Deux heures à la terrasse ombragée d'un café du vieux-quartier et le souvenir obsédant de la naissance de ses seins dévoilée par un subtil décolleté.
Souvenir obsédant de ses tâches de rousseur et de son dos nu.
Deux heures à pianoter sur ma terrasse, à jouer au chat et à la souris, à attendre fébrilement, à éluder, à presque dire.
Souvenir obsédant d'une confession à double sens, non-clarifiée et délicieusement impudique.
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2 commentaires:
Le vieux-quartier : jolie manière de renommer de façon anonyme.
Ce non-dit de séduction trouble me rappelle mon "c'est pour ami" sur mon blog. C'était au bord de la grand-agora
@ Marie Tro :
Tout à fait... Préservons une part de mystère ...
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