mardi 30 octobre 2018
lundi 29 octobre 2018
Un beau dimanche de juillet
Je la rejoins dans le grenier où elle est montée chercher
un vieil album photo. Je me glisse derrière elle, lui mordille l’oreille et
plonge la main dans son jean.
Mais
qu’est-ce que tu fais ? Tu es fou ?
Cela fait des heures que j’attends ce moment, que
je ronge mon frein.
Les filles ne nous ont pas lâchés de l’après-midi.
Impossible de nous isoler plus de cinq minutes sans qu’une des deux
adolescentes ne débarque pour demander la permission de faire ceci ou de manger
cela. Je soupçonne la plus grande de le faire exprès.
Son sexe mouille rapidement sous mes doigts.
J’entreprends de déboutonner son jean.
Les
enfants vont nous entendre, me
dit-elle.
Les enfants sont scotchés devant la télé lui
fais-je remarquer. En quelques instants nous nous retrouvons nus, nos vêtements
éparpillés partout dans la pièce.
Détends-toi.
Debout, au milieu de cette pièce un peu sombre,
elle est incroyablement sexy. Blonde et bronzée. Nos langues s’emmêlent. Elle caresse
mes bourses, me branle lentement alors que je la doigte délicatement.
Je la sens se détendre.
Nous nous affalons sur un canapé poussiéreux dont le pied casse sous notre poids, faisant un
bruit retentissant. Nous nous figeons quelques instants.
Tout est calme.
Je saisis une vieille chaise en bois sur laquelle
je prends position.
Viens par
ici.
Elle me suce brièvement avant de s’empaler sur mon
sexe en érection. La chaise est branlante. Je me cale les pieds au sol pour en
assurer l’équilibre et lui enserre la taille. Immobile, prisonnier, je dévore
ses seins qui durcissent, caresse sa peau, épouse ses courbes. Sa peau sent
l’herbe et la crème solaire. Doux parfum estival.
Dans cette position où je suis totalement passif,
nous sexons de longues minutes mais je ne la sens pas totalement libérée, toujours
l’oreille à l’affût du moindre bruit. Puis peu à peu elle accélère ses coups de
reins, se laissant enfin aller. Je sens un liquide chaud couler sur mes
testicules et sur mes cuisses.
Enfin elle me baise enfin de tout son allant, se
mordant les lèvres pour ne pas faire de bruit. Nous sommes tous les deux au
bord de la jouissance lorsque soudain nous entendons les pas dans l’escalier. D'un
bond, elle se lève.
Au moment même où je jouis.
Maman,
pourquoi la porte est-elle fermée à clé ?
Inscription à :
Articles (Atom)