Vous avez jusqu'à mardi minuit pour participer au concours de fesses de lectrices.
mercredi 29 octobre 2008
lundi 27 octobre 2008
Ravis au lit ? (Oui, j'ai osé le jeu de mot)
Mon interface gmail continue de me proposer des publicités autour de la sexualité et de la pornographie. Pourtant, tout à l’heure, à un moment, j’ai parlé cinéma avec une amie.
Parmi les liens proposés aujourd’hui, il y a un guide de sexualité et de sexologie pour nous les hommes. La vulgarisation autour de la sexualité est souvent des plus divertissantes, je clique donc. Et là, entre un article sur les sex-toys et un témoignage féminin sur le point G, je tombe sur le titre d’un article qui me laisse pantois : "le sexe en s’amusant". "Rédiger sa déclaration d’impôts en s’amusant" je comprendrais mais "le sexe en s’amusant" ! Le sexe serait donc pour beaucoup un calvaire qu’il conviendrait de rendre plaisant au plus vite...
Parmi les liens proposés aujourd’hui, il y a un guide de sexualité et de sexologie pour nous les hommes. La vulgarisation autour de la sexualité est souvent des plus divertissantes, je clique donc. Et là, entre un article sur les sex-toys et un témoignage féminin sur le point G, je tombe sur le titre d’un article qui me laisse pantois : "le sexe en s’amusant". "Rédiger sa déclaration d’impôts en s’amusant" je comprendrais mais "le sexe en s’amusant" ! Le sexe serait donc pour beaucoup un calvaire qu’il conviendrait de rendre plaisant au plus vite...
Mes nuits sont plus belles que mes jours
Il y a comme ça des journées gâchées et ratées. Des journées creuses où je n’ai pas d’envies, pas de passion. Des journées où tout me semble ennuyeux, sans intérêt, déjà vu. Des journées où je manque de courage face aux prochains chantiers de mon existence. Des journées où je ne veux que dormir.
Heureusement quand tombe la nuit, se réveillent les pulsions animales.
Heureusement quand tombe la nuit, se réveillent les pulsions animales.
vendredi 24 octobre 2008
Kinky fait du porno (un titre racoleur et mensonger destiné à accroître de façon substantielle son audience)
C’est marrant les liens contextuels. Vous le savez peut-être, lorsque vous utilisez un compte gmail, vos mails sont analysés informatiquement afin de vous proposer des messages publicitaires théoriquement en rapport avec vos centres d’intérêt. En gros si vous discutez de bagnoles, il y a de fortes chances que les encarts publicitaires vous proposent des liens vers des sites ayant trait à l’automobile.
Allez savoir pourquoi, tout à l’heure apparait donc sur la page d’accueil de ma boite mail un lien vers un site, myexibo.com, qui propose aux internautes portés sur l’exhibitionnisme une interface leur permettant de se créer (gratuitement) une galerie virtuelle. Quel intérêt ? Elle vous permet de vendre en ligne, et au prix que vous fixez, vos photos en téléchargement. La société se prenant bien sûr une commission sur le prix de vente.
Vous avez des seins et un cul pas trop vilains ? Vos photos valent désormais de l’or pour une industrie porno en crise. Ce n’est peut-être pas plus mal, en matière d’érotisme, j’ai toujours préféré les girl next door aux blondasses californiennes siliconées et liposucées.
Ma réaction première fût de me dire qu’ils signaient l’arrêt de mort de ces blogs d’exhibition qui pullulent depuis un an. Mais finalement je doute qu’ils soient nombreux les internautes érotomanes prêt à payer… Mais qui sait ? Vous payerez vous, pour me voir nu ?
Allez savoir pourquoi, tout à l’heure apparait donc sur la page d’accueil de ma boite mail un lien vers un site, myexibo.com, qui propose aux internautes portés sur l’exhibitionnisme une interface leur permettant de se créer (gratuitement) une galerie virtuelle. Quel intérêt ? Elle vous permet de vendre en ligne, et au prix que vous fixez, vos photos en téléchargement. La société se prenant bien sûr une commission sur le prix de vente.
Vous avez des seins et un cul pas trop vilains ? Vos photos valent désormais de l’or pour une industrie porno en crise. Ce n’est peut-être pas plus mal, en matière d’érotisme, j’ai toujours préféré les girl next door aux blondasses californiennes siliconées et liposucées.
Ma réaction première fût de me dire qu’ils signaient l’arrêt de mort de ces blogs d’exhibition qui pullulent depuis un an. Mais finalement je doute qu’ils soient nombreux les internautes érotomanes prêt à payer… Mais qui sait ? Vous payerez vous, pour me voir nu ?
jeudi 23 octobre 2008
Curiosité masculine pour les curiosités féminines
Mesdames et demoiselles, j’ai besoin de votre aide pour décoder l’âme féminine.
Une femme avec laquelle vous avez flirtouillé il y a quelques années, avec laquelle vous seriez bien allé plus loin mais qui vous a claqué la porte au nez, dont vous n’avez plus de nouvelles depuis un an et demi et qui subitement vous envoie ses photos de mariage, à quoi est-ce que ça rime au juste ?
Une femme avec laquelle vous avez flirtouillé il y a quelques années, avec laquelle vous seriez bien allé plus loin mais qui vous a claqué la porte au nez, dont vous n’avez plus de nouvelles depuis un an et demi et qui subitement vous envoie ses photos de mariage, à quoi est-ce que ça rime au juste ?
mercredi 22 octobre 2008
Flûte !
Je sais bien que les blogs sont éphémères, qu'ils sont une photographie d'un moment de nos vies dont on éprouve le besoin de se détacher. Moi aussi j'ai fait par le passé table rase. Mais tout de même...
Jeu de liens
Au détour d’une correspondance naissante, une question, un jeu. Définir ce que m’évoque le mot « liens ».
Il y a les liens du sang, de la filiation et du patrimoine génétique, auxquels je suis peu sensible.
Il y a les liens amicaux qui me relient à une poignée de personnes et qui perdurent malgré le temps qui passent. Un ami, c’est quelqu’un qui vous connait bien et vous aime quand même, disait l’autre.
Il y a les liens psychologiques, les tabous, les blocages, les complexes… véritables entraves à l’épanouissement que j’abats un à un, lentement mais surement, au prix d’efforts parfois épuisants mais largement récompensés.
Il y a les liens hypertextes, qui me mènent de blogs en blogs, de textes à l’érotisme troublant en exhibitions vulgaires, de jolies confessions intimes en horreurs syntaxiques, d’illustrations savoureuses en coquilles vides.
Il y a les liens tissés avec mes lectrices, amantes passées et à venir, objets de fantasme inaccessibles, amitiés réelles, inconnues anonymes, connaissances blogosphèriques…
Il y a le lien que j’ai parfois peine à faire entre sexe et amour.
Il y a les liens que j’aime à utiliser parfois pour ligoter de jeunes femmes dociles, les maintenir dans des positions impudiques, me donner libre accès à leurs orifices et en abuser.
Il y a les liens qui me tiendraient prisonnier, totalement soumis et impuissant.
Il y a les liens du sang, de la filiation et du patrimoine génétique, auxquels je suis peu sensible.
Il y a les liens amicaux qui me relient à une poignée de personnes et qui perdurent malgré le temps qui passent. Un ami, c’est quelqu’un qui vous connait bien et vous aime quand même, disait l’autre.
Il y a les liens psychologiques, les tabous, les blocages, les complexes… véritables entraves à l’épanouissement que j’abats un à un, lentement mais surement, au prix d’efforts parfois épuisants mais largement récompensés.
Il y a les liens hypertextes, qui me mènent de blogs en blogs, de textes à l’érotisme troublant en exhibitions vulgaires, de jolies confessions intimes en horreurs syntaxiques, d’illustrations savoureuses en coquilles vides.
Il y a les liens tissés avec mes lectrices, amantes passées et à venir, objets de fantasme inaccessibles, amitiés réelles, inconnues anonymes, connaissances blogosphèriques…
Il y a le lien que j’ai parfois peine à faire entre sexe et amour.
Il y a les liens que j’aime à utiliser parfois pour ligoter de jeunes femmes dociles, les maintenir dans des positions impudiques, me donner libre accès à leurs orifices et en abuser.
Il y a les liens qui me tiendraient prisonnier, totalement soumis et impuissant.
lundi 20 octobre 2008
Mesdames, cul nu !
Chers lecteurs et lectrices, désireux de réaliser au moins la moitié de ma to do list, j’ai l’honneur et le plaisir de vous annoncer officiellement le lancement de mon grand concours de photos de fesses de lectrices.
Ce concours est ouvert à toute personne de sexe féminin souhaitant y participer. Les photos devront dévoiler votre charmant fessier. Vous avez toutes latitudes quant à la mise en scène. Je précise qu’il s’agit avant tout d’un concours photographique. Vos clichés seront donc jugés sur leur pouvoir érotique et émotionnel mais aussi et surtout sur des critères artistiques (cadrage, lumière, mise en scène…).
Trois prix seront décernés, un Kinky d’or, un Kinky d’argent et un Kinky de bronze.
Vos photos devront être envoyées avant le 04/11/08 à minuit à l’adresse suivante : concourskinky@hotmail.fr. Elles seront mises en ligne le 05/11/08 et le votre sera clos le 12/11/08 à minuit. Les gagnantes seront officiellement désignées le 14/11/08.
Mesdames et demoiselles qui voudriez participer, je vous invite à lire le règlement de ce concours :
Les modalités
Toute participante pourra le faire de façon anonyme. Elle ne devra envoyer qu’une seule photo, de bonne qualité (taille, définition…). Une photo inédite, réalisée spécialement pour l’occasion. Elle s’engage à ne pas envoyer de photos volées sur le web ou ailleurs. Je me réserve le droit d’exclure toute photo volée ou ne respectant pas les critères de qualité (timbre poste, photo pixellisée…).
Afin de préserver l’anonymat des participantes et l’impartialité des votants, je n’aurai pas accès à la boite mail susmentionnée. Maitresse M, amie complice improvisée huissière, sera chargée de réceptionner vos contributions. Elle me fera parvenir après clôture des inscriptions l’ensemble photos, numérotées, pour une publication anonyme. Chacun votera donc en toute impartialité.
Il sera interdit aux participantes d’utiliser leur blog (ou tout autre blog) dans le but d’inciter un lectorat déjà acquis à voter pour elles. Elles ne pourront donc y publier la photo participante, ni en révéler le numéro.
Les prix
Les Kinky d’or, d’argent et de bronze seront décernés par les lecteurs et lectrices de ce blog. Votes auxquels s’ajoutera le mien.
Chacun(e) ne pourra voter qu’une seule fois, pour ses trois photos préférées auxquelles seront attribuées 5 points pour la première, 3 points pour la seconde et 1 point pour la troisième. Ne seront pas pris en compte les votes des distraits qui voteront pour plus ou moins de trois photos.
Mon vote comptera double. J’attribuerai donc 10, 6 et 2 points. La photo qui aura le plus de points sera désignée gagnante, la seconde médaille d’argent et la troisième médaille de bronze.
Les participantes auront le droit de voter pour elle-même, faute de moyens de contrôle, mais je compte sur leur fair-play pour ne pas le faire.
Les récompenses
C’est là que le concours prend tout son intérêt, enfin je trouve, ce sont les gagnantes qui choisiront pour leurs récompenses.
Je m’explique. Chaque participante qui le souhaite pourra suggérer deux idées de récompense en même temps qu’elle enverra sa photo. Les suggestions devront bien sûr rester réalistes. Les suggestions les plus originales seront sélectionnées de façon totalement arbitraire par Maitresse M qui établira une short-list de 9 à 12 récompenses potentielles qu’elle me fera parvenir après clôture des votes. En cas de pénurie d’idées créatives, Maitresse M sera autorisée à faire quelques additions à la liste.
Sur cette short-list je me réserve un droit de véto. Je pourrai donc éliminer trois suggestions (maximum). Avant officialisation du palmarès, Maitresse M contactera la lauréate du Kinky d’or afin qu’elle choisisse sa récompense. Puis la lauréate du Kinky d’argent qui choisira parmi la liste dont aura été ôtée la récompense choisie par la lauréate du Kinky d’or. Et ainsi de suite.
Lors de l’officialisation du palmarès, seront également publiées les récompenses choisies par les gagnantes.
Mesdames, à vos appareils photos !
Et faites-moi bander…
Ce concours est ouvert à toute personne de sexe féminin souhaitant y participer. Les photos devront dévoiler votre charmant fessier. Vous avez toutes latitudes quant à la mise en scène. Je précise qu’il s’agit avant tout d’un concours photographique. Vos clichés seront donc jugés sur leur pouvoir érotique et émotionnel mais aussi et surtout sur des critères artistiques (cadrage, lumière, mise en scène…).
Trois prix seront décernés, un Kinky d’or, un Kinky d’argent et un Kinky de bronze.
Vos photos devront être envoyées avant le 04/11/08 à minuit à l’adresse suivante : concourskinky@hotmail.fr. Elles seront mises en ligne le 05/11/08 et le votre sera clos le 12/11/08 à minuit. Les gagnantes seront officiellement désignées le 14/11/08.
Mesdames et demoiselles qui voudriez participer, je vous invite à lire le règlement de ce concours :
Les modalités
Toute participante pourra le faire de façon anonyme. Elle ne devra envoyer qu’une seule photo, de bonne qualité (taille, définition…). Une photo inédite, réalisée spécialement pour l’occasion. Elle s’engage à ne pas envoyer de photos volées sur le web ou ailleurs. Je me réserve le droit d’exclure toute photo volée ou ne respectant pas les critères de qualité (timbre poste, photo pixellisée…).
Afin de préserver l’anonymat des participantes et l’impartialité des votants, je n’aurai pas accès à la boite mail susmentionnée. Maitresse M, amie complice improvisée huissière, sera chargée de réceptionner vos contributions. Elle me fera parvenir après clôture des inscriptions l’ensemble photos, numérotées, pour une publication anonyme. Chacun votera donc en toute impartialité.
Il sera interdit aux participantes d’utiliser leur blog (ou tout autre blog) dans le but d’inciter un lectorat déjà acquis à voter pour elles. Elles ne pourront donc y publier la photo participante, ni en révéler le numéro.
Les prix
Les Kinky d’or, d’argent et de bronze seront décernés par les lecteurs et lectrices de ce blog. Votes auxquels s’ajoutera le mien.
Chacun(e) ne pourra voter qu’une seule fois, pour ses trois photos préférées auxquelles seront attribuées 5 points pour la première, 3 points pour la seconde et 1 point pour la troisième. Ne seront pas pris en compte les votes des distraits qui voteront pour plus ou moins de trois photos.
Mon vote comptera double. J’attribuerai donc 10, 6 et 2 points. La photo qui aura le plus de points sera désignée gagnante, la seconde médaille d’argent et la troisième médaille de bronze.
Les participantes auront le droit de voter pour elle-même, faute de moyens de contrôle, mais je compte sur leur fair-play pour ne pas le faire.
Les récompenses
C’est là que le concours prend tout son intérêt, enfin je trouve, ce sont les gagnantes qui choisiront pour leurs récompenses.
Je m’explique. Chaque participante qui le souhaite pourra suggérer deux idées de récompense en même temps qu’elle enverra sa photo. Les suggestions devront bien sûr rester réalistes. Les suggestions les plus originales seront sélectionnées de façon totalement arbitraire par Maitresse M qui établira une short-list de 9 à 12 récompenses potentielles qu’elle me fera parvenir après clôture des votes. En cas de pénurie d’idées créatives, Maitresse M sera autorisée à faire quelques additions à la liste.
Sur cette short-list je me réserve un droit de véto. Je pourrai donc éliminer trois suggestions (maximum). Avant officialisation du palmarès, Maitresse M contactera la lauréate du Kinky d’or afin qu’elle choisisse sa récompense. Puis la lauréate du Kinky d’argent qui choisira parmi la liste dont aura été ôtée la récompense choisie par la lauréate du Kinky d’or. Et ainsi de suite.
Lors de l’officialisation du palmarès, seront également publiées les récompenses choisies par les gagnantes.
Mesdames, à vos appareils photos !
Et faites-moi bander…
Quelqu’un peut-il m’expliquer ?
- Les concours d’air guitar
- Le cinéma français
- Les libertines mal baisées
- La droite décomplexée
- Sébastien Tellier
- Les ornithorynques
- Le ballbusting
- La bouillie qu’est la bande FM
- Second Life
- Laurence Ferrari présentant le 20h maquillée comme une Deschiens
- Notre goût pour les chieuses
- Les films en VF
- Les chocolats à la menthe
- Le botox à 30 ans
- Votre présence ici
- Le cinéma français
- Les libertines mal baisées
- La droite décomplexée
- Sébastien Tellier
- Les ornithorynques
- Le ballbusting
- La bouillie qu’est la bande FM
- Second Life
- Laurence Ferrari présentant le 20h maquillée comme une Deschiens
- Notre goût pour les chieuses
- Les films en VF
- Les chocolats à la menthe
- Le botox à 30 ans
- Votre présence ici
vendredi 17 octobre 2008
Un matin d'automne
Comment ne pas tomber sous le charme d’une jeune femme d’une vingtaine d’années qui se rend à un premier rendez-vous avec un inconnu dans une chambre d’hôtel avec un gode-ceinture dans son sac ?
Début d’après-midi. Je l’attends assis sur le lit, les yeux bandés, tel que me le demandaient les instructions reçues par texto quelques minutes plus tôt. Nu ou habillé ? Elle n’a pas précisé son souhait. J’hésite quelques instants. Lui offrir dès son entrée dans la chambre le spectacle impudique de mon corps nu - et probablement de mon sexe au garde à vous - ou jouir du plaisir d’une lente découverte ? S’il y a quelque chose de terriblement excitant à se retrouver nu et en érection face à une femme habillée, que vous ne pouvez voir qui plus est, j’opte finalement pour la seconde solution. A mon grand désespoir, je ne choisis pas toujours pour les alternatives les plus déraisonnables.
La porte s’entrouvre et j’entends des talons résonner sur le carrelage de la chambre joliment décorée. Nous y voilà. Enfin. Sans mots dire, elle me rejoint sur le lit, m’allonge sur le dos, me caresse et promène ses lèvres sur mon corps, dans mon cou. J’aime cette passivité, me laisser guider. Mais je suis impatient de découvrir son corps, ses courbes, son goût. Mais joueuse, elle se soustrait à mes caresses, à mes tentatives de baisers. J'aime le jeu. Je m’abandonne totalement à ses caresses.
Je frissonne lorsqu’elle ôte mes vêtements un à un, goûte ma peau, pince ou mordille mes tétons. Elle me laisse enfin la liberté de la toucher. J’explore ses courbes du bout des doigts et m’enivre de son odeur. Je frémis de plaisir lorsqu’elle fait glisser mon boxer, embrasse mon sexe et promène sa langue sur ma queue. Se mettant en position pour un 69 dont je rêve depuis de longues minutes, elle offre sa croupe à ma bouche. Je savoure le premier contact de ma langue sur son sexe humide comme on savoure un vin rare. Délicieuses saveurs sucrées. Ma langue caresse ses lèvres, son clito, son petit trou avant de pénétrer son sexe juteux. Nous jouons un moment à nous découvrir, moi en aveugle, elle profitant de ses cinq sens. Puis elle déroule un préservatif sur ma queue et s’y empale.
Malgré une nuit plutôt courte, nous nous réveillons au petit matin, d’excellente humeur. Nos mains ne tardent pas à explorer. Il ne nous vient même pas à l’idée d’aller prendre un petit déjeuner. Dans quelques heures nous devrons nous quitter et nous voulons profiter du temps qu’il nous reste. Elle me fait part de cette envie qu’elle a eu la veille de me sodomiser. Je lui avoue que je n’aurais pas été contre. Elle sort le gode-ceinture dont elle m’a parlé la veille. Je suis un peu impressionné par la taille l’engin. Tout est relatif bien sûr… mais tout de même c’est d’un autre calibre qu’un doigt dont j’ai plus l’habitude. A ma grande joie elle me propose de m’attacher et de me bander les yeux. Elle connait mes fantasmes de soumission.
Me voici donc ligoté et totalement à sa merci, pieds et poings liés aux montants du lit. Elle a eu le bon sens de louer la seule chambre de tout l’hôtel à proposer un lit à barreaux. Je suis épaté par son sens de l’organisation et imaginer cette jeune fille qui semble si innocente demander une chambre avec barreaux au lit, dans le but prémédité d’attacher et sodomiser un amant, m’excite terriblement.
La voir enfiler l’objet du délit est un spectacle délicieux et un peu angoissant. J’imagine ce que ressens une femme inexpérimentée face à un amant raide de désir qui lui propose de l’enculer. Elle me passe le bandeau sur les yeux. Je me prive de son regard mais étrangement il me semble plus facile (et plus excitant) de m’offrir ainsi en aveugle. Pudeur idiote. Au-delà du plaisir éprouvé par la stimulation d’une zone érogène, il y a je crois le plaisir de s’offrir à sa partenaire. La prochaine fois peut-être n'aurai-je pas peur de son regard.
Elle me branle et me suce avec beaucoup de savoir-faire. Mon excitation est plus que visible, mais sent-elle mes craintes ? J’ai toute confiance en elle. admirable complice de luxure. Ma crainte est surtout de ne pas aller au bout, de baisser les armes, lâchement. Ne pas penser, se détendre et profiter. Un doigt se promène entre mes fesses, caresse mon anus qui s’ouvre peu à peu. J’ai une soudaine envie d’y sentir sa langue. Je n’ai pas le temps de lui formuler mon souhait que son doigt fait une entrée en douceur et se fraye un chemin.
Son doigt ayant pris ses aises et se trouvant désormais en terrain conquis, elle me détache les chevilles et me demande de me retourner, de lui présenter mon cul, passif et soumis, à quatre pattes sur lit. Je m'exécute. Je sens la fraicheur du gel lubrifiant et deux doigts me pénètrent. Mon petit anneau se détend peu à peu. Sensation agréable. C’est au tour du braquemard en silicone d’entrer en jeu. Gémissement incontrôlé. De surprise ? De douleur ? De plaisir ? Un peu des trois probablement. Je pense à notre voisine dans la chambre d'à côté, touriste anglophone, dont on entend tous les faits et gestes à travers la mince paroi qui sépare nos chambres. Non sans excitation.
Elle me pénètre lentement. Alternance de petites douleurs et de plaisirs, de petites résistances et d’avancées prometteuses. A chaque nouvelle avancée c’est une petite douleur, assez indescriptible, comme un écartèlement intérieur, qui m'en fait craindre une bien plus forte au prochain coup de rein de ma belle amante. Mais mon petit trou s’adapte peu à peu à l’envahisseur, et régulièrement ouvre la porte à une nouvelle vague de plaisir. A sa demande je remue les fesses pour bien sentir les centimètres que je lui abandonne. J’apprends à apprivoiser la bête.
Le plaisir, la douleur, le défi, l’abandon. Tout est hors norme dans ce que je ressens. Ces coups de reins se font plus violents et je me découvre une nouvelle capacité de résistance, d’acceptation et d’adaptation. Je me demande ce qu’elle ressent, le plaisir que lui procurent ce pénis factice et le pouvoir qu’il lui donne. Elle saisit ma queue qu’elle branle lentement. Habile diversion, destinée à m’assener les ultimes percées en terres ennemies. Elle est désormais toute en moi et ses coups de reins sadiques s’accélèrent, jusqu’à ce que je perde totalement prise avec le réel, et finisse par lui réclamer un cessez-le-feu.
jeudi 16 octobre 2008
Big Brother is watching you (acte 2)
On annonce l’installation de mille caméras de surveillance dans les rues de Paris.
Amis parisiens, bientôt pour baiser tranquillement sous un porche ou sur un banc public sans risquer de finir au poste ou sur youtube il faudra venir nous rendre visite en province.
Amis parisiens, bientôt pour baiser tranquillement sous un porche ou sur un banc public sans risquer de finir au poste ou sur youtube il faudra venir nous rendre visite en province.
mercredi 15 octobre 2008
Kinky est amoureux
Il est des culs dont la beauté défie le vocabulaire.
Des culs majestueux qui peuvent vous faire perdre la tête.
Il est des culs fiers dans leurs vêtements moulants.
Des culs timides dont on n’entraperçoit que les grandes lignes.
Il est des culs qui vous font retourner dans la rue.
Des culs qui vous inspirent des pensées crues.
Il est des culs gros ou petits, plats ou rebondis.
Des culs qui suscitent envie et jalousie.
Il est des culs discrets et des culs expressifs.
Des culs confortables qui se révèlent hautement addictifs.
Il est des culs venimeux qui peuvent causer votre perte.
Des culs complices qui vous mènent au 7ème ciel.
Il est des culs aux courbes renversantes.
Des culs qui semblent taillés pour vos mains.
Il est des culs pour les gourmets.
Des culs dont on se souvient de la forme et de la texture.
Il est des culs qui vous hantent.
Des culs dont on se souvient le pantalon aux chevilles.
Il est des culs charmants que l’on a envie de caresser.
Des culs provocants que l’on a envie de visiter, bouffer et lécher
Il est des culs qui se refusent à se laisser pénétrer.
Des culs généreux qui s’offrent aux coups de boutoir passionnés.
Il est des culs sur lesquels poser la tête après la baise.
Des culs meilleurs à baiser qu’un sexe.
Il est des culs qui sont une bénédiction.
Des culs que l’on veut pour soi à la maison.
...
Mesdames, c’est plus fort que moi,
Je crois que je suis amoureux de vos culs.
Des culs majestueux qui peuvent vous faire perdre la tête.
Il est des culs fiers dans leurs vêtements moulants.
Des culs timides dont on n’entraperçoit que les grandes lignes.
Il est des culs qui vous font retourner dans la rue.
Des culs qui vous inspirent des pensées crues.
Il est des culs gros ou petits, plats ou rebondis.
Des culs qui suscitent envie et jalousie.
Il est des culs discrets et des culs expressifs.
Des culs confortables qui se révèlent hautement addictifs.
Il est des culs venimeux qui peuvent causer votre perte.
Des culs complices qui vous mènent au 7ème ciel.
Il est des culs aux courbes renversantes.
Des culs qui semblent taillés pour vos mains.
Il est des culs pour les gourmets.
Des culs dont on se souvient de la forme et de la texture.
Il est des culs qui vous hantent.
Des culs dont on se souvient le pantalon aux chevilles.
Il est des culs charmants que l’on a envie de caresser.
Des culs provocants que l’on a envie de visiter, bouffer et lécher
Il est des culs qui se refusent à se laisser pénétrer.
Des culs généreux qui s’offrent aux coups de boutoir passionnés.
Il est des culs sur lesquels poser la tête après la baise.
Des culs meilleurs à baiser qu’un sexe.
Il est des culs qui sont une bénédiction.
Des culs que l’on veut pour soi à la maison.
...
Mesdames, c’est plus fort que moi,
Je crois que je suis amoureux de vos culs.
vendredi 10 octobre 2008
Kinky a mal aux bourses
Je n’en peux plus d’entendre parler de cette crise. Stop ! Stop ! Stop ! Comme si elle datait d’hier. Comme si la crise (n’)était (que) financière. Se faire sucer est toujours aussi bon, non ? On n’annonce pas de pénurie de chocolat à ce que je sache. Billie Holiday est toujours aussi bouleversante. Un grand Bordeaux ne cessera jamais de faire du bien au palais. Alors qu’est-ce qu’ils me cassent les couilles avec leurs bourses ?!
Kinky ne bande plus
J'ai une libido proche du néant depuis quelques jours. En fait depuis cette soirée totalement ratée le week-end dernier où tout le monde se regardait en chien de faïence au lieu de baiser. Il n'y a rien de plus sinistre que des libertins blasés qui parlent politique. Rattrapé par cette putain de crise financière dont je me contrefiche jusque dans mes nuits de luxure !
Je m'étais déjà un peu fait chier lors de ma dernière sortie en club avec V. J’avais mis ça sur le compte de la mauvaise journée que j’avais passé, de mon irritation envers ces hommes seuls trop nombreux et peu respectueux. La vérité c’est que tout ceci ne m’excitait plus. A part des câlins un peu poussés avec V et une petite pipe par une hollandaise rondelette je m’étais contenté de mater mollement.
Petite Brune met du coeur à l’ouvrage pour me sortir de mon apathie mais elle a, bien plus que moi, son lot de saloperies de la vie à gérer. J’ai déjà eu des baisses de libido par le passé. La fatigue, les préoccupations personnelles… Je me sens à un nouveau carrefour de mes envies. Je ne veux pas baiser en pilotage automatique. Sex is just about fun. Aller me ressourcer et revenir. Désirant et en verve.
Je m'étais déjà un peu fait chier lors de ma dernière sortie en club avec V. J’avais mis ça sur le compte de la mauvaise journée que j’avais passé, de mon irritation envers ces hommes seuls trop nombreux et peu respectueux. La vérité c’est que tout ceci ne m’excitait plus. A part des câlins un peu poussés avec V et une petite pipe par une hollandaise rondelette je m’étais contenté de mater mollement.
Petite Brune met du coeur à l’ouvrage pour me sortir de mon apathie mais elle a, bien plus que moi, son lot de saloperies de la vie à gérer. J’ai déjà eu des baisses de libido par le passé. La fatigue, les préoccupations personnelles… Je me sens à un nouveau carrefour de mes envies. Je ne veux pas baiser en pilotage automatique. Sex is just about fun. Aller me ressourcer et revenir. Désirant et en verve.
mercredi 8 octobre 2008
Tagué t'es
A défaut d'autre chose, j’ai été tagué par In Virgo Veritas.
En général je n’aime pas trop me plier à ces jeux mais cette fois cela touche à la musique et ça a le mérite d’être un peu plus original que les questionnaires habituels.
Reste à définir ce qu’est « une chanson qui me ressemble ». Etant bien plus sensible à la musique qu’aux paroles il m’est difficile de trouver des textes qui me ressemblent. J’ai tout de même essayé. Reposez-moi la question demain, il est probable que je vous cite 5 chansons totalement différentes.
Les femmes c’est du chinois de Serge Gainsbourg
Celle-ci ce sera pour le texte. Même si je progresse de jour en jour les femmes sont pour moi du chinois. Et puis parce que la période jazzy de Gainsbourg, qui reste méconnue, est à mon sens ce qui s’est fait de mieux dans la chanson d’expression française.
Bionic de Placebo
Parce que dans une période sombre de mon existence, proche de l’état dépressif, les fulgurances rock du groupe de Brian Molko m’ont apporté quotidiennement un précieux réconfort. Et puis le groupe est devenu tout ce qu’il destetait. Et je suis passé à autre chose.
Bury the evidence de Tricky
Parce que les paroles collent à merveille à cette sensation récurrente d’être un spectateur passif de ma vie. Parce qu’étiré jusqu’à la transe lors d’un concert mythique à l’Elysée Montmartre ce morceau restera mon plus beau souvenir de musique live.
Tired Of Being Alone d’Al Green
Parce que la voix extraordinaire d’Al Green parfaitement mise en valeur par les sublimes arrangements de Willie Mitchell est idéale pour emballer et s’emballer à l’horizontale.
Paranoid Android de Radiohead
Parce que j’ai une grande admiration pour Radiohead, sa musique et sa démarche puriste ? Oui. Mais non. Juste pour cette phrase simple et brillante : « ambition makes you look pretty ugly »
En général je n’aime pas trop me plier à ces jeux mais cette fois cela touche à la musique et ça a le mérite d’être un peu plus original que les questionnaires habituels.
Reste à définir ce qu’est « une chanson qui me ressemble ». Etant bien plus sensible à la musique qu’aux paroles il m’est difficile de trouver des textes qui me ressemblent. J’ai tout de même essayé. Reposez-moi la question demain, il est probable que je vous cite 5 chansons totalement différentes.
Les femmes c’est du chinois de Serge Gainsbourg
Les femmes c'est du chinois
Le comprenez-vous ? Moi pas.
Le comprenez-vous ? Moi pas.
Celle-ci ce sera pour le texte. Même si je progresse de jour en jour les femmes sont pour moi du chinois. Et puis parce que la période jazzy de Gainsbourg, qui reste méconnue, est à mon sens ce qui s’est fait de mieux dans la chanson d’expression française.
Bionic de Placebo
Parce que dans une période sombre de mon existence, proche de l’état dépressif, les fulgurances rock du groupe de Brian Molko m’ont apporté quotidiennement un précieux réconfort. Et puis le groupe est devenu tout ce qu’il destetait. Et je suis passé à autre chose.
Bury the evidence de Tricky
Parce que les paroles collent à merveille à cette sensation récurrente d’être un spectateur passif de ma vie. Parce qu’étiré jusqu’à la transe lors d’un concert mythique à l’Elysée Montmartre ce morceau restera mon plus beau souvenir de musique live.
It doesn't move me
Life doesn't move
It doesn't move me
Move me
It's like a blow to the head
It's like a blow to my head
It doesn't move me
Move me
Move me
Move me
It doesn't move me
It's like a movie
Just like a movie
Blow to the head
Life's like a blow to the head
Life doesn't move
It doesn't move me
Move me
It's like a blow to the head
It's like a blow to my head
It doesn't move me
Move me
Move me
Move me
It doesn't move me
It's like a movie
Just like a movie
Blow to the head
Life's like a blow to the head
Tired Of Being Alone d’Al Green
Parce que la voix extraordinaire d’Al Green parfaitement mise en valeur par les sublimes arrangements de Willie Mitchell est idéale pour emballer et s’emballer à l’horizontale.
Paranoid Android de Radiohead
Parce que j’ai une grande admiration pour Radiohead, sa musique et sa démarche puriste ? Oui. Mais non. Juste pour cette phrase simple et brillante : « ambition makes you look pretty ugly »
Pour ce qui est de LA chanson, ce sera le reprise par Nina Simone d' I Put A Spell On You. Insurpassable.
lundi 6 octobre 2008
J'hésite
Ouvrir un autre blog ou aborder d'autres sujets sur ce blog consacré à la fesse et la luxure.
jeudi 2 octobre 2008
Ma To Do List
- Engager une femme de ménage
- Organiser un concours de photos de fesses de lectrices
- Sauter la femme de ménage
- Trouver le sommeil
- Me faire sucer dans la rue
- M'organiser un week-end DVD et junk food
- Arrêter de mater des vidéos porno au boulot
- Songer à ma reconversion professionnelle
- Reprendre contact avec mon artiste fellatrice
- Lire le dernier Houellebecq pour en parler très fort au restaurant
- Revendre les strings usagés de ma petite brune
- Mettre des bandeaux de pub partout sur mon blog
- Changer mes photos sur netech'
- Trouver un sens à tout ceci
- Organiser un concours de photos de fesses de lectrices
- Sauter la femme de ménage
- Trouver le sommeil
- Me faire sucer dans la rue
- M'organiser un week-end DVD et junk food
- Arrêter de mater des vidéos porno au boulot
- Songer à ma reconversion professionnelle
- Reprendre contact avec mon artiste fellatrice
- Lire le dernier Houellebecq pour en parler très fort au restaurant
- Revendre les strings usagés de ma petite brune
- Mettre des bandeaux de pub partout sur mon blog
- Changer mes photos sur netech'
- Trouver un sens à tout ceci
mercredi 1 octobre 2008
Tout le monde n'a pas eu la chance de détester le lycée
Au départ j’étais très réticent. Je n’aime pas me souvenir du passé. Ou plutôt je suis pour la mémoire sélective. Mes années adolescentes et post-adolescentes ne sont dans ma mémoire qu’un no man’s land temporel que je n’ai nul plaisir à remuer. Et puis sous la pression amusée de ma petite brune j’ai fini par craquer. Je me suis inscrit sur copains d’avant, le site des jeunes vieux nostalgiques. La vérité c’est que je n’ai pas été insensible à cette petite voix intérieure, au petit espoir de retrouver les quelques cancres qui ont illuminé mes années de primaire.
Evidemment en consultant les fiches des inscrits qui ont fréquentés mon école de banlieue je n’ai retrouvé aucun des gamins avec lesquels j’ai fait les 400 coups au grand désespoir de mes parents. Devant moi défilent noms et têtes inconnus. En moins de deux minutes je suis saisi d’un gros coup de blues. Il y a quelque chose de déprimant dans les fiches de ces personnes qui ne se définissent et se projettent qu’à travers leur profession et leur statut marital. Et puis je ne sais pas comment dire les choses autrement, mais ça sent la naphtaline et la mort.
J’ai tout de même un sourire en tombant sur quelques photos de classe où j’apparais, l’air ridicule avec mes coupes de cheveux et vêtements improbables. Saletés d’années 80. La décennie qui n’aurait jamais dû exister. Je n’ai aucune nostalgie de ce passé. Et puis quid de mon droit à l’image ? L’oubli et l’anonymat sont morts avec Internet.
J’ai le doigt sur la souris, je suis prêt à refermer à jamais ce poussiéreux musée virtuel lorsqu’un sentiment de curiosité pointe le bout de son nez. Je jette un œil aux fiches de mes camarades de lycée. Camarades est un bien grand mot tant je me suis peu lié d’amitié dans le lycée pour gosses de riches où j’ai dû faire pénitence pour avoir occupé mon ennui en amusant mes petits camarades de classe. Ma curiosité se porte bien sûr vers les jeunes filles aujourd’hui devenues femmes qui ont partagé un peu de salive, excité mes hormones et alimenté mes fantasmes.
A ma grande surprise pratiquement tout le monde est inscrit sur le site et ma vie (sentimentale) repasse devant mes yeux. Je tombe d’abord sur Karine, une petite brune rondelette et dévergondée qui en seconde se plaçait toujours lors des récréations en face de la porte des toilettes pour hommes de telle façon à entrapercevoir le sexe des élèves mâles qui se soulageaient aux urinoirs et à laquelle, ayant repéré le petit manège, je me faisais un malin plaisir de faire plaisir. Quelques années plus tard je la sautais en sortant de boite.
Je suis ravi d’apprendre qu’Hélène, l’amie qui m’a initié à la littérature érotique pendant les cours de math vit aujourd’hui à l’autre bout du monde. Elle au moins s’est échappée du prévisible. Sylvie, l’intello moquée en 5e pour son appareil dentaire qui tiendra sa revanche deux années plus tard en se transformant en fille hautement désirable grâce à une poitrine prodigieuse et qui me caressera avec beaucoup de tendresse et de curiosité la queue pendant un slow lors de la fête de fin d’année, est aujourd’hui infirmière divorcée mère de 3 enfants. Nous avions un peu baisouillé quelques années plus tard lorsque nous nous sommes retrouvés inscrits aux mêmes cours de code de la route.
Flash hautement érectile en tombant sur la fiche de Tatiana, une brune à la beauté stupéfiante et dotée du plus joli cul de la terre, qui un soir d’hiver après les cours s’était fait prendre dans sa voiture par deux pions du lycée. Une scène dont son ex, bellâtre spectateur de la scène, n’avait pas tardé à fournir moult détails à tout le lycée. Le moins que l’on puisse dire c’est que Tatiana n’a rien perdu de sa beauté.
Je cherche Laetitia, la bombe qui en troisième faisait bander tout le lycée et eut l’extrême bon goût de me choisir comme copain pendant 3 mois, avant de tomber dans les bras d’un garçon qui réussit l’incroyable exploit d’obtenir la note d’un sur dix à ses tests psychotechniques. Mais celle-ci n’est pas inscrite. Cette recherche je dois l’avouer est motivée par une quête d’un plaisir sadique. Croisée quelques années plus tard, la pauvre avait perdu beaucoup de sa superbe et gagné une belle culotte de cheval.
Je ne trouve pas non plus Valérie, une petite ronde pas très belle qui s’était forgé dès la 4ème une belle réputation de "salope du lycée" en couchant avec à peu près tout la gente masculine des classes supérieures en un semestre à peine. Ce qui à l’époque était quelque chose. J’ai toujours eu beaucoup de tendresse pour cette fille qui avait cette qualité qui en tous temps m’a séduit : de l’humour.
Je tombe sur une autre Valérie (à l’époque il y en avait au moins 2 par classe), la bombe de la 4e4 qui ne m’aurait pas même adressé la parole et qui est tout à coup tombé sous mon charme le jour où son mec a préféré mêler sa salive à celle de ma copine. Ça m’allait, je ne perdais pas au change. Elle se laissait peloter Valérie. Je découvre que quelques couples formés au lycée sont toujours ensemble aujourd’hui. Demandez à n’importe quelle personne, il y a 99% de chances qu’elle trouve ça beau ces amours de jeunesse. Moi je trouve ça triste. Et ce n’est vraiment pas de la jalousie.
(Note à moi-même : penser à enfin prendre rendez-vous chez ce psy)
Mon cœur s’accélère lorsque je tombe sur le nom que je recherchais. Anne-Sophie, la première fille dont je sois tombé amoureux, la première femme que j’ai vu nue dans les vestiaires de la piscine municipale, la première à être l’héroïne de mes rêveries érotiques nocturnes. Celle qui m’aimait bien mais préférait les fils à papa. Le visage a un peu grossi mais elle a gardé ses jolies joues roses qui faisaient mon bonheur. Elle est toujours aussi belle. Elle vit désormais à l’autre bout de la France, mettant prématurément un terme à cette idée de la contacter pour enfin baiser mon amour de jeunesse qui traverse mon esprit malade.
(Note à moi-même : définitivement penser à prendre rendez-vous chez le psy)
Le sentiment de nausée mêlé de spleen est adouci par quelques jolis souvenirs qui remontent à la surface. Je prends la (sage) décision de supprimer ma fiche et d’éteindre l’ordinateur. Un bon jogging avec du gros son dans les oreilles me fera le plus grand bien.
Evidemment en consultant les fiches des inscrits qui ont fréquentés mon école de banlieue je n’ai retrouvé aucun des gamins avec lesquels j’ai fait les 400 coups au grand désespoir de mes parents. Devant moi défilent noms et têtes inconnus. En moins de deux minutes je suis saisi d’un gros coup de blues. Il y a quelque chose de déprimant dans les fiches de ces personnes qui ne se définissent et se projettent qu’à travers leur profession et leur statut marital. Et puis je ne sais pas comment dire les choses autrement, mais ça sent la naphtaline et la mort.
J’ai tout de même un sourire en tombant sur quelques photos de classe où j’apparais, l’air ridicule avec mes coupes de cheveux et vêtements improbables. Saletés d’années 80. La décennie qui n’aurait jamais dû exister. Je n’ai aucune nostalgie de ce passé. Et puis quid de mon droit à l’image ? L’oubli et l’anonymat sont morts avec Internet.
J’ai le doigt sur la souris, je suis prêt à refermer à jamais ce poussiéreux musée virtuel lorsqu’un sentiment de curiosité pointe le bout de son nez. Je jette un œil aux fiches de mes camarades de lycée. Camarades est un bien grand mot tant je me suis peu lié d’amitié dans le lycée pour gosses de riches où j’ai dû faire pénitence pour avoir occupé mon ennui en amusant mes petits camarades de classe. Ma curiosité se porte bien sûr vers les jeunes filles aujourd’hui devenues femmes qui ont partagé un peu de salive, excité mes hormones et alimenté mes fantasmes.
A ma grande surprise pratiquement tout le monde est inscrit sur le site et ma vie (sentimentale) repasse devant mes yeux. Je tombe d’abord sur Karine, une petite brune rondelette et dévergondée qui en seconde se plaçait toujours lors des récréations en face de la porte des toilettes pour hommes de telle façon à entrapercevoir le sexe des élèves mâles qui se soulageaient aux urinoirs et à laquelle, ayant repéré le petit manège, je me faisais un malin plaisir de faire plaisir. Quelques années plus tard je la sautais en sortant de boite.
Je suis ravi d’apprendre qu’Hélène, l’amie qui m’a initié à la littérature érotique pendant les cours de math vit aujourd’hui à l’autre bout du monde. Elle au moins s’est échappée du prévisible. Sylvie, l’intello moquée en 5e pour son appareil dentaire qui tiendra sa revanche deux années plus tard en se transformant en fille hautement désirable grâce à une poitrine prodigieuse et qui me caressera avec beaucoup de tendresse et de curiosité la queue pendant un slow lors de la fête de fin d’année, est aujourd’hui infirmière divorcée mère de 3 enfants. Nous avions un peu baisouillé quelques années plus tard lorsque nous nous sommes retrouvés inscrits aux mêmes cours de code de la route.
Flash hautement érectile en tombant sur la fiche de Tatiana, une brune à la beauté stupéfiante et dotée du plus joli cul de la terre, qui un soir d’hiver après les cours s’était fait prendre dans sa voiture par deux pions du lycée. Une scène dont son ex, bellâtre spectateur de la scène, n’avait pas tardé à fournir moult détails à tout le lycée. Le moins que l’on puisse dire c’est que Tatiana n’a rien perdu de sa beauté.
Je cherche Laetitia, la bombe qui en troisième faisait bander tout le lycée et eut l’extrême bon goût de me choisir comme copain pendant 3 mois, avant de tomber dans les bras d’un garçon qui réussit l’incroyable exploit d’obtenir la note d’un sur dix à ses tests psychotechniques. Mais celle-ci n’est pas inscrite. Cette recherche je dois l’avouer est motivée par une quête d’un plaisir sadique. Croisée quelques années plus tard, la pauvre avait perdu beaucoup de sa superbe et gagné une belle culotte de cheval.
Je ne trouve pas non plus Valérie, une petite ronde pas très belle qui s’était forgé dès la 4ème une belle réputation de "salope du lycée" en couchant avec à peu près tout la gente masculine des classes supérieures en un semestre à peine. Ce qui à l’époque était quelque chose. J’ai toujours eu beaucoup de tendresse pour cette fille qui avait cette qualité qui en tous temps m’a séduit : de l’humour.
Je tombe sur une autre Valérie (à l’époque il y en avait au moins 2 par classe), la bombe de la 4e4 qui ne m’aurait pas même adressé la parole et qui est tout à coup tombé sous mon charme le jour où son mec a préféré mêler sa salive à celle de ma copine. Ça m’allait, je ne perdais pas au change. Elle se laissait peloter Valérie. Je découvre que quelques couples formés au lycée sont toujours ensemble aujourd’hui. Demandez à n’importe quelle personne, il y a 99% de chances qu’elle trouve ça beau ces amours de jeunesse. Moi je trouve ça triste. Et ce n’est vraiment pas de la jalousie.
(Note à moi-même : penser à enfin prendre rendez-vous chez ce psy)
Mon cœur s’accélère lorsque je tombe sur le nom que je recherchais. Anne-Sophie, la première fille dont je sois tombé amoureux, la première femme que j’ai vu nue dans les vestiaires de la piscine municipale, la première à être l’héroïne de mes rêveries érotiques nocturnes. Celle qui m’aimait bien mais préférait les fils à papa. Le visage a un peu grossi mais elle a gardé ses jolies joues roses qui faisaient mon bonheur. Elle est toujours aussi belle. Elle vit désormais à l’autre bout de la France, mettant prématurément un terme à cette idée de la contacter pour enfin baiser mon amour de jeunesse qui traverse mon esprit malade.
(Note à moi-même : définitivement penser à prendre rendez-vous chez le psy)
Le sentiment de nausée mêlé de spleen est adouci par quelques jolis souvenirs qui remontent à la surface. Je prends la (sage) décision de supprimer ma fiche et d’éteindre l’ordinateur. Un bon jogging avec du gros son dans les oreilles me fera le plus grand bien.
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