Je viens de découvrir - ben oui, désolé je vis reclus sans journaux, ni JT - que l'un de mes plus éminents confrères avait choisi de se retirer (momentanément ?) de la vie bloguesque. Et je suis inquiet. Des cellules psychologiques ont-elles été mises en place ? A-t-on réussi à endiguer les vagues de suicide que cette décision pourrait susciter, en particulier chez les parisiennes mal mariées ?
samedi 31 décembre 2011
mardi 27 décembre 2011
We wish you a merry christmas
Les magasins bondés. Le cadeau qui manque à la dernière minute. Les maisons fardées de guirlandes électriques. Les feux de cheminée. Les chants insupportables. Les sourires de circonstance. Les mêmes plates questions depuis 30 ans. Les fines analyses politiques autour d'une bûche dégueulasse. Les cadeaux de circonstance, revendus dès le lendemain sur e-bay. Les moments de solitude. Les bêtisiers, best of et films avec des chiens qui parlent. Les boites de mauvais chocolats que l'on mange quand même. Les kilos en plus. Une impression de fin du monde.
vendredi 23 décembre 2011
Cher Père Noël
Je n'ai pas été très sage, mais quand même, j'aimerais prendre commande d'une compagnonne d'échappée
jeudi 22 décembre 2011
Mesdemoiselles, mesdames
Parfois, des nuits d'insomnies, j'aime à errer sur vos blogs la bite à la main.
Smells like teen spirit
On se pelote un peu sur son canapé. Puis elle me propose de passer dans la chambre. Je la plaque sur le lit, relève sa robe, fait glisser sa culotte et plonge le visage entre ses cuisses. Elle se tortille, serre les cuisses et me repousse.
- Tu n'aimes pas que l'on te lèche ?
- Si bien sûr, mais uniquement lorsque je sors de la douche
Elle est jeune certes. Mais qu'est-ce qui peut lui faire croire que l'on préfère les chattes qui ont le goût de savonnette ?
- Tu n'aimes pas que l'on te lèche ?
- Si bien sûr, mais uniquement lorsque je sors de la douche
Elle est jeune certes. Mais qu'est-ce qui peut lui faire croire que l'on préfère les chattes qui ont le goût de savonnette ?
Happiness is a warm gun
Une fille avec qui je suis sorti à la fac m'a retrouvé sur Facebook. Elle vit à l'étranger où elle s'est mariée avec un type qui pourrait presque être son père et qui lui a fait deux enfants. Et devinez quoi ? Elle s'ennuie, n'a pas baisé depuis plus de six mois et joue la comédie pour les enfants. La vie est vraiment pleine de surprises.
lundi 19 décembre 2011
Shame (on me ?)
J'avais entendu un critique à la radio dire (un peu plus subtilement que je ne vais le faire) que Shame était un film qui donnait envie de baiser. Je devais aller le voir avec une demoiselle fort jolie que je voulais baiser. J'y suis finalement allé seul. Et le film ne m'a pas donné envie de baiser.
Blague à part, c'est un film qui m'a quand même un peu secoué. Il y a des petits morceaux de ma vie dans ce film, ici et là. Même si je suis (étais ?) plutôt un sex-addict modéré (si, si). J'ai lu qu'il s'agissait d'un film moralisateur et puritain. C'est fou les conneries qu'on peut lire dans Libé et Les Inrocks ces jours-ci. D'ailleurs en parlant systématiquement de sexe froid pour décrire la sexualité du personnage principal, c'est peut-être bien eux les puritains.
En général, je n'aime pas les films qui traitent de sexe. Soit ils essaient d'être bandants et se plantent quasi-systématiquement. Soit ils traitent de sexualités plus ou moins en marge en les caricaturant ou en portant un regard moralisateur. Voire même les deux en même temps. C'est courant, exposer une sexualité à laquelle on rêve, on aspire, et la dénigrer pour se donner bonne conscience. Shame ne cherche pas à émoustiller. Tant mieux. Si je devais faire le top 10 de mes scènes de sexe préférées au cinéma, très peu seraient issues de films à prétentions érotiques. Il traite par contre de l'addiction au sexe. Au sexe pour le sexe ajouteront certains (critiques). Le sexe pour le sexe mène-t-il forcément à l'addiction ? Au sexe froid et désincarné ? Ce n'est pas un raccourci qu'emprunte le réalisateur (même si je ne suis pas sûr que). Par contre nos amis sus-mentionnés...
Blague à part, c'est un film qui m'a quand même un peu secoué. Il y a des petits morceaux de ma vie dans ce film, ici et là. Même si je suis (étais ?) plutôt un sex-addict modéré (si, si). J'ai lu qu'il s'agissait d'un film moralisateur et puritain. C'est fou les conneries qu'on peut lire dans Libé et Les Inrocks ces jours-ci. D'ailleurs en parlant systématiquement de sexe froid pour décrire la sexualité du personnage principal, c'est peut-être bien eux les puritains.
En général, je n'aime pas les films qui traitent de sexe. Soit ils essaient d'être bandants et se plantent quasi-systématiquement. Soit ils traitent de sexualités plus ou moins en marge en les caricaturant ou en portant un regard moralisateur. Voire même les deux en même temps. C'est courant, exposer une sexualité à laquelle on rêve, on aspire, et la dénigrer pour se donner bonne conscience. Shame ne cherche pas à émoustiller. Tant mieux. Si je devais faire le top 10 de mes scènes de sexe préférées au cinéma, très peu seraient issues de films à prétentions érotiques. Il traite par contre de l'addiction au sexe. Au sexe pour le sexe ajouteront certains (critiques). Le sexe pour le sexe mène-t-il forcément à l'addiction ? Au sexe froid et désincarné ? Ce n'est pas un raccourci qu'emprunte le réalisateur (même si je ne suis pas sûr que). Par contre nos amis sus-mentionnés...
On ne sait rien du personnage joué par Mickael Fassbender (acteur qui donne de sa personne). Un connard léger, ni antipathique, ni sympathique pour qui comme moi n'a rien contre les hommes célibataires CSP+ qui vivent dans un appartement d'homme célibataire CSP+. Un baiseur compulsif dont on se doute bien qu'il a un passif et dont les névroses sont apparentes. Car bien sûr un personnage qui poly-baise et y trouve son équilibre n'aura jamais sa place au cinéma. Ce qui fait la différence, c'est le regard plein d'empathie que porte le réalisateur sur son héros. Et quelques scènes de bravoures (dont la première scène de "chasse" dans le métro et celle dans le bar qui l'amènera à se faire casser la gueule).
vendredi 16 décembre 2011
jeudi 15 décembre 2011
mercredi 14 décembre 2011
lundi 12 décembre 2011
.
Six mois de célibat et de rencontres auront suffi à me rendre profondément (et irrémédiablement ?) misogyne. Ce n'est pas grave, ça n'a jamais empêché de baiser. Kinky se met en mode viandard.
Vent d'hiver
C’est étrange la vitesse à laquelle une personne qui a partagé votre vie pendant plusieurs années peut devenir quasi-étrangère. On se dit que toutes ces merdes qu’on a vécues ensemble ont créé des liens qui survivront. Mais non. Même concertée et apaisée, une rupture brise tout sur son passage. Il est possible que ça m’embête un peu de la voir plus heureuse que moi.
Heureusement que je baise (un peu), parce qu’en dehors de ça… Des femmes aussi abimées que moi. Des folles furieuses. Des maladroites. Comme si j’étais contre les one-shots ! Pudeur féminine sans doute. Et surtout des mères célibataires jamais disponibles. Faut que j’arrête les rencontres virtuelles. J’ai eu la faiblesse d’avoir deux petits coups de cœur. C’est vain. C’est nul. Ça ne sert à rien.
J’envisage des changements radicaux. Mais c’est l’un des aspects les plus négatifs de la dépression. Elle vous prive de courage.
Heureusement que je baise (un peu), parce qu’en dehors de ça… Des femmes aussi abimées que moi. Des folles furieuses. Des maladroites. Comme si j’étais contre les one-shots ! Pudeur féminine sans doute. Et surtout des mères célibataires jamais disponibles. Faut que j’arrête les rencontres virtuelles. J’ai eu la faiblesse d’avoir deux petits coups de cœur. C’est vain. C’est nul. Ça ne sert à rien.
J’envisage des changements radicaux. Mais c’est l’un des aspects les plus négatifs de la dépression. Elle vous prive de courage.
vendredi 9 décembre 2011
jeudi 8 décembre 2011
mercredi 7 décembre 2011
Propre / figuré
Demain j'aurai retrouvé mes esprits. Mais ce soir j'en ai un peu ma claque de jouer les bouche-trous.
vendredi 2 décembre 2011
Juste parce que...
ça m'inspire
ça me rappelle des souvenirs
ça me fait réaliser que je suis bien trop sage dernièrement
ça me rappelle des souvenirs
ça me fait réaliser que je suis bien trop sage dernièrement
[photo volée ici]
mercredi 30 novembre 2011
Bon coup. Coup de queue. Queue de poisson.
Non sans une part d’égotisme et d’exhibitionnisme, nous dévoilons de façon plus ou moins crue (une partie de) notre intimité sur nos blogs. Le plus souvent en choisissant un angle qui nous met en valeur (et donne du style à nos écrits). En taisant l’ordinaire pour n’évoquer que les moments les plus intenses, les plus fantasques, les plus fulgurants. Nous sublimant, nous et nos amant(e)s. Nos écrits peuvent être intimidants pour qui nous lit. Et soyons honnêtes, nous en jouons. Nous nous construisons une aura de super amant(e).
Plus d’une fois des lectrices que je souhaitais séduire m’ont exprimé leur crainte de ne pas être un bon coup. Ou plus précisément pas autant que les amantes que je décrivais dans mes textes. La crainte n’est pas exclusivement féminine. Beaucoup d’amies blogueuses et/ou libertines m’ont confié faire fuir les mecs, qui se déballonnent au dernier moment devant la sexualité assumée qui les a d’abord attirés. La peur de la comparaison. La peur de ne pas être un bon coup.
Mais qu'est-ce qu'un bon coup ?
La réponse n’est pas si simple qu’il n’y parait. Comme le disait fort justement dans un billet récent une blogueuse dont je ne me souviens plus de la fausse identité, le bon coup de l'un(e) n'est pas forcément le bon coup de l'autre. (Ce qui rend non-pertinentes bien des discussions entre filles). Je suis totalement convaincu de cela. Parce qu’il y a une question d’alchimie entre deux corps, entre deux peaux, entre deux désirs. Parce que pour être un bon coup il faut être deux (minimum). Parce que ça peut être question de contexte.
Et puis hommes et femmes n’ont pas forcément sur le sujet la même perception.
Au final, je pense que l’on peut dire qu’un bon coup c’est simplement un(e) partenaire qui vous procure du plaisir (et du plaisir à donner du plaisir). Et fort heureusement, le plaisir n’est pas (qu’) affaire de positions, de pratiques sexuelles ou d’orifices visités. Il ne se mesure pas en centimètres (de verge ou de tour de poitrine), en minutes (de limage/pénétration) ou en cl (clin d’œil). Enfin pas toujours. Il n’exige même pas un ventre plat ou des fesses sans cellulite. Le plaisir est le plus souvent affaire d’affinités et de partage.
Mais pas que.
Je connais des hommes pour qui il suffit que la femme qu’ils baisent soit bien faite pour qu’ils soient satisfaits et la qualifient de bon coup lors de leurs conversations autour de la machine à café. J’ai une amie libertine collectionneuse de (très) gros calibres. Je me suis rendu compte en échangeant régulièrement avec elle sur ses aventures qu’il suffisait que ses partenaires soient particulièrement gâtés par la nature pour qu’elle soit satisfaite. Mais c’est là je crois (oui, hein ?) plus l’exception que la règle.
Derrière la question « suis-je un bon coup ? » que se pose tout un chacun à un moment de son existence (et éventuellement face à un(e) partenaire dont l’expérience est supposément bien plus grande que la sienne), se pose la question du savoir-faire (jouir). De la technique.
Ah, la technique ! Ce serait si simple si ça suffisait (à coup sûr). Ce serait encore plus simple si ça ne comptait pas. Les meilleures fellatrices ne sont pas forcément celles qui ont sucé le plus de bites. Mais les meilleures pipes sont souvent le résultat d’une longue expérience. Et il m’est d’avis qu’il en est de même pour les cunnilinguistes.
Il y a la question de celles et ceux qui ne font pas. Des femmes qui ne sucent pas. Des hommes qui ne lèchent pas. Ou à contrecœur. Est-ce qu’une femme qui ne suce pas peut être un bon coup ? Chacun aura un point de vue personnel sur le sujet mais ma réponse est un non catégorique. C’est sans doute sexiste et je ne sais quoi encore mais c’est comme ça. Non négociable. Je suis moins inflexible sur la sodomie.
La technique, ok. Mais il ne faudrait pas sous-estimer l’enthousiasme. Et puis le sexe c’est un peu comme le piano ou la cuisine. Certain(e)s sont doué(e)s naturellement.
Finalement la technique sexuelle, c’est un minimum vital de 2-3 choses à savoir (faire) et autant à ne pas faire. A partir du moment où l’on a déjà entendu parler du clitoris.
En fait, bien plus que le savoir-faire, ce qui fait le bon coup, c’est le savoir être.
(PS : Cette note tardive a été rédigée dans un état de légère ( ?) ébriété. Elle pourrait donc être amenée à être modifiée/supprimée une fois exposée à la lumière du jour. Je tiens à ajouter que le premier qui dit ça se voit et bien… et bien… euh… il est pas gentil.)
Plus d’une fois des lectrices que je souhaitais séduire m’ont exprimé leur crainte de ne pas être un bon coup. Ou plus précisément pas autant que les amantes que je décrivais dans mes textes. La crainte n’est pas exclusivement féminine. Beaucoup d’amies blogueuses et/ou libertines m’ont confié faire fuir les mecs, qui se déballonnent au dernier moment devant la sexualité assumée qui les a d’abord attirés. La peur de la comparaison. La peur de ne pas être un bon coup.
Mais qu'est-ce qu'un bon coup ?
La réponse n’est pas si simple qu’il n’y parait. Comme le disait fort justement dans un billet récent une blogueuse dont je ne me souviens plus de la fausse identité, le bon coup de l'un(e) n'est pas forcément le bon coup de l'autre. (Ce qui rend non-pertinentes bien des discussions entre filles). Je suis totalement convaincu de cela. Parce qu’il y a une question d’alchimie entre deux corps, entre deux peaux, entre deux désirs. Parce que pour être un bon coup il faut être deux (minimum). Parce que ça peut être question de contexte.
Et puis hommes et femmes n’ont pas forcément sur le sujet la même perception.
Au final, je pense que l’on peut dire qu’un bon coup c’est simplement un(e) partenaire qui vous procure du plaisir (et du plaisir à donner du plaisir). Et fort heureusement, le plaisir n’est pas (qu’) affaire de positions, de pratiques sexuelles ou d’orifices visités. Il ne se mesure pas en centimètres (de verge ou de tour de poitrine), en minutes (de limage/pénétration) ou en cl (clin d’œil). Enfin pas toujours. Il n’exige même pas un ventre plat ou des fesses sans cellulite. Le plaisir est le plus souvent affaire d’affinités et de partage.
Mais pas que.
Je connais des hommes pour qui il suffit que la femme qu’ils baisent soit bien faite pour qu’ils soient satisfaits et la qualifient de bon coup lors de leurs conversations autour de la machine à café. J’ai une amie libertine collectionneuse de (très) gros calibres. Je me suis rendu compte en échangeant régulièrement avec elle sur ses aventures qu’il suffisait que ses partenaires soient particulièrement gâtés par la nature pour qu’elle soit satisfaite. Mais c’est là je crois (oui, hein ?) plus l’exception que la règle.
Derrière la question « suis-je un bon coup ? » que se pose tout un chacun à un moment de son existence (et éventuellement face à un(e) partenaire dont l’expérience est supposément bien plus grande que la sienne), se pose la question du savoir-faire (jouir). De la technique.
Ah, la technique ! Ce serait si simple si ça suffisait (à coup sûr). Ce serait encore plus simple si ça ne comptait pas. Les meilleures fellatrices ne sont pas forcément celles qui ont sucé le plus de bites. Mais les meilleures pipes sont souvent le résultat d’une longue expérience. Et il m’est d’avis qu’il en est de même pour les cunnilinguistes.
Il y a la question de celles et ceux qui ne font pas. Des femmes qui ne sucent pas. Des hommes qui ne lèchent pas. Ou à contrecœur. Est-ce qu’une femme qui ne suce pas peut être un bon coup ? Chacun aura un point de vue personnel sur le sujet mais ma réponse est un non catégorique. C’est sans doute sexiste et je ne sais quoi encore mais c’est comme ça. Non négociable. Je suis moins inflexible sur la sodomie.
La technique, ok. Mais il ne faudrait pas sous-estimer l’enthousiasme. Et puis le sexe c’est un peu comme le piano ou la cuisine. Certain(e)s sont doué(e)s naturellement.
Finalement la technique sexuelle, c’est un minimum vital de 2-3 choses à savoir (faire) et autant à ne pas faire. A partir du moment où l’on a déjà entendu parler du clitoris.
En fait, bien plus que le savoir-faire, ce qui fait le bon coup, c’est le savoir être.
(PS : Cette note tardive a été rédigée dans un état de légère ( ?) ébriété. Elle pourrait donc être amenée à être modifiée/supprimée une fois exposée à la lumière du jour. Je tiens à ajouter que le premier qui dit ça se voit et bien… et bien… euh… il est pas gentil.)
jeudi 24 novembre 2011
A star is born
J'en ai reçu des propositions depuis que je blogue et fréquente les sites de rencontre. Des scénarios, escapades et autres propositions malhonnêtes que je me suis empressé d'accepter, bien sûr, et dont je vous ai parfois fait le récit. Des invitations à des gang-bangs et bukkakes que j'ai déclinées. Tout comme plusieurs invitations à des tournages X, dont un film gay. Des propositions de publi-rédactionnel, de partenariats divers. Un type m'a proposé un jour 300 euros pour racheter mon blog. Un couple m'a proposé de devenir leur homme à tout faire (vraiment tout) contre un salaire plus qu'honorable. Une femme m'a proposé de m'entretenir. On m'a proposé trois fois de témoigner dans des émissions de télévision, sur le libertinage ou l'addiction au sexe. Mais là je dois dire que je ne m'attendais pas à ça. On vient de me proposer de "trouver le Grand Amour" en participant à une "émission de télé très sérieuse qui n'est pas de la télé-réalité". Kinky à Tournez manège, ça aurait de la gueule, non ?
mercredi 23 novembre 2011
.
Dans la vie il y a deux catégories de personnes. Il y a celles qui s'autodétruisent. Et celles qui s'autodétruisent avec classe. Je fais partie de la première.
lundi 21 novembre 2011
Dans ma boite mail
Grossequeuedanstoncul vous a écrit un message.
Ne jamais s'inscrire sur un site BDSM. A moins que...
Ne jamais s'inscrire sur un site BDSM. A moins que...
vendredi 18 novembre 2011
Flash info
J'ai lu tout à l'heure qu'une étude démontrait qu'avoir des rapports sexuels avec des animaux augmentait les risques de cancer du pénis. Elle ne dit pas par contre si coucher avec un porc augmente les risques de cancer de la vulve.
jeudi 17 novembre 2011
mercredi 16 novembre 2011
Virtuel
J’ai appuyé sur pause. Je n’ai jamais repris la lecture du DVD. Une soirée qui passe comme éclair scotché à mon iPhone. Des messages en cascade. Des one-shot potentiels. Une complicité naissante. Puis deux. L’une est libertine. L’autre a toutes les armes. Les deux sont ravissantes, dans un style différent. C’est un piège je le sais. Une illusion. Mais c’est grisant. Le cœur s’accélère un peu. On joue. L’imagination s’emballe. Et puis l’on se quitte avec de belles promesses. Seul dans mon lit je suis fatigué. Et je bande. Je pense à elle. Qui me plait trop pour que je baisse les bras. Demain est un autre jour. De tout cela, il ne restera au mieux que quelques traces.
Chambre 501
Lorsque je lui demande ce qu’elle est, elle hésite, rougit, puis susurre « une petite chienne soumise » de façon à peine audible.
Lorsque je lui demande de remonter sa jupe, elle baisse les yeux comme une petite fille qui sait qu’elle est en train de faire une bêtise.
Elle place sa main pour cacher son sexe lorsque je lui demande de baisser sa culotte jusqu’aux chevilles.
L'après-midi est prometteuse.
Lorsque je lui demande de remonter sa jupe, elle baisse les yeux comme une petite fille qui sait qu’elle est en train de faire une bêtise.
Elle place sa main pour cacher son sexe lorsque je lui demande de baisser sa culotte jusqu’aux chevilles.
L'après-midi est prometteuse.
mardi 15 novembre 2011
Kinky se mord la queue
Rencontrer. Séduire. Baiser. Se protéger. S'attacher. Baiser. Jouir. Se détacher. Se faire mal. Baiser. Se relever. Blesser. Vibrer. Rencontrer. Jouer. Baiser. Jouir. Oublier. Se sentir vivant. Espérer. S'effondrer. Rencontrer. Baiser. Jouir. Se lasser. Regretter. Bander. Se dévoiler. Rencontrer. Se faire mal. Baiser. Passer à côté. Dormir. Rencontrer. Baiser. Baiser. Baiser.
Aimer ?
Aimer ?
lundi 14 novembre 2011
Kinky lit Babar
Il y a des choses intéressantes parmi les inédits et prises alternatives inclus dans la version Deluxe qui fête les 40 ans de Melody Nelson. Une très belle version de L’hôtel particulier notamment. Je suis nettement moins emballé par la version Bashung de L’homme à la tête de chou. Un massacre. La preuve que maitriser le talk over n’est pas donné à tout le monde, n’en déplaise à certains détracteurs. Je ne suis pas plus emballé par l’album de reprises du fiston. Réécouter Melody Nelson aujourd’hui permet de mesurer à quel point son influence est énorme dans tout un pan de la pop moderne post-Portishead. Cerise sur le gâteau, un DVD incluant un documentaire qui donne la parole à Jean-Claude Vannier, arrangeur-compositeur aussi génial que discret.
Je réécoute beaucoup Pansoul, le génial premier (et unique) album de Motorbass. Si l’on peut aujourd’hui discuter musique française avec des branchés du monde entier sans déclencher l’hilarité, on le doit avant tout à Daft Punk et Air qui ont enfoncé pas mal de portes. Mais on le doit aussi à Motorbass et Saint-Germain qui avec Pansoul et Boulevard ont signé deux bijoux qui vieillissent très bien.
Il y a eu un grand passage à vide dans le cinéma français. D’un côté un cinéma nombriliste, auto-complaisant et bâclé au nom d’une défiance auteuriste envers le cinéma américain et de l’autre côté un cinéma populaire totalement puéril et mercantile. Et puis depuis deux-trois ans on sent qu’il se passe un truc. La guerre est déclarée, Les bien-aimés, Intouchables, Polisse, L’exercice de l’état, Toutes nos envies… J’ai vu ces dernières semaines plus de films français qui m’ont touché que dans toutes les années 2000.
Côté US, c’est par contre plutôt la débandade. Pas grand-chose à se mettre sous la dent. On le sait, les talents (et en particulier les scénaristes) ont choisi la télévision. HBO et Showtime. Alors j’ai rattrapé un peu mon retard ces derniers mois. Et je me convertis peu à peu sériophile. The Office et Breaking Bad qui font figure de chouchous de la critique me laissent indifférent. A contrario, je trouve la critique bien sévère concernant Boardwalk Empire, la série produite par Martin Scorcese et menée par un Steve Buscemi encore meilleur que dans les Sopranos. Même constat pour Treme dont le pitch, décrire la Nouvelle Orléans post-Katrina, est en soi déjà un cadeau du ciel. Plus lente que la fascinante The Wire signée des mêmes auteurs, Treme n’en est pas moins passionnante et envoutante. Et puis, voilà une série qui fait un important devoir de mémoire. Je ne comprends pas la relative indifférence qui entoure The Good Wife chez nous. Au-delà de l’incroyable similitude avec l’affaire DSK, c’est une série absolument remarquable sur les arcanes du système judiciaire et de ses luttes de pouvoir. Peut-être parce que M6 l’a (mal) vendue comme une série de femmes.
samedi 12 novembre 2011
Samedi matin
J'adore ma cravache. Mais ce n'est pas pratique pour voyager léger en toute discrétion.
mercredi 9 novembre 2011
samedi 5 novembre 2011
Evaluation
Élève motivée, présentant de réelles aptitudes pour la docilité et l'obscénité. Encore un peu indisciplinée et dissipée. A corriger.
vendredi 4 novembre 2011
Maitre Capello
Chatter est parfois désespérant. On en arrive à des gens qui font des fautes d'orthographe sur des mots de deux lettres.
Affaire de goût
Je retrouve le goût d'écrire.
Je retrouve le goût de la correspondance.
Je retrouve le goût du risque.
Je retrouve le goût du jeu.
Je retrouve le goût de l'exhibition.
Je retrouve le goût d'être moi-même.
Mais plus que jamais me manque le goût de tes lèvres.
Je retrouve le goût de la correspondance.
Je retrouve le goût du risque.
Je retrouve le goût du jeu.
Je retrouve le goût de l'exhibition.
Je retrouve le goût d'être moi-même.
Mais plus que jamais me manque le goût de tes lèvres.
jeudi 3 novembre 2011
Groundhog day
C'est un schéma récurrent. Tu discutes avec une nana. Tu la trouves mignonne. Et au bout d'une heure tu découvres qu'elle est fan de Muse.
mardi 1 novembre 2011
Virée nocturne
Minuit l'heure du crime. Elle m'attend comme convenu à un carrefour du centre ville. Elle passe la tête par la vitre côté passager, me fait un grand sourire, jette sa cigarette et monte dans la voiture. Son parfum, que je reconnais sans en trouver le nom, mêlé à une légère odeur de tabac, emplit l'habitacle. Je démarre. Nous n'avons pas fait cent mètres que sa main vient caresser ma cuisse et tâter mon entrejambe. Quand je pose la main sur sa cuisse, elle relève sa jupe et me dévoile sa petite chatte épilée. J'ai un peu de mal à me concentrer sur la route. Quand je m'arrête au feu, elle a les cuisses écartées, les pieds sur la tableau de bord, et se caresse. Les yeux fermés. Pour fuir mon regard ? Ou celui des éventuelles autres voitures ? Je la regarde. Je la désire. Je l'admire. Finalement les plans cul d'Adopte... Le feu passe au vert, je prend la latérale. Avant de m'engouffrer sur le parking sombre et isolé d'un supermarché.
lundi 31 octobre 2011
dimanche 30 octobre 2011
Pâle octobre
On est pris par les (non) événements, on se couche exténué, on essaye de gérer et réorganiser sa vie tant bien que mal... Et puis un dimanche après-midi morne et gris, au moment de s'allonger pour une sieste bien méritée, on se rend compte que ça fait bien dix jours qu'on a pas bouffé un cul.
mardi 25 octobre 2011
Kinky a la flemme de trouver un titre amusant
J'ai toujours voulu aller vivre en Espagne. J'ai trouvé une raison de plus. Là-bas, il n'y a pas de rugby. Mais ce ne sera pas pour tout de suite. Beaucoup de changements dans ma vie. Redoutable accélération. Le hasard (?) a voulu qu'une femme que j'ai aimé réapparaisse dans mon entourage. Ah ses yeux verts... Je navigue à vue entre périodes de frénésie sexuelle et phases zen. Je sais qu'elle n'est pas faite pour moi, mais eh... quel cul ! Et puis, elle me résiste un peu. Alors...
mardi 18 octobre 2011
samedi 15 octobre 2011
jeudi 13 octobre 2011
La loi de Kinky
Vous avez beau vous être (re-)construit un carnet d'adresses, le soir où vous avez VRAIMENT envie de baiser personne n'est disponible.
Vs
- Je ne peux pas, j'héberge une copine pendant quelques jours.
Moi je ne vois vraiment pas où est le problème...
Moi je ne vois vraiment pas où est le problème...
J'ai oublié...
Les inévitables racoleuses arnaqueuses qui vous proposent des strips en webcam contre quelques SMS...
Kinky au rapport
Alors, Adopte ?
Et bien... c'est plutôt mieux que je ne le pensais. Quelques (habituelles) tordues névrosées. Beaucoup de contacts en même temps. Des emplois du temps incompatibles. Des plans cul revigorants. L'évadée fiscale qui pète un câble après une séance de domination prometteuse. Un rendez-vous irréel que j'ai sabordé. Une blonde qui me touche et avec qui peut-être...
Et bien... c'est plutôt mieux que je ne le pensais. Quelques (habituelles) tordues névrosées. Beaucoup de contacts en même temps. Des emplois du temps incompatibles. Des plans cul revigorants. L'évadée fiscale qui pète un câble après une séance de domination prometteuse. Un rendez-vous irréel que j'ai sabordé. Une blonde qui me touche et avec qui peut-être...
jeudi 29 septembre 2011
mercredi 21 septembre 2011
Petite faiblesse
Cela faisait bien longtemps que je ne m'étais pas réveillé dans un lit inconnu. Je me suis vite souvenu pourquoi.
vendredi 16 septembre 2011
Un gars, une fille
"Pour les plans cul tu devrais essayer adopteunmec, ça marche bien" dit-elle en se rhabillant.
Mouais...
Mouais...
jeudi 15 septembre 2011
mercredi 24 août 2011
samedi 13 août 2011
Melancholia
J'y suis allé à reculons. Le réalisateur danois a tendance à sérieusement m'agacer ces dernières années. Mais il m'arrive de céder à l'attrait d'excellentes critiques. Pendant cinq minutes j'ai eu peur. Cinq minutes de fumisterie visuelle pendant lesquelles j'ai cru revivre le cauchemar Tree of life. Et puis passé le générique ça devient beau et envoutant. Seule petite réserve, le jeu de Kirsten Dunst (pour qui j'ai par ailleurs depuis longtemps un petit faible). Si elle est parfaite lors de la première partie fausse piste, elle devient un peu agaçante dans la deuxième partie, où son jeu est totalement monolithique. Mais le jury de Cannes n'est pas de mon avis. Quoiqu'il en soit, c'est certainement l'un des meilleurs films de l'année.
vendredi 12 août 2011
Still here too
Pour la troisième fois en moins d'un an, je viens de regarder Voyage à deux. Je trouve le film plus beau à chaque fois. C'est à mon avis l'un des films les plus fins et clairvoyants jamais écrits sur le couple. Dans lequel je trouve quelques échos à ma vie amoureuse. Et puis il y a Audrey, plus touchante que jamais.
J'aime beaucoup Joaquin Phoenix. Même si je l'avais déjà vu dans The Yards, c'est dans Signes, un film plutôt moyen au demeurant, que je l'ai vraiment découvert. Et puis quelques années plus tard il y a eu Walk the line, La nuit nous appartient et Two Lovers. Et là... chapeau bas. J'attendais avec beaucoup d'impatience la sortie d'I'm Still Here, le vrai faux documentaire qui promettait de lever enfin le voile sur sa carrière avortée de rappeur graisseux et hirsute. Il m'a fallu attendre un mois avant qu'un cinéma près de chez moi ne se décide à le diffuser. Si l'idée de base est superbe, même éventée par des indiscrets qui ont vendu la mèche trop tôt, c'est au final complétement raté. Il n'a ni la beauté d'un geste nihiliste et épidermique, ni la force d'une démonstration argumentée. C'est long, bavard et totalement superficiel. Une blague de potache pas drôle et malheureusement inoffensive.
A part ça, j'ai eu hier soir un début de commencement d'esquisse de pulsion sexuelle. Et surtout depuis trois jours je peux dire que je me sens beaucoup mieux (même si paradoxalement je ne trouve plus le sommeil). J'ai reçu hors champ des messages de soutien qui m'ont fait plaisir. Merci à vous. L’intérêt de tenir ce blog m'apparait de moins en moins évident. On verra bien.
J'aime beaucoup Joaquin Phoenix. Même si je l'avais déjà vu dans The Yards, c'est dans Signes, un film plutôt moyen au demeurant, que je l'ai vraiment découvert. Et puis quelques années plus tard il y a eu Walk the line, La nuit nous appartient et Two Lovers. Et là... chapeau bas. J'attendais avec beaucoup d'impatience la sortie d'I'm Still Here, le vrai faux documentaire qui promettait de lever enfin le voile sur sa carrière avortée de rappeur graisseux et hirsute. Il m'a fallu attendre un mois avant qu'un cinéma près de chez moi ne se décide à le diffuser. Si l'idée de base est superbe, même éventée par des indiscrets qui ont vendu la mèche trop tôt, c'est au final complétement raté. Il n'a ni la beauté d'un geste nihiliste et épidermique, ni la force d'une démonstration argumentée. C'est long, bavard et totalement superficiel. Une blague de potache pas drôle et malheureusement inoffensive.
A part ça, j'ai eu hier soir un début de commencement d'esquisse de pulsion sexuelle. Et surtout depuis trois jours je peux dire que je me sens beaucoup mieux (même si paradoxalement je ne trouve plus le sommeil). J'ai reçu hors champ des messages de soutien qui m'ont fait plaisir. Merci à vous. L’intérêt de tenir ce blog m'apparait de moins en moins évident. On verra bien.
mercredi 3 août 2011
Soldat sans joie...
Je n'ai absolument aucune libido. Aucune. C'est sans doute lié à la dépression. On va dire que c'est ça. C'est bien pratique. Côté cœur c'est évidemment le néant total. Pas envie. Pas prêt. Maladroit. Déçu. Alors au lieu de passer mes soirées sur le net à recruter quelques vulves accueillantes ou à fréquenter des lieux devenus infréquentables, je lis, je regarde, j'écoute. Faute d'été.
Rien de bien transcendant au cinéma. Les trois quarts des films à l'affiche visent un public de moins de douze ans. Merci Lucas, merci Spielberg. Et le reste est principalement constitué de comédies françaises débiles. Petit coup de cœur quand même pour The Murderer, un thriller qui est tellement plus qu'un thriller comme seuls les coréens savent les faire. Du coup je dévore des classiques (et des perles oubliées) de l'âge d'or hollywoodien. Merci TCM, merci la FNAC. Je ne comprendrai jamais pourquoi Fritz Lang (en particulier son œuvre américaine) est à ce point sous-estimé. Je ne suis pas loin de penser que c'était le meilleur d'entre tous. Vraiment pas loin. J'ai ma période western également. Dans le genre, il y a du très con et du très beau. Et pas grand chose au milieu. Dans mon iPod j'ai 60 Go de musique quasiment inédite à mes oreilles mais je reviens toujours vers les deux mêmes albums. How I Got Over de The Roots, que j'écoutais beaucoup lors de mes dernières vacances avec Petite Brune et Third de Portishead que j'ai eu la chance de voir sur scène récemment pour un concert absolument grandiose. Ils ont tous pris un coup de vieux, sauf Beth qui est exactement la même qu'il y a 10 ans. Je m'étais promis de lire quelques classiques, histoire de. Et puis, dans la pile qui prend la poussière, j'ai préféré le dernier Hornby. Puis un James Ellroy. Puis un bon vieux Dashiell Hammett. Je crois que je vais rester ignorant encore un peu.
Rien de bien transcendant au cinéma. Les trois quarts des films à l'affiche visent un public de moins de douze ans. Merci Lucas, merci Spielberg. Et le reste est principalement constitué de comédies françaises débiles. Petit coup de cœur quand même pour The Murderer, un thriller qui est tellement plus qu'un thriller comme seuls les coréens savent les faire. Du coup je dévore des classiques (et des perles oubliées) de l'âge d'or hollywoodien. Merci TCM, merci la FNAC. Je ne comprendrai jamais pourquoi Fritz Lang (en particulier son œuvre américaine) est à ce point sous-estimé. Je ne suis pas loin de penser que c'était le meilleur d'entre tous. Vraiment pas loin. J'ai ma période western également. Dans le genre, il y a du très con et du très beau. Et pas grand chose au milieu. Dans mon iPod j'ai 60 Go de musique quasiment inédite à mes oreilles mais je reviens toujours vers les deux mêmes albums. How I Got Over de The Roots, que j'écoutais beaucoup lors de mes dernières vacances avec Petite Brune et Third de Portishead que j'ai eu la chance de voir sur scène récemment pour un concert absolument grandiose. Ils ont tous pris un coup de vieux, sauf Beth qui est exactement la même qu'il y a 10 ans. Je m'étais promis de lire quelques classiques, histoire de. Et puis, dans la pile qui prend la poussière, j'ai préféré le dernier Hornby. Puis un James Ellroy. Puis un bon vieux Dashiell Hammett. Je crois que je vais rester ignorant encore un peu.
lundi 25 juillet 2011
Kinky ne s'est pas défait en un jour
Le sexe me gâche la vie. C'est le sexe qui a mis fin à mon couple, à ce qui est de loin la plus belle chose qui me soit arrivée. Mon besoin compulsif de baiser ailleurs, et surtout, mon désir déclinant, me laissant spectateur impuissant. Un terrible gâchis. Et un immense sentiment de culpabilité.
J'étais ravi quand elle m'a proposé d'emblée une relation "open" qui me laissait totale liberté de. J'ai passé une semaine sur un petit nuage. Exactement ce qu'il me fallait en cette période de doutes post-rupture. Exactement ce dont j'ai longtemps rêvé. D'autant plus que niveau baise, ça a commencé très fort... Et puis je me suis rendu compte qu'en dehors du sexe, rien ne nous lie vraiment, malgré que ce soit une fille plutôt intéressante. Ce soir j'ai prétexté un truc prévu de longue date pour ne pas la voir. J'ai préféré la compagnie d'un bouquin. Je crois que mon désir s'est éteint. Cela ne peut pas marcher sans amour dans l'équation. Et pourtant demain, quand elle va m'appeler, il est probable que je cours la baiser.
Je m'inquiète de voir à quel point je me lasse très vite de mes partenaires. Je ne suis plus capable de la moindre passion. Même purement physique. Le sexe pour le sexe n'a plus d'intérêt que quelques heures, au mieux. Je sais que quelque chose en moi est mort il y a des années de cela. Il ne fait pour moi plus aucun doute que je me suis beaucoup détruit en menant la vie que j'ai mené depuis.
Bande son :
Prince & Andy Allo - Love is a losing game
J'étais ravi quand elle m'a proposé d'emblée une relation "open" qui me laissait totale liberté de. J'ai passé une semaine sur un petit nuage. Exactement ce qu'il me fallait en cette période de doutes post-rupture. Exactement ce dont j'ai longtemps rêvé. D'autant plus que niveau baise, ça a commencé très fort... Et puis je me suis rendu compte qu'en dehors du sexe, rien ne nous lie vraiment, malgré que ce soit une fille plutôt intéressante. Ce soir j'ai prétexté un truc prévu de longue date pour ne pas la voir. J'ai préféré la compagnie d'un bouquin. Je crois que mon désir s'est éteint. Cela ne peut pas marcher sans amour dans l'équation. Et pourtant demain, quand elle va m'appeler, il est probable que je cours la baiser.
Je m'inquiète de voir à quel point je me lasse très vite de mes partenaires. Je ne suis plus capable de la moindre passion. Même purement physique. Le sexe pour le sexe n'a plus d'intérêt que quelques heures, au mieux. Je sais que quelque chose en moi est mort il y a des années de cela. Il ne fait pour moi plus aucun doute que je me suis beaucoup détruit en menant la vie que j'ai mené depuis.
Bande son :
Prince & Andy Allo - Love is a losing game
samedi 9 juillet 2011
Episode 2347
Évidemment elle s'est dégonflée. Et j'ai regardé mes (infimes) derniers espoirs s'envoler.
jeudi 7 juillet 2011
Ma minute mysogine
Je savais que ça n'allait pas durer ce statu quo. Une femme finit toujours par montrer son vrai visage. Et il prend souvent les traits de la cupidité.
mercredi 6 juillet 2011
Nuits agitées
Je fais parfois un rêve pour le moins étrange. Et un peu gore. Tout commence bien. Je suis placé dans une situation particulièrement excitante. Mon sexe se dresse naturellement. Je sens mon gland se gonfler de désir. Encore et encore. Jusqu'à éclater, s'ouvrir en deux comme un fruit trop mûr. Sans la moindre douleur. Il faudra que j'en parle à mon psy le jour où...
Je fais parfois des rêves plus sympathiques, comme la nuit dernière. Je suis allongé sur le flanc dans le noir total. Pris en sandwich entre deux femmes aux corps huilés qui se frottent à moi de façon totalement indécente dans un body-body-body très sensuel. Je sens la chaleur caressante de leurs ventres contre le mien. Leurs seins fermes caresser mon torse, mon dos, mes fesses, effleurer mes bourses, emprisonner ma queue. Je sens leurs fesses, leurs sexes glisser sur tout mon corps. Mais jamais leurs mains, ni leurs bouches. Je ne les touche pas non plus. Elles ont la maitrise totale. Elles sont absolument redoutables et souvent semblent ne plus faire qu'une. L'une se frotte contre mes fesses, un téton venant parfois titiller mon anus, pendant que l'autre se concentre sur mon sexe qu'elle caresse de tout son corps. Jusqu'à ce que je finisse par jouir et que mon foutre se répande sur son ventre, puis sur tout mon corps.
lundi 4 juillet 2011
Trop mou, trop long
Chère Polly Jean,
Tu es bien mignonne (si, si) mais ta toute nouvelle zénitude baba-mystico-gérontophile ça va bien 5 minutes !
Tu es bien mignonne (si, si) mais ta toute nouvelle zénitude baba-mystico-gérontophile ça va bien 5 minutes !
Suivante !
Tu sais, moi je suis raciste. Elle me dit ça tranquillement entre deux gorgées comme elle m'aurait dit qu'elle était végétarienne. Je suis un aimant à tarées en ce moment...
dimanche 3 juillet 2011
Trop bon, trop court.
Pourtant ça avait bien commencé. Une fantastique Sharon Jones en première partie. Maceo au sax. Le maitre des lieux qui se prend pour Larry Graham. Saloperie de couvre feu...
samedi 2 juillet 2011
lundi 27 juin 2011
Pensée inutile
L'avantage des partouzes l'après-midi c'est que les boulangeries sont ouvertes sur la route du retour.
Kinkypedia
J'ai suivi quelques conseils. J'ai essayé pas mal de choses. Rien à faire. Je ne trouve pas de solution que ma peau délicate supporte durablement. Quels sont vos secrets pour le dépoilage intime ?
mercredi 22 juin 2011
Ouch
La fin du monde ne se passera pas comme on nous le décrit. Pas de changement climatique. Pas de météorite destructrice. Ni d'apocalypse nucléaire. Non. Juste des soldes qui ne laisseront aucune survivante.
mardi 7 juin 2011
samedi 4 juin 2011
Vendredi soir en terrasse
Bon, elle ne couche pas le premier soir mais elle propose de payer sa part au restaurant.
vendredi 3 juin 2011
Une pointe d'amertume
Grosse soirée privée dans un club libertin situé à une centaine de kilomètres de chez moi. Il y a déjà du monde au bar et sur la piste de danse. Il y a de belles nanas assurément, comme me le fait remarquer avec moult gestes accompagnant la parole un type qui ne tient déjà plus en place. Principalement des pétasses trentenaires et hautaines accompagnées de leurs hommes body-buildées dans leurs habits du dimanche. Pour partouzer je préfère les quadras, plus décontractées et joueuses. Je cherche une amie libertine à qui j'ai fait découvrir les clubs il y a quelques années et qui m'a promis de me rejoindre. Je déteste sortir en club seul. Je n'aurais pas accepté l'invitation sans sa compagnie mais au bout d'un moment je suis bien obligé de me faire une raison. Elle m'a planté et n'a même pas jugé bon de m'avertir. J'apprécie.
Je vais faire un tour dans les alcôves, trop peu nombreuses et trop rapprochées les unes des autres, créant des embouteillages de types la bite à la main essayant de se faufiler pour trouver quelques lèvres prêtes à les accueillir. Et en ce début de soirée elles ne sont pas nombreuses.
Petit temps mort après une grosse montée de la température. J'en profite. Je me caresse tranquillement à l'entrée d'une alcôve avec miroir au plafond devant un couple en train de baiser en levrette. Pourquoi eux, je ne sais pas. Ils sont excitants à regarder. Elle me fait signe d'entrer et se jette sur ma queue qu'elle dévore goulument. Une quadra bien sûr.
La soirée n'est pas vraiment celle que j’espérais. Et j'en veux à ma planteuse de lapin. Je ne me sens pas vraiment à ma place à vrai dire. Jouer des épaules pour aller fourrer ma queue dans le premier orifice qui se libère n'est pas vraiment ce qui m'excite. Et question calibre, il faut reconnaitre qu'il y a du lourd.
Je me dirige vers le bar après une petite séance de voyeurisme quand je croise une petite blonde magnifique, 25 ans à tout casser, qui me saute dessus, me prend par la main et m'entraine vers une alcôve qui vient de se libérer. Pendant quelques secondes je suis prêt à réviser mon jugement concernant cette soirée. Elle s'allonge sur le dos et je me jette sur elle, dévorant ses jolis petits seins et plongeant la main entre ses cuisses. Bien sûr dans la foulée trois types s'imposent parmi nous. Je préférerais évidemment rester un peu avec elle en tête à tête, ce que je m'apprête à lui glisser à l'oreille. Mais elle a une réaction totalement inattendue. "Vous êtes trop nombreux" me dit-elle en me fixant, me faisant comprendre que je suis de trop. Estomaqué je reste KO quelques secondes puis prends mes cliques et mes claques. Je dois avouer que ça me fait mal. D'autant plus que je m'en suis déjà pris pas mal dans la gueule ces derniers temps. Plus tard dans la soirée je la croise à plusieurs reprises dans les couloirs ou au bar, chaque fois elle se jette sur le premier mec pour me narguer. Les raisons restent pour moi totalement mystérieuses. Le fait est que j'ai déjà par le passé souvent inspiré ce genre de comportement blessant et totalement gratuit. Pourquoi ? Je crois que je préfère ne pas connaitre la réponse.
Je déguste un rhum-coca sur un canapé situé juste à l'entrée des "coins câlins" où il est presque impossible de se faufiler parmi une foule qui assiste au spectacle de deux jolies blondes en plein soixante-neuf. Un couple prend place à mes côtés. Grande brune avec de gros seins splendides. Ils ne tardent pas à se bécoter. Je pose la main sur sa cuisse. Elle écarte les jambes et mes doigts ne tardent pas à caresser et fouiller sa chatte. Elle suce son homme pendant qu'elle me branle et inverse les rôles. Un couple voyeur que j'ai essayé de brancher sans succès un peu plus tôt observe la scène. Il y a quelque chose de terriblement excitant à se savoir observé par une femme que vous désirez pendant que vous vous faites sucer. Du regard j'invite la miss à se joindre à nous. Je la sens hésitante. Ou je veux le croire. Finalement ils poursuivent leur route. Ma suceuse me tend un préservatif et l'on se lance dans une "double" plutôt acrobatique.
Je prends un dernier verre avant de prendre la route. Elle a quand même un petit goût amer.
Je vais faire un tour dans les alcôves, trop peu nombreuses et trop rapprochées les unes des autres, créant des embouteillages de types la bite à la main essayant de se faufiler pour trouver quelques lèvres prêtes à les accueillir. Et en ce début de soirée elles ne sont pas nombreuses.
Petit temps mort après une grosse montée de la température. J'en profite. Je me caresse tranquillement à l'entrée d'une alcôve avec miroir au plafond devant un couple en train de baiser en levrette. Pourquoi eux, je ne sais pas. Ils sont excitants à regarder. Elle me fait signe d'entrer et se jette sur ma queue qu'elle dévore goulument. Une quadra bien sûr.
La soirée n'est pas vraiment celle que j’espérais. Et j'en veux à ma planteuse de lapin. Je ne me sens pas vraiment à ma place à vrai dire. Jouer des épaules pour aller fourrer ma queue dans le premier orifice qui se libère n'est pas vraiment ce qui m'excite. Et question calibre, il faut reconnaitre qu'il y a du lourd.
Je me dirige vers le bar après une petite séance de voyeurisme quand je croise une petite blonde magnifique, 25 ans à tout casser, qui me saute dessus, me prend par la main et m'entraine vers une alcôve qui vient de se libérer. Pendant quelques secondes je suis prêt à réviser mon jugement concernant cette soirée. Elle s'allonge sur le dos et je me jette sur elle, dévorant ses jolis petits seins et plongeant la main entre ses cuisses. Bien sûr dans la foulée trois types s'imposent parmi nous. Je préférerais évidemment rester un peu avec elle en tête à tête, ce que je m'apprête à lui glisser à l'oreille. Mais elle a une réaction totalement inattendue. "Vous êtes trop nombreux" me dit-elle en me fixant, me faisant comprendre que je suis de trop. Estomaqué je reste KO quelques secondes puis prends mes cliques et mes claques. Je dois avouer que ça me fait mal. D'autant plus que je m'en suis déjà pris pas mal dans la gueule ces derniers temps. Plus tard dans la soirée je la croise à plusieurs reprises dans les couloirs ou au bar, chaque fois elle se jette sur le premier mec pour me narguer. Les raisons restent pour moi totalement mystérieuses. Le fait est que j'ai déjà par le passé souvent inspiré ce genre de comportement blessant et totalement gratuit. Pourquoi ? Je crois que je préfère ne pas connaitre la réponse.
Je déguste un rhum-coca sur un canapé situé juste à l'entrée des "coins câlins" où il est presque impossible de se faufiler parmi une foule qui assiste au spectacle de deux jolies blondes en plein soixante-neuf. Un couple prend place à mes côtés. Grande brune avec de gros seins splendides. Ils ne tardent pas à se bécoter. Je pose la main sur sa cuisse. Elle écarte les jambes et mes doigts ne tardent pas à caresser et fouiller sa chatte. Elle suce son homme pendant qu'elle me branle et inverse les rôles. Un couple voyeur que j'ai essayé de brancher sans succès un peu plus tôt observe la scène. Il y a quelque chose de terriblement excitant à se savoir observé par une femme que vous désirez pendant que vous vous faites sucer. Du regard j'invite la miss à se joindre à nous. Je la sens hésitante. Ou je veux le croire. Finalement ils poursuivent leur route. Ma suceuse me tend un préservatif et l'on se lance dans une "double" plutôt acrobatique.
Je prends un dernier verre avant de prendre la route. Elle a quand même un petit goût amer.
mardi 31 mai 2011
Continuer
L'accueil est froid pour ne pas dire glacial. En milieu libertin comme ailleurs, les amitiés ont vocation à nous décevoir.
Miss scanner a la chatte absolument savoureuse. Ce n'est pas pour moi la moindre des qualités. Malheureusement je me suis trompé sur sa personne. Et elle aussi. Fin de l'histoire.
Rencontre prometteuse avant-hier soir. Si je prends le temps...
Cela faisait longtemps que ça ne m'était pas arrivé. Malgré les précautions d'usage j'ai eu droit à un lapin hier soir. C'était peut-être trop beau.
Proposer. c'est toujours au mec de proposer. J'en ai marre de proposer !
Belle et grande soirée ce soir. Je préfèrerais trouver une complice. Le contre la montre commence.
Miss scanner a la chatte absolument savoureuse. Ce n'est pas pour moi la moindre des qualités. Malheureusement je me suis trompé sur sa personne. Et elle aussi. Fin de l'histoire.
Rencontre prometteuse avant-hier soir. Si je prends le temps...
Cela faisait longtemps que ça ne m'était pas arrivé. Malgré les précautions d'usage j'ai eu droit à un lapin hier soir. C'était peut-être trop beau.
Proposer. c'est toujours au mec de proposer. J'en ai marre de proposer !
Belle et grande soirée ce soir. Je préfèrerais trouver une complice. Le contre la montre commence.
lundi 30 mai 2011
Regonflé
Exactement ce qu'il me fallait. Quatre jours entre campagne et bord de mer. Quatre jours pour me ressourcer, faire le point et tirer un trait. Y voir plus clair sur ce que je veux et surtout ce que je ne veux plus. Fantasmer mon avenir. Enterrer le passé. Dormir plus de quatre heures de suite. Manger des fruits de mer et me saouler. Me fixer des objectifs. Me délester des faux amis notamment. Respirer à pleins poumons et regarder droit devant.
mardi 24 mai 2011
Trop plein
Je vais trop vite. J'ai la tête à l'envers. Trop de sentiments contradictoires. Trop de sentiments tout court. Trop de deuils à faire. Une incapacité chronique à gérer les ruptures. Et le cerveau qui ne pense pas comme les couilles.
samedi 21 mai 2011
Acte 2
Terrasse avec miss scanner. Manifestement elle n'a pas été rebutée par ma laideur intérieure. On a bien ri. Elle est belle. Je crois que je commence à éprouver des choses dont je ne me croyais plus capable.
vendredi 20 mai 2011
Vide
Je fais les choses trop vite. Encore une fois. Une belle soirée. Un couple charmant. Une baise formidable avec une jeune thaïlandaise comme tu n'en n'imagines même pas dans tes rêves. Mais immédiatement suivie d'une descente vertigineuse. Un vide abyssal.
Bande son :
Propellerheads feat. Shirley Bassey - History Repeating
Bande son :
Propellerheads feat. Shirley Bassey - History Repeating
mardi 17 mai 2011
Open
Je ne sais pas si ça vous est déjà arrivé de rencontrer quelqu'un qui instantanément lit en vous comme un livre ouvert. C'est troublant. Je ne me suis jamais autant senti à poil. Et moche.
samedi 14 mai 2011
Plongée
C'est sans doute parce que je l'ai trouvée charmante que j'ai accepté son invitation.. D'habitude je refuse toute invitation à ces soirées gang-bang. Je ne sais pas ce qui m'a pris. Peut-être justement parce que j'ai refusé jusqu'ici. Esprit de contradiction.
Club "exotique". Ambiance macumba. La crème du r'n'b français et ses paroles débilo-adolescentes pour chauffer un parterre de quadras en parade. Des couples qui ont l'air de s'ennuyer. Des femmes qui se déhanchent en se regardant dans les miroirs. Des hommes au taquet. Des alcôves désespérément vides. Pas beaucoup de vodka dans mon verre. Que fais-je là ?
Attroupement autour de la miss qui donne de sa personne. Une belle blonde tendance bourgeoise essaie de se frayer un chemin pour mater. Je lui laisse ma place et engage la conversation. Son mari ne tarde pas à débarquer et à la tirer par le bras, visiblement jaloux. Les quelques curieuses qui ont osé s'approcher déclinent toute invitation. Les hommes deviennent nerveux et jouent des coudes.
Retour au bar. Je retrouve ma blonde qui semble réceptive. Je lui suggère un tour aux étages. Son mari débarque et une nouvelle fois la tire par le bras. La pauvre, je la plains. J'en suis au 6ème verre et toujours pas le moindre début de commencement d'ivresse. Petit tour des lieux. Ça ne baise nulle part. Et la musique ne s'est pas arrangée.
Je profite d'un dispersement de la foule pour me faire sucer par la star de la soirée qui se fait prendre en levrette par un petit jeune qui a l'air de vivre le trip de sa vie, sous les yeux d'une jolie blonde en string qui ne tarde pas à nous rejoindre.
Petite douche. Un dernier verre et je rentre à la maison.
Club "exotique". Ambiance macumba. La crème du r'n'b français et ses paroles débilo-adolescentes pour chauffer un parterre de quadras en parade. Des couples qui ont l'air de s'ennuyer. Des femmes qui se déhanchent en se regardant dans les miroirs. Des hommes au taquet. Des alcôves désespérément vides. Pas beaucoup de vodka dans mon verre. Que fais-je là ?
Attroupement autour de la miss qui donne de sa personne. Une belle blonde tendance bourgeoise essaie de se frayer un chemin pour mater. Je lui laisse ma place et engage la conversation. Son mari ne tarde pas à débarquer et à la tirer par le bras, visiblement jaloux. Les quelques curieuses qui ont osé s'approcher déclinent toute invitation. Les hommes deviennent nerveux et jouent des coudes.
Retour au bar. Je retrouve ma blonde qui semble réceptive. Je lui suggère un tour aux étages. Son mari débarque et une nouvelle fois la tire par le bras. La pauvre, je la plains. J'en suis au 6ème verre et toujours pas le moindre début de commencement d'ivresse. Petit tour des lieux. Ça ne baise nulle part. Et la musique ne s'est pas arrangée.
Je profite d'un dispersement de la foule pour me faire sucer par la star de la soirée qui se fait prendre en levrette par un petit jeune qui a l'air de vivre le trip de sa vie, sous les yeux d'une jolie blonde en string qui ne tarde pas à nous rejoindre.
Petite douche. Un dernier verre et je rentre à la maison.
mercredi 11 mai 2011
Welcome home
C'est le petit matin. Le soleil est prêt à faire son apparition. Je rentre chez moi et dans les rues je croise la France qui se lève tôt. Je suis fatigué et repu. Je subis encore par vagues les vapeurs d'alcool. Sur mes lèvres je sens encore le goût des siennes. Mes vêtement sont chiffonnés, moites, imprégnés de son odeur et de celle du tabac. Mes doigts sentent la chatte et le cul. Je me désape et m'allonge au milieu de ce grand lit. J'ai la flemme de prendre une douche. Tant pis, je me réveillerai avec cette odeur de baise répandue dans toute la chambre. Quand on s'est quitté une demi-heure plus tôt j'étais vidé. Et voilà qu'à nouveau je bande. Les mystères du corps. Je règle mon réveil et ferme les yeux. Dans moins de trois heures je dois me lever. Et dans quelques jours j'aurai probablement tout oublié de celle que pendant quelques heures j'ai tant aimé baiser.
lundi 9 mai 2011
Triste réalité
Le problème des séparations intelligentes, à l'amiable et sans heurts, c'est que c'est censé ne pas exister. Un tas de gens, de la famille et des amis plus ou moins proches, se sentent alors autorisés à prodiguer leurs bons conseils. Il y a les parents proches qui ne conçoivent pas une séparation sans enrichissement personnel sur le dos de la partie adverse. Il y a aussi et surtout les jaloux, les couples dysfonctionnels, qui rêvent de se séparer mais ne le font pas par peur des reproches et coups bas. Ceux-là sont les plus dangereux. Ils ont en stock tout un tas de bassesses à vous conseiller.
samedi 7 mai 2011
Pansement # 1
Rousse. Intermittente du spectacle. Elancée. Extravertie. Gourmande. Fumeuse. Étroite.
jeudi 21 avril 2011
mercredi 30 mars 2011
vendredi 25 mars 2011
Days of wild
Trois jours depuis notre rencontre, courte et tout à fait fortuite. Trois jours que je ne pense qu'à elle. Je sais gérer l'adultère côté cul, mais côté cœur...
lundi 21 mars 2011
Day off
Acte 1
Belle journée ensoleillée. Je file sur l’autoroute en tôle ondulée. Coltrane à fond la caisse. Le bonheur. Dans moins de deux heures je déjeune avec une jeune bimbo dont le petit plaisir est de baiser dans des lieux insolites et qui se propose de me faire découvrir la ville sous un angle nouveau. J’avale les kilomètres et me voici bientôt aux portes de Bruxelles.
Acte 2
Bientôt trente minutes que je suis coincé dans ce tunnel de malheur. J’ai du avancer d’une bonne centaine de mètres. Je vais être en retard et je commence à détester ces maudits automobilistes qui sont sur le point de me faire rater une si prometteuse rencontre. Au bout d’une heure, je suis absolument positivement pour la peine de mort. Coltrane m’est devenu insupportable. Au troisième appel, elle m’envoie gentiment sur les roses. Cela fait plus d’une heure qu’elle m’attend et je suis incapable de lui dire quand je pourrai la rejoindre.
Sortie du KO après deux longues heures pare-choc contre pare-choc. Un accident de la route ? Du tout. Un pauvre gars tout penaud en train de réparer un feu de circulation à la sortie du tunnel. Bien sûr pour ça il a du couper l’alimentation électrique de tous les feux du quartier, paralysant totalement tout le centre ville. Et dire qu’il y a encore des gens pour nier le déclin de notre civilisation.
Ultime tentative. Votre correspondante n’est plus disponible. Elle est allée se faire baiser ailleurs. Bip, bip, bip…
Acte 3
Cyber-café miteux. Connexion préhistorique. Pas de Plan B sous la main. Enorme envie de baiser. Et de me faire sucer. Faire diversion.
Acte 4
Petite tournée de mes boutiques favorites. Je suis en veine. Je trouve des trésors. Dont un Coltrane assez rare. Il est temps pour moi de rentrer.
Belle journée ensoleillée. Je file sur l’autoroute en tôle ondulée. Coltrane à fond la caisse. Le bonheur. Dans moins de deux heures je déjeune avec une jeune bimbo dont le petit plaisir est de baiser dans des lieux insolites et qui se propose de me faire découvrir la ville sous un angle nouveau. J’avale les kilomètres et me voici bientôt aux portes de Bruxelles.
Acte 2
Bientôt trente minutes que je suis coincé dans ce tunnel de malheur. J’ai du avancer d’une bonne centaine de mètres. Je vais être en retard et je commence à détester ces maudits automobilistes qui sont sur le point de me faire rater une si prometteuse rencontre. Au bout d’une heure, je suis absolument positivement pour la peine de mort. Coltrane m’est devenu insupportable. Au troisième appel, elle m’envoie gentiment sur les roses. Cela fait plus d’une heure qu’elle m’attend et je suis incapable de lui dire quand je pourrai la rejoindre.
Sortie du KO après deux longues heures pare-choc contre pare-choc. Un accident de la route ? Du tout. Un pauvre gars tout penaud en train de réparer un feu de circulation à la sortie du tunnel. Bien sûr pour ça il a du couper l’alimentation électrique de tous les feux du quartier, paralysant totalement tout le centre ville. Et dire qu’il y a encore des gens pour nier le déclin de notre civilisation.
Ultime tentative. Votre correspondante n’est plus disponible. Elle est allée se faire baiser ailleurs. Bip, bip, bip…
Acte 3
Cyber-café miteux. Connexion préhistorique. Pas de Plan B sous la main. Enorme envie de baiser. Et de me faire sucer. Faire diversion.
Acte 4
Petite tournée de mes boutiques favorites. Je suis en veine. Je trouve des trésors. Dont un Coltrane assez rare. Il est temps pour moi de rentrer.
mercredi 2 mars 2011
vendredi 11 février 2011
Dommages collatéraux
Depuis que je suis accro à Mad Men, je fais des rêves de poitrines protubérantes.
vendredi 14 janvier 2011
Trilogie
Bonne année ? Mon cul !
Voilà c'est réglé.
Manger, boire, manger, boire, manger, boire... Il manque quelque chose pour que les fêtes de fin d'année soient autre chose qu'un calvaire.
Il y a des jeunes filles qui ont des couilles. Je suis admiratif.
J'aimerais savoir quel est le trou du cul qui a pensé la nouvelle pub télé Alpha Romeo. Le disque vinyle, un objet sans âme ? Mais cet objet Monsieur, c'est du bonheur à vie, c'est une histoire, c'est du sang et de la sueur. Et quel rapport avec vos attentats au bon goût automobile ?
A part ça, Kinky s'ennuie.
Voilà c'est réglé.
Manger, boire, manger, boire, manger, boire... Il manque quelque chose pour que les fêtes de fin d'année soient autre chose qu'un calvaire.
Il y a des jeunes filles qui ont des couilles. Je suis admiratif.
J'aimerais savoir quel est le trou du cul qui a pensé la nouvelle pub télé Alpha Romeo. Le disque vinyle, un objet sans âme ? Mais cet objet Monsieur, c'est du bonheur à vie, c'est une histoire, c'est du sang et de la sueur. Et quel rapport avec vos attentats au bon goût automobile ?
A part ça, Kinky s'ennuie.
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