La canicule de 2003 nous aura coûté bien plus qu'un jour férié. Déjà un scandale en soi. Nous devons maintenant vivre dans la démesure, la paranoïa, la dictature du "principe de précaution". La grippe H1N1 nous a été vendue comme une apocalypse, qui bien sûr n'a pas eu lieu. Aujourd'hui c'est un trafic aérien paralysé pour des cendres. Nous devenons grotesques.
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2 commentaires:
Yes ! ça coule dans mes yeux comme du miel dans ma gorge (enfin tu comprends ? C'est TROP BON !!!)
@ veropapillon :
Si je comprends ? Oui et non. Je comprends quelque chose mais ça me semble sans rapport. Rires...
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