vendredi 29 mai 2009

Schizophrénie libidinale

Je ne (me) comprends plus.

Le jour je me désintéresse totalement du sexe. Je n’ai pas d’envies, pas de désirs, pas de fantasmes. Pourtant je n’aurais pas grand-chose à faire pour baiser la jeune stagiaire qui ne demande qu’à se faire culbuter. Dans les rues les jeunes femmes sont court vêtues. Mais non rien…

La nuit j’enchaine les rêves à haute teneur érectile. Après avoir rêvé dans la même semaine de mon ex, d’une baise sur une barque au milieu d’un lac et d’une pipe sur les marches de l’Opéra, j’ai rêvé la nuit dernière d’une collègue plutôt agréable à regarder. J’étais allongé sur le dos, sur le sol dans mon bureau. Relevant sa jupe au dessus de moi, elle se cambrait afin de m’offrir son sexe à lécher.

Je crois que mon cerveau est fatigué.

7 commentaires:

Emeline a dit…

Fais confiance à tes rêves et saute ta stagiaire qui ne demande que ça :)

Sauvage Libertine a dit…

Bah oui fait lui plaisir a la petite stagiaire ;)

Kinky a dit…

@ emeline & sauvage libertine :
Oui, peut-être la baise est-elle le meilleur moyen de retrouver le goût de la baise...

caliste a dit…

Une certaine forme d'abstinance aussi.

les nuages bavards a dit…

L'appétit vient en mangeant... ;)

L singulière plurielle a dit…

c'est bien beau les rêves...
oui mais
pour passer
aux corps à corps...

Kinky a dit…

@ caliste :
A quelle forme d'abstinence pensez-vous ?

@ p_o_l :
C'est ce qu'on dit oui. Un petit régime de temps en temps ne peux pas faire de mal.

@ l singulière plurielle :
Les rêves c'est déjà ça...