vendredi 10 octobre 2008

Kinky a mal aux bourses

Je n’en peux plus d’entendre parler de cette crise. Stop ! Stop ! Stop ! Comme si elle datait d’hier. Comme si la crise (n’)était (que) financière. Se faire sucer est toujours aussi bon, non ? On n’annonce pas de pénurie de chocolat à ce que je sache. Billie Holiday est toujours aussi bouleversante. Un grand Bordeaux ne cessera jamais de faire du bien au palais. Alors qu’est-ce qu’ils me cassent les couilles avec leurs bourses ?!

13 commentaires:

Anonyme a dit…

Tout pareil que vous (sauf que, j'ai même pas le plaisir d'en avoir des bourses.)

Anonyme a dit…

Je travaille dans le milieu financier et pourtant, mes collègues masculins n'en parlent pas des masses de la crise boursière... Remarque, ils ont peut-être une meilleure libido que vous ? ;)

Anonyme a dit…

Vite, vite , sortont de cette tempête boursière ,sinon la tension risque de monter plus haut ,crack , geiser , évacuation de la bourse en entier ....sourire.
Merci de ton passage chez moi .
Cèdulie.

Anonyme a dit…

c'est vrai ça… quand il n'y a plus rien à manger… une bonne queue ça ne se refuse pas !

Anonyme a dit…

Salut... cette crise me réjouit! Casques obligatoire : chute de traders! Bien fait pour eux, je ne les plaindrai pas. Mais, en écho à ton post sur la sodomie, et ce en quoi je suis d'accord avec toi : si tout n'était qu'une question de pouvoir, voire de domination... alors finalement, après la réjouissance de cette crise, ce n'est pas aux bourses que l'on risque d'avoir mal...

Anonyme a dit…

C'est pas faux, il est temps de parler de choses un peu plus gaies...bises

Anonyme a dit…

Voyez, ils font des pieds et des mains et nous créent toutes sortes de crises là haut pour qu'on lache prise sur le sexe. Ils n'ont pas réalisé que si on n'avait plus rien c'était tout ce qu'il nous restait.

Anonyme a dit…

Le sexe est subversif, le désir est imprenable car c'est ce qui nous appartient en propre, nous sommes le monde, nous sommes la vie, ce qui est en crise aujourd'hui c'est un système de lâches et de fuyards, ils ne sont pas l'avenir et ils ne sont déjà plus le présent, qu'ils s'écroulent, on pourra s'essuyer les pieds!

Anonyme a dit…

Hé ! Vas y doucement ! Faut pas qu'il te les cassent trop fort... C'est fragile ces p'tites choses là !! Hi ! Hi !
Bisous

Anonyme a dit…

J'aime bien vous coups de gueule Kinky, parce que moi c'est tout pareil seulement nous autres (pov' femmes sans attributs), on peut pas en parler aussi bien que vous... Forcément !

Kinky a dit…

@ miss pelisse :
Vous avez bien de la chance. C'est encombrant et fragile ces choses là ;-)

@ agatha :
C'est bon à savoir, pour être peinard avec la crise financière il faut bosser dans la finance. Moi qui cherchais une reconversion...

@ cédulie :
Vu comme ça cela donne des envies de simulation boursière à la maison ;-)

@ lindalee b :
Exactement. Quand nos frigos seront vides nous pourront nous tourner vers cette dernière valeur sûre : la baise.

@ el novicio :
Moi non je ne vais pas plaindre plus les traders. Certainement pas. La bulle qu’ils ont créé artificiellement leur explose à la gueule. Ce n’est qu’un retour à la normale.

@ emilie :
De choses plus gaies et plus vraies. La vie ce n’est pas les stock options et le CAC 40.

@ oxanne :
Je ne crois même pas qu’ils aient pensé à tout cela. Ils n’ont pensé qu’à s’enrichir toujours plus en créant sans cesse de nouveaux produits financiers plus abérrants les uns que les autres. Le système s’est écroulé et le boomerang leur revient à la gueule. Qui va les plaindre ?

@ el novicio :
Je ne suis pas sûr que le sexe soit toujours subversif. C’est un système totalement délirant (le summum étant atteint avec les golden parachutes, véritables primes à l’échec) et sans contrôle, qui se dévore lui-même. C’est plus une crise de civilisation qu’une crise boursière.

@ foldenvy :
Rassurez-vous, si elles sont à traiter avec soin, elles sont plus solides qu’ils n’y parait ;-)

@ gicerilla :
Forcément.

Anonyme a dit…

Quelle crise?
^ ^

Kinky a dit…

@ hector :
Sourire...