chatte dégouline sur mes couilles. Le liquide chaud coule entre mes fesses, caressant mon anus. Sensation divine. Pas de pénétration avons-nous dit. Dommage, je n’aurais pas été contre un doigt dans le cul.

Je la retourne, la plaque sur le ventre et avec son string lui attache les poignets aux barreaux du lit. Je lui écarte les cuisses et lui demande de se cambrer. Elle se plie volontiers, m’offrant sa croupe luisante et son entrée interdite. Je lui pince les fesses, les mords. Elle se tortille quand mes doigts visitent sa chatte et son cul. Quelques claques bien senties viennent rosir ses fesses rebondies. La tension érotique est insoutenable.

Son corps entier tremble lorsque je caresse son clito avec mon gland. Lorsqu’elle lâche un « prends-moi » suppliant, j’en oublie les règles de ce jeu qui nous a menés à ce divinement douloureux état de désir et la pénètre violemment.

- Excuse-moi j’ai oublié notre pacte
- Si tu ne l’avais pas fait je t’aurais coupé les couilles !

Pas très fiers d’avoir si rapidement cédé, nous nous sommes promis de recommencer. Et gare au premier qui craquera...

mardi 29 juillet 2008

Goodbye & Good Luck

- Le monsieur du couple : Et tu es bien membré ?
- Kinky : Non, pas spécialement
- Le monsieur du couple : Ah dommage…
- Kinky : …
- Le monsieur du couple : Madame ne veut que des tbm
- Kinky : On veut toujours ce qu’on n’a pas à la maison...
- Le monsieur du couple : Connard !

Qu’on se le dise

Il y a deux types d’hommes, ceux qui gardent leurs chaussettes dans une partouze et les autres.

lundi 28 juillet 2008

Les vacances de Mr Kinky (1ère partie)

Je viens d’avoir quatre ans. Je suis sous le charme d’une petite anglaise nommée Suzy. Sur la plage il y a des dizaines d’enfants de mon âge et pourtant je reviens invariablement vers cette fille qui ne comprend pas un mot de ce que je lui dis. Elle est mignonne Suzy. Jolie blonde aux yeux bleus. Quelque chose comme une Mariel Hemingway modèle enfant. Nous faisons des pâtés de sable, je l’invite sur mon bateau gonflable. On ne se comprend toujours pas et pourtant on rigole bien. Et puis un matin plus de Suzy. Pas plus le matin suivant. Première peine de cœur.

Eté de mes sept ans. Je joue les funambules, j’escalade les rochers pour atteindre la petite crique où quelques jolis bateaux viennent jeter l’encre pour la journée et où j’aime plonger. Je tombe sur deux femmes nues qui se sont isolées pour bronzer loin des regards. Je reste un moment à les regarder, fasciné et intrigué. Les jours suivants j’y emmène des copains. Bien sûr il n’y a personne et je passe pour un mytho. Mais j’ai des souvenirs plein la tête.

L’été de mes huit ans j’ai sympathisé avec un garçon de deux ans plus vieux que moi qui m’initie au baby-foot et me laisse regarder le magazine porno qu’il a planqué quelque part derrière la cabane des CRS chargés de surveiller la baignade. Les photos de ces créatures peu farouches ouvrant les cuisses sont une révélation. Il faut dire que dans mon imaginaire de petit garçon qui n’ose pas demander à sa mère comment on fait les bébés, le sexe des femmes se trouvait au milieu du pubis, caché derrière les poils. J’observe et reste circonspect devant ces sexes de femmes dont la complexité est effroyablement intimidante. De toute façon les filles m’intéressent bien moins que le football.

Je dois avoir 10 ans. On s’est arrêtés quelques jours dans la famille avant de descendre sur la côte provençale. On est toute une bande de gamins à jouer dans la grange. Un cousin parvient à convaincre la fille des voisins de nous montrer ce qu’il y a dans sa culotte. J’ai déjà vu celle de ma cousine, je ne suis pas impressionné. Je le suis plus par mon cousin qui n’hésite pas une seconde avant de se déboutonner. Je crois que je l’envie d'oser.

Eté de mes douze ans. Le réveil violent de mes hormones a lieu le jour de mon entrée au collège en voyant Virginie, la blonde pulpeuse de la 6ème7 qui porte toujours des sous-pulls hyper moulants. Avec un copain on essaie de draguer un peu sur la plage. Il est aussi timide que moi. Une catastrophe. La première pelle attendra. De toute façon aucune n’est aussi jolie que Virginie, mon amoureuse secrète qui préfère les garçons qui ont une mobylette.

Les choses se passent mieux l’année suivante. On est une super bande de potes. J’ai pris un peu d’assurance depuis qu’Isabelle, une belle redoublante de ma classe, m’a laissé glisser ma langue dans sa bouche, sans manifester le moindre signe de dégout. Cet été là je connais mon premier vrai amour de vacances. Sortez les violons. Je pratique avec beaucoup d’assuidité la masturbation que j’ai découvert quelques mois plus tôt, en m’imaginant me faire dépuceler par la mère de la fille qui me laisse parfois toucher ses seins. Ce fantasme d'une initiation par une femme mûre m'accompagnera un bon moment.

vendredi 25 juillet 2008

Conseil aux hommes

N'appellez jamais, ô grand jamais, une femme par le prénom d'une ex. Curieusement elle risque de mal le prendre.

jeudi 24 juillet 2008

Le post qui a failli avoir pour titre le jeu de mot le plus pourri de toute la blogosphère

Un restaurant en terrasse. Soleil couchant et douceur d’une nuit d’été. Gambas et chianti. Bêtises et rires complices. La belle s’amuse à me chauffer en me contant ses aventures saphiques d’adolescence. Cela fonctionne. Elle me connait...

Je lui souffle mon désir au creux de l’oreille.
- D’accord, me dit-elle, pleine de défi.
De retour à table elle pose le string devant moi sans la moindre gêne, ce qui fait halluciner la jeune femme de la table voisine et nous fait beaucoup rire.

Elle se déchausse et son pied vient caresser mon entrejambes qui se dresse aussitôt. C’est bon à savoir, le vin italien lui donne des audaces. Là maintenant, sur la table au milieu de cette foule inconnue, je ferais bien de son cul mon dessert.

Détour sur des chemins de traverses. Nous croisons des petits vieux qui promènent Médor et quelques couples en promenade amoureuse. Nous nous égarons vers les coins sombres. Je la plaque face contre un mur, relève sa jupe et caresse ses fesses nues et blanches.

Elle gémit lorsque je passe un doigt sur sa fente ouverte et humide. « Prends-moi vite », lâche-t-elle. En un temps record mon pantalon glisse sur mes chevilles et mon vit turgescent fait une entrée fracassante.

Nous reprenons le chemin de la maison, un sourire radieux aux lèvres, sa jupe souillée, faisant le compte des piqures d’insectes.