Non sans une part d’égotisme et d’exhibitionnisme, nous dévoilons de façon plus ou moins crue (une partie de) notre intimité sur nos blogs. Le plus souvent en choisissant un angle qui nous met en valeur (et donne du style à nos écrits). En taisant l’ordinaire pour n’évoquer que les moments les plus intenses, les plus fantasques, les plus fulgurants. Nous sublimant, nous et nos amant(e)s. Nos écrits peuvent être intimidants pour qui nous lit. Et soyons honnêtes, nous en jouons. Nous nous construisons une aura de super amant(e).
Plus d’une fois des lectrices que je souhaitais séduire m’ont exprimé leur crainte de ne pas être un bon coup. Ou plus précisément pas autant que les amantes que je décrivais dans mes textes. La crainte n’est pas exclusivement féminine. Beaucoup d’amies blogueuses et/ou libertines m’ont confié faire fuir les mecs, qui se déballonnent au dernier moment devant la sexualité assumée qui les a d’abord attirés. La peur de la comparaison. La peur de ne pas être un bon coup.
Mais qu'est-ce qu'un bon coup ?
La réponse n’est pas si simple qu’il n’y parait. Comme le disait fort justement dans un billet récent une blogueuse dont je ne me souviens plus de la fausse identité, le bon coup de l'un(e) n'est pas forcément le bon coup de l'autre. (Ce qui rend non-pertinentes bien des discussions entre filles). Je suis totalement convaincu de cela. Parce qu’il y a une question d’alchimie entre deux corps, entre deux peaux, entre deux désirs. Parce que pour être un bon coup il faut être deux (minimum). Parce que ça peut être question de contexte.
Et puis hommes et femmes n’ont pas forcément sur le sujet la même perception.
Au final, je pense que l’on peut dire qu’un bon coup c’est simplement un(e) partenaire qui vous procure du plaisir (et du plaisir à donner du plaisir). Et fort heureusement, le plaisir n’est pas (qu’) affaire de positions, de pratiques sexuelles ou d’orifices visités. Il ne se mesure pas en centimètres (de verge ou de tour de poitrine), en minutes (de limage/pénétration) ou en cl (clin d’œil). Enfin pas toujours. Il n’exige même pas un ventre plat ou des fesses sans cellulite. Le plaisir est le plus souvent affaire d’affinités et de partage.
Mais pas que.
Je connais des hommes pour qui il suffit que la femme qu’ils baisent soit bien faite pour qu’ils soient satisfaits et la qualifient de bon coup lors de leurs conversations autour de la machine à café. J’ai une amie libertine collectionneuse de (très) gros calibres. Je me suis rendu compte en échangeant régulièrement avec elle sur ses aventures qu’il suffisait que ses partenaires soient particulièrement gâtés par la nature pour qu’elle soit satisfaite. Mais c’est là je crois (oui, hein ?) plus l’exception que la règle.
Derrière la question « suis-je un bon coup ? » que se pose tout un chacun à un moment de son existence (et éventuellement face à un(e) partenaire dont l’expérience est supposément bien plus grande que la sienne), se pose la question du savoir-faire (jouir). De la technique.
Ah, la technique ! Ce serait si simple si ça suffisait (à coup sûr). Ce serait encore plus simple si ça ne comptait pas. Les meilleures fellatrices ne sont pas forcément celles qui ont sucé le plus de bites. Mais les meilleures pipes sont souvent le résultat d’une longue expérience. Et il m’est d’avis qu’il en est de même pour les cunnilinguistes.
Il y a la question de celles et ceux qui ne font pas. Des femmes qui ne sucent pas. Des hommes qui ne lèchent pas. Ou à contrecœur. Est-ce qu’une femme qui ne suce pas peut être un bon coup ? Chacun aura un point de vue personnel sur le sujet mais ma réponse est un non catégorique. C’est sans doute sexiste et je ne sais quoi encore mais c’est comme ça. Non négociable. Je suis moins inflexible sur la sodomie.
La technique, ok. Mais il ne faudrait pas sous-estimer l’enthousiasme. Et puis le sexe c’est un peu comme le piano ou la cuisine. Certain(e)s sont doué(e)s naturellement.
Finalement la technique sexuelle, c’est un minimum vital de 2-3 choses à savoir (faire) et autant à ne pas faire. A partir du moment où l’on a déjà entendu parler du clitoris.
En fait, bien plus que le savoir-faire, ce qui fait le bon coup, c’est le savoir être.
(PS : Cette note tardive a été rédigée dans un état de légère ( ?) ébriété. Elle pourrait donc être amenée à être modifiée/supprimée une fois exposée à la lumière du jour. Je tiens à ajouter que le premier qui dit ça se voit et bien… et bien… euh… il est pas gentil.)
Plus d’une fois des lectrices que je souhaitais séduire m’ont exprimé leur crainte de ne pas être un bon coup. Ou plus précisément pas autant que les amantes que je décrivais dans mes textes. La crainte n’est pas exclusivement féminine. Beaucoup d’amies blogueuses et/ou libertines m’ont confié faire fuir les mecs, qui se déballonnent au dernier moment devant la sexualité assumée qui les a d’abord attirés. La peur de la comparaison. La peur de ne pas être un bon coup.
Mais qu'est-ce qu'un bon coup ?
La réponse n’est pas si simple qu’il n’y parait. Comme le disait fort justement dans un billet récent une blogueuse dont je ne me souviens plus de la fausse identité, le bon coup de l'un(e) n'est pas forcément le bon coup de l'autre. (Ce qui rend non-pertinentes bien des discussions entre filles). Je suis totalement convaincu de cela. Parce qu’il y a une question d’alchimie entre deux corps, entre deux peaux, entre deux désirs. Parce que pour être un bon coup il faut être deux (minimum). Parce que ça peut être question de contexte.
Et puis hommes et femmes n’ont pas forcément sur le sujet la même perception.
Au final, je pense que l’on peut dire qu’un bon coup c’est simplement un(e) partenaire qui vous procure du plaisir (et du plaisir à donner du plaisir). Et fort heureusement, le plaisir n’est pas (qu’) affaire de positions, de pratiques sexuelles ou d’orifices visités. Il ne se mesure pas en centimètres (de verge ou de tour de poitrine), en minutes (de limage/pénétration) ou en cl (clin d’œil). Enfin pas toujours. Il n’exige même pas un ventre plat ou des fesses sans cellulite. Le plaisir est le plus souvent affaire d’affinités et de partage.
Mais pas que.
Je connais des hommes pour qui il suffit que la femme qu’ils baisent soit bien faite pour qu’ils soient satisfaits et la qualifient de bon coup lors de leurs conversations autour de la machine à café. J’ai une amie libertine collectionneuse de (très) gros calibres. Je me suis rendu compte en échangeant régulièrement avec elle sur ses aventures qu’il suffisait que ses partenaires soient particulièrement gâtés par la nature pour qu’elle soit satisfaite. Mais c’est là je crois (oui, hein ?) plus l’exception que la règle.
Derrière la question « suis-je un bon coup ? » que se pose tout un chacun à un moment de son existence (et éventuellement face à un(e) partenaire dont l’expérience est supposément bien plus grande que la sienne), se pose la question du savoir-faire (jouir). De la technique.
Ah, la technique ! Ce serait si simple si ça suffisait (à coup sûr). Ce serait encore plus simple si ça ne comptait pas. Les meilleures fellatrices ne sont pas forcément celles qui ont sucé le plus de bites. Mais les meilleures pipes sont souvent le résultat d’une longue expérience. Et il m’est d’avis qu’il en est de même pour les cunnilinguistes.
Il y a la question de celles et ceux qui ne font pas. Des femmes qui ne sucent pas. Des hommes qui ne lèchent pas. Ou à contrecœur. Est-ce qu’une femme qui ne suce pas peut être un bon coup ? Chacun aura un point de vue personnel sur le sujet mais ma réponse est un non catégorique. C’est sans doute sexiste et je ne sais quoi encore mais c’est comme ça. Non négociable. Je suis moins inflexible sur la sodomie.
La technique, ok. Mais il ne faudrait pas sous-estimer l’enthousiasme. Et puis le sexe c’est un peu comme le piano ou la cuisine. Certain(e)s sont doué(e)s naturellement.
Finalement la technique sexuelle, c’est un minimum vital de 2-3 choses à savoir (faire) et autant à ne pas faire. A partir du moment où l’on a déjà entendu parler du clitoris.
En fait, bien plus que le savoir-faire, ce qui fait le bon coup, c’est le savoir être.
(PS : Cette note tardive a été rédigée dans un état de légère ( ?) ébriété. Elle pourrait donc être amenée à être modifiée/supprimée une fois exposée à la lumière du jour. Je tiens à ajouter que le premier qui dit ça se voit et bien… et bien… euh… il est pas gentil.)