Il n’est jamais facile de jeter son bébé aux orties mais il est temps pour moi de tourner une page. Je profite de la cassure entre ce blog et son public pour passer à autre chose. Je vous remercie d’avoir pris le temps de lire et commenter mes petites bêtises. Tout le plaisir fût pour moi.
mardi 25 novembre 2008
lundi 24 novembre 2008
Tombe la neige
Le saxophone de Lester Young et la voix de Billie Holiday se taquinent, se cherchent, se rendent coup pour coup. Sublime dialogue de deux amants platoniques. Je pénètre le joli cul rond et chaud de Petite Brune. A travers la fenêtre j’aperçois la neige virevolter à gros flocons. Un petit instant de beauté à l’état pur.
vendredi 21 novembre 2008
Dans l’enfer des fantasmes masculins
Cet après-midi je suis tombé sur un site qui fait un top 15 forcément subjectif (visiblement les sondés avaient le choix parmi une liste) des fantasmes masculins. La question des fantasmes et de leur réalisation m’intéresse fortement actuellement et j’avais un peu de temps à perdre. Voici donc mesdames, les 15 principaux fantasmes qui nous agitent, nous les hommes. Finalement c'est assez soft.
1. Faire l'amour avec 2 femmes… Vous faites l’amour avec deux femmes, qui satisfont le moindre de vos désirs…
Fantasme classique qui m’a longtemps poursuivi. Deux fois, autour de 17/18 ans, j’ai failli toucher du doigt le Graal. J’ai du attendre quelques années avant de le réaliser. Contrairement au fantasme tel qu’il est formulé, c’est le fait que chacun(e) soit à l’écoute de l’autre qui est excitant.
2. Avec une jeune auto-stoppeuse... Vous prenez une jeune femme en auto-stop. Elle est très dévergondée. Vous vous arrêtez pour la satisfaire.
Jamais réalisé pour la bonne raison que plus aucune jeune femme n’ose (sans doute à raison) faire d’auto-stop. J’ai par contre un jour eu beaucoup de mal à me débarrasser d’un jeune auto-stoppeur qui insistait pour me sucer. Pourquoi l’auto-stoppeuse doit-elle être dévergondée ? C’est plus amusant s’il y a un peu de résistance…
3. Prendre des photos osées... Sous l’objectif de votre appareil photo, une jeune femme timide et coincée se déshabille petit à petit, puis prend des poses de plus en plus osées…
Un fantasme devenu d’une grande banalité depuis l’arrivée de la photo numérique mais ô combien plaisant. J’aurais aimé vivre à l’époque des Polaroïds et des clichés qui s’échangent sous le manteau.
4. Attaché par les amies de votre femme... Votre femme invite ses copines dans votre salon. Vous vous retrouvez attaché sur une chaise, à leur merci...
C’est effectivement l’un de mes grands fantasmes. Je dois donc finalement être un mec relativement normal. A une nuance près, si je n’ai rien contre le fait d’être attaché à une chaise (loin de là) cela implique un rôle passif alors que je me fantasme plutôt actif et obéissant.
5. Avec une infirmière ou une hôtesse de l'air... Infirmière, hôtesse de l’air, professeur de tennis, banquière, notaire… Elle s’offre à vous dans son cadre de travail. Vous faites l’amour sur place, tout habillés et rapidement.
Classique. Un homme normalement constitué ne peut prendre l’avion sans s’imaginer tringler l’hôtesse de l’air. L’uniforme d’infirmière ne me laisse pas insensible. La baise au travail ? J’ai baisé il y a quelques années une cliente dans les toilettes et j’en garde un excellent souvenir.
6. Avec une inconnue... Vous suivez une inconnue dans la rue et la persuadez de faire de vous ce qu’elle veut dans une cage d’escalier. Vous ne la revoyez jamais.
Un fantasme que j’ai failli réaliser. C’était une belle soirée de printemps, je flânais dans les vieux quartiers comme j’aime le faire, un peu tête en l’air. Je croise une jeune femme avec une valise à roulettes qui me lance un regard plutôt appuyé. Le temps que l’information arrive au cerveau et je me retourne. Elle se retourne au même moment. Regard sans équivoque. Puis elle s’engage dans une petite ruelle. Halluciné de ce qui m’arrive je rebrousse chemin pour la suivre. Je la rattrape et la suis à distance raisonnable. J’imagine la scène. Elle pénétrant dans son immeuble, moi ayant juste le temps de m’engouffrer derrière elle, la suivant dans les escaliers, ne quittant pas ses fesses du regard, la plaquant contre un mur sur le pallier. A chaque coin de rue elle se retourne pour vérifier ma présence et me lance un regard complice . L’affaire semble quasiment dans le sac et je suis fou d’excitation. Et puis catastrophe. En passant devant la terrasse d’un café elle se fait alpaguer par un groupe d’amis et notre folle étreinte improvisée tombe à l'eau. Je doute que la situation se présente une seconde fois.
7. Avec votre voisine de palier et sa fille... Vous séduisez votre voisine de palier et sa fille et entretenez une relation sexuelle avec chacune à l’insu de l’autre.
J’ai toujours eu une faiblesse pour mes voisines. Il va d’ailleurs falloir un jour que je m’intéresse de plus près à la petite brune qui vit avec son mec au même étage que moi et me lance de jolis sourires quand on se croise dans l’ascenseur. Je soupçonne que quelques échos de soirées de luxure organisées chez moi soit parvenus jusqu’à ses oreilles. Par rapport au fantasme formulé, j’aurais bien du mal à baiser la mère et la fille car il n’y a que des jeunes dans ma résidence (oui bien sûr que je l’ai fait exprès !)
8. Un couple fait l'amour près de vous... Un couple fait bruyamment l’amour près de vous, dans un hôtel ou un camping. Cela vous excite terriblement. Petit à petit, vous en faites autant avec votre partenaire.
Ce n’est plus un fantasme depuis longtemps, j’ai beaucoup fréquenté les hôtels cheap aux murs de papier dans ma jeunesse, mais ça marche à tous les coups. Hier soir encore la voix de cette femme qui avait un orgasme bruyant dans l’alcôve juste à côté de la notre a suffit à me redonner vigueur à un moment fort opportun.
9. Avec la femme de votre patron... Vous séduisez la femme hautaine et dédaigneuse de votre patron. Très vite elle ne peut plus se passer de vous et vous poursuit de ses assiduités...
Euh… la femme de mon patron est charmante mais non merci.
10. Pratiquer l'échangisme... Vous rencontrez un autre couple avec qui vous faites l’expérience de l’échangisme.
Dans un monde parfait les relations échangistes seraient spontanées et improvisées. Nous ne vivons pas dans un monde parfait.
11. Votre femme excite une foule d'hommes... Votre femme, habillée très légèrement, danse sur un podium devant une foule d’hommes très excités.
Oui, ok, mais y a-t-il un homme à qui ce n’est jamais arrivé ?
12. Une bonne fessée... Une remarque déplacée ? Vous administrez une bonne fessée à votre femme.
J’aime bien donner une petite fessée de temps en temps. L’une de mes plus mémorables fût avec une lectrice bloggeuse. Cela me fait penser que cela fait un petit moment que ma cravache prend la poussière au fond d’un placard. Message perso à A****, on remet ça quand tu veux !
13. L'amour dans la boue... Vous faites l’amour dans un bain de boue. Vous vous sentez plus animal que jamais.
Jamais eu ce fantasme. Je préférerais sous un orage tropical.
14. Humilié par une femme vêtue de cuir... Une femme habillée de cuir et en talons haut vous punit en vous attachant ou bien en vous humiliant verbalement.
Mais être attaché n’est pas une punition en soit, c’est la suite qui peut le devenir. Les femmes dominatrices, encore fraiches et non vénales étant rares, ce fantasme attendra encore un peu.
15. Travesti en femme... Vous empruntez les sous-vêtements, bas et chaussures de votre femme, ou vous allez jusqu’à vous travestir.
Je n’ai jamais eu ce fantasme. Il y a quelques années, avant mon entrée réelle en libertinage, j’avais entretenu une correspondance avec une charmante jeune fille d’origine marocaine qui avait ce fantasme de féminiser un homme. Elle avait quasiment réussi à me convaincre de me rendre à notre premier rendez-vous avec des dessous féminins. Et puis elle a annulé notre rendez-vous une heure avant et je n’ai plus jamais eu de nouvelles. Je l’ai échappé belle…
1. Faire l'amour avec 2 femmes… Vous faites l’amour avec deux femmes, qui satisfont le moindre de vos désirs…
Fantasme classique qui m’a longtemps poursuivi. Deux fois, autour de 17/18 ans, j’ai failli toucher du doigt le Graal. J’ai du attendre quelques années avant de le réaliser. Contrairement au fantasme tel qu’il est formulé, c’est le fait que chacun(e) soit à l’écoute de l’autre qui est excitant.
2. Avec une jeune auto-stoppeuse... Vous prenez une jeune femme en auto-stop. Elle est très dévergondée. Vous vous arrêtez pour la satisfaire.
Jamais réalisé pour la bonne raison que plus aucune jeune femme n’ose (sans doute à raison) faire d’auto-stop. J’ai par contre un jour eu beaucoup de mal à me débarrasser d’un jeune auto-stoppeur qui insistait pour me sucer. Pourquoi l’auto-stoppeuse doit-elle être dévergondée ? C’est plus amusant s’il y a un peu de résistance…
3. Prendre des photos osées... Sous l’objectif de votre appareil photo, une jeune femme timide et coincée se déshabille petit à petit, puis prend des poses de plus en plus osées…
Un fantasme devenu d’une grande banalité depuis l’arrivée de la photo numérique mais ô combien plaisant. J’aurais aimé vivre à l’époque des Polaroïds et des clichés qui s’échangent sous le manteau.
4. Attaché par les amies de votre femme... Votre femme invite ses copines dans votre salon. Vous vous retrouvez attaché sur une chaise, à leur merci...
C’est effectivement l’un de mes grands fantasmes. Je dois donc finalement être un mec relativement normal. A une nuance près, si je n’ai rien contre le fait d’être attaché à une chaise (loin de là) cela implique un rôle passif alors que je me fantasme plutôt actif et obéissant.
5. Avec une infirmière ou une hôtesse de l'air... Infirmière, hôtesse de l’air, professeur de tennis, banquière, notaire… Elle s’offre à vous dans son cadre de travail. Vous faites l’amour sur place, tout habillés et rapidement.
Classique. Un homme normalement constitué ne peut prendre l’avion sans s’imaginer tringler l’hôtesse de l’air. L’uniforme d’infirmière ne me laisse pas insensible. La baise au travail ? J’ai baisé il y a quelques années une cliente dans les toilettes et j’en garde un excellent souvenir.
6. Avec une inconnue... Vous suivez une inconnue dans la rue et la persuadez de faire de vous ce qu’elle veut dans une cage d’escalier. Vous ne la revoyez jamais.
Un fantasme que j’ai failli réaliser. C’était une belle soirée de printemps, je flânais dans les vieux quartiers comme j’aime le faire, un peu tête en l’air. Je croise une jeune femme avec une valise à roulettes qui me lance un regard plutôt appuyé. Le temps que l’information arrive au cerveau et je me retourne. Elle se retourne au même moment. Regard sans équivoque. Puis elle s’engage dans une petite ruelle. Halluciné de ce qui m’arrive je rebrousse chemin pour la suivre. Je la rattrape et la suis à distance raisonnable. J’imagine la scène. Elle pénétrant dans son immeuble, moi ayant juste le temps de m’engouffrer derrière elle, la suivant dans les escaliers, ne quittant pas ses fesses du regard, la plaquant contre un mur sur le pallier. A chaque coin de rue elle se retourne pour vérifier ma présence et me lance un regard complice . L’affaire semble quasiment dans le sac et je suis fou d’excitation. Et puis catastrophe. En passant devant la terrasse d’un café elle se fait alpaguer par un groupe d’amis et notre folle étreinte improvisée tombe à l'eau. Je doute que la situation se présente une seconde fois.
7. Avec votre voisine de palier et sa fille... Vous séduisez votre voisine de palier et sa fille et entretenez une relation sexuelle avec chacune à l’insu de l’autre.
J’ai toujours eu une faiblesse pour mes voisines. Il va d’ailleurs falloir un jour que je m’intéresse de plus près à la petite brune qui vit avec son mec au même étage que moi et me lance de jolis sourires quand on se croise dans l’ascenseur. Je soupçonne que quelques échos de soirées de luxure organisées chez moi soit parvenus jusqu’à ses oreilles. Par rapport au fantasme formulé, j’aurais bien du mal à baiser la mère et la fille car il n’y a que des jeunes dans ma résidence (oui bien sûr que je l’ai fait exprès !)
8. Un couple fait l'amour près de vous... Un couple fait bruyamment l’amour près de vous, dans un hôtel ou un camping. Cela vous excite terriblement. Petit à petit, vous en faites autant avec votre partenaire.
Ce n’est plus un fantasme depuis longtemps, j’ai beaucoup fréquenté les hôtels cheap aux murs de papier dans ma jeunesse, mais ça marche à tous les coups. Hier soir encore la voix de cette femme qui avait un orgasme bruyant dans l’alcôve juste à côté de la notre a suffit à me redonner vigueur à un moment fort opportun.
9. Avec la femme de votre patron... Vous séduisez la femme hautaine et dédaigneuse de votre patron. Très vite elle ne peut plus se passer de vous et vous poursuit de ses assiduités...
Euh… la femme de mon patron est charmante mais non merci.
10. Pratiquer l'échangisme... Vous rencontrez un autre couple avec qui vous faites l’expérience de l’échangisme.
Dans un monde parfait les relations échangistes seraient spontanées et improvisées. Nous ne vivons pas dans un monde parfait.
11. Votre femme excite une foule d'hommes... Votre femme, habillée très légèrement, danse sur un podium devant une foule d’hommes très excités.
Oui, ok, mais y a-t-il un homme à qui ce n’est jamais arrivé ?
12. Une bonne fessée... Une remarque déplacée ? Vous administrez une bonne fessée à votre femme.
J’aime bien donner une petite fessée de temps en temps. L’une de mes plus mémorables fût avec une lectrice bloggeuse. Cela me fait penser que cela fait un petit moment que ma cravache prend la poussière au fond d’un placard. Message perso à A****, on remet ça quand tu veux !
13. L'amour dans la boue... Vous faites l’amour dans un bain de boue. Vous vous sentez plus animal que jamais.
Jamais eu ce fantasme. Je préférerais sous un orage tropical.
14. Humilié par une femme vêtue de cuir... Une femme habillée de cuir et en talons haut vous punit en vous attachant ou bien en vous humiliant verbalement.
Mais être attaché n’est pas une punition en soit, c’est la suite qui peut le devenir. Les femmes dominatrices, encore fraiches et non vénales étant rares, ce fantasme attendra encore un peu.
15. Travesti en femme... Vous empruntez les sous-vêtements, bas et chaussures de votre femme, ou vous allez jusqu’à vous travestir.
Je n’ai jamais eu ce fantasme. Il y a quelques années, avant mon entrée réelle en libertinage, j’avais entretenu une correspondance avec une charmante jeune fille d’origine marocaine qui avait ce fantasme de féminiser un homme. Elle avait quasiment réussi à me convaincre de me rendre à notre premier rendez-vous avec des dessous féminins. Et puis elle a annulé notre rendez-vous une heure avant et je n’ai plus jamais eu de nouvelles. Je l’ai échappé belle…
vendredi 14 novembre 2008
And the winner is...
Le grand jour est arrivé. Il est temps d’annoncer officiellement le palmarès de mon grand concours de photos de fesses de lectrices.
Je tiens à remercier les sept lectrices qui ont participé à ce concours et à les féliciter pour la qualité de leurs clichés. Le vote a été difficile. Merci à vous également qui avez voté pour vos photos préférées. Et enfin merci à Maîtresse M pour son aide précieuse.
La médaille de bronze est attribuée conjointement à la photo n°1 et à la photo n°7
La médaille d’argent est attribuée à la photo n°3
La médaille d’or est attribuée à la photo n°4
Le détail du décompte est disponible en commentaire. Les gagnantes recevront dans les prochains jours une liste parmi laquelle elles pourront choisir leur récompense.
Je tiens à remercier les sept lectrices qui ont participé à ce concours et à les féliciter pour la qualité de leurs clichés. Le vote a été difficile. Merci à vous également qui avez voté pour vos photos préférées. Et enfin merci à Maîtresse M pour son aide précieuse.
La médaille de bronze est attribuée conjointement à la photo n°1 et à la photo n°7
La médaille d’argent est attribuée à la photo n°3
La médaille d’or est attribuée à la photo n°4
Le détail du décompte est disponible en commentaire. Les gagnantes recevront dans les prochains jours une liste parmi laquelle elles pourront choisir leur récompense.
mercredi 5 novembre 2008
Vous les avez attendues (enfin moi), les voilà
Les candidatures pour le concours de fesses de lectrices sont closes. Je ne vous cacherai pas ma vive déception face à votre très faible participation. Je tiens donc à remercier celles qui ont franchi le pas. Mesdames, vos culs sont adorables et j'ai eu beaucoup de plaisir à découvrir vos photos dans ma boite mail.
Pour ceux et celles qui le souhaitent, vous avez maintenant jusqu'au 12/11/08 à minuit pour voter pour élire vos médailles d'or, d'argent et de bronze.
Pour ceux et celles qui le souhaitent, vous avez maintenant jusqu'au 12/11/08 à minuit pour voter pour élire vos médailles d'or, d'argent et de bronze.
Les votes sont clos.
Appel d'offre
Parmi les nombreuses pratiques de voyous que se permet en toute impunité la plus basse racaille internaute, il en est une qui m'exaspère profondément : le vol de contenus.
J'avais déjà eu vent de quelques hommes mal dans leur peau qui se servaient d'une photo illustrant l'un de mes précédents blogs pour s'inscrire sur des forums libertins et chasser sur MSN. La grande classe ! Hier je suis tombé sur ce site. Il publie sans autorisation les textes et photos de plusieurs bloggeurs, dont je fais malheureusement partie. Sans même avoir la décence de citer l'auteur et de faire un lien vers le texte original
Outre la profonde malhonnêteté intellectuelle consistant à se réapproprier les écrits (ou les photos) d'un autre, ce qui me dérange le plus dans cette lamentable affaire, c'est le caractère bassement mercantile de l'opération. Ce site n'ayant d'autre vocation que de rapporter de l'argent à son auteur escroc, via des liens sponsorisés et bannières publicitaires. Trop paresseux (et sans doute intellectuellement inapte) pour créer un contenu original, le margoulin n'a pas hésité à voler celui des autres.
J'ai toujours refusé les offres d'agences de communication me proposant de l'argent contre du publi-redactionnel. Je ne veux pas faire de ce blog une question d'argent. S'il doit m'enrichir un jour, ce sera à la sueur de mes coups de reins. Alors je refuse qu'on se fasse de l'argent avec mes petites bêtises érotico-littéraires.
Dans ce type de vol caractérisé, le bloggeur plagié est bien désarmé. Le nom de domaine et l'hébergeur sont aux Etats-Unis. Il n'y a pas d'autres moyens d'intervention qu'une procédure judiciaire. Ce qui est bien sûr totalement inenvisageable. Alors je lance un appel. Si vous connaissez autour de vous quelqu'un qui pratique le hacking pendant ses loisirs, un barbouze de l'Internet, un tueur (de sites) à gages capable de défacer ce site de merde, je serai plus que ravi de faire appel à ses services.
J'avais déjà eu vent de quelques hommes mal dans leur peau qui se servaient d'une photo illustrant l'un de mes précédents blogs pour s'inscrire sur des forums libertins et chasser sur MSN. La grande classe ! Hier je suis tombé sur ce site. Il publie sans autorisation les textes et photos de plusieurs bloggeurs, dont je fais malheureusement partie. Sans même avoir la décence de citer l'auteur et de faire un lien vers le texte original
Outre la profonde malhonnêteté intellectuelle consistant à se réapproprier les écrits (ou les photos) d'un autre, ce qui me dérange le plus dans cette lamentable affaire, c'est le caractère bassement mercantile de l'opération. Ce site n'ayant d'autre vocation que de rapporter de l'argent à son auteur escroc, via des liens sponsorisés et bannières publicitaires. Trop paresseux (et sans doute intellectuellement inapte) pour créer un contenu original, le margoulin n'a pas hésité à voler celui des autres.
J'ai toujours refusé les offres d'agences de communication me proposant de l'argent contre du publi-redactionnel. Je ne veux pas faire de ce blog une question d'argent. S'il doit m'enrichir un jour, ce sera à la sueur de mes coups de reins. Alors je refuse qu'on se fasse de l'argent avec mes petites bêtises érotico-littéraires.
Dans ce type de vol caractérisé, le bloggeur plagié est bien désarmé. Le nom de domaine et l'hébergeur sont aux Etats-Unis. Il n'y a pas d'autres moyens d'intervention qu'une procédure judiciaire. Ce qui est bien sûr totalement inenvisageable. Alors je lance un appel. Si vous connaissez autour de vous quelqu'un qui pratique le hacking pendant ses loisirs, un barbouze de l'Internet, un tueur (de sites) à gages capable de défacer ce site de merde, je serai plus que ravi de faire appel à ses services.
mercredi 29 octobre 2008
lundi 27 octobre 2008
Ravis au lit ? (Oui, j'ai osé le jeu de mot)
Mon interface gmail continue de me proposer des publicités autour de la sexualité et de la pornographie. Pourtant, tout à l’heure, à un moment, j’ai parlé cinéma avec une amie.
Parmi les liens proposés aujourd’hui, il y a un guide de sexualité et de sexologie pour nous les hommes. La vulgarisation autour de la sexualité est souvent des plus divertissantes, je clique donc. Et là, entre un article sur les sex-toys et un témoignage féminin sur le point G, je tombe sur le titre d’un article qui me laisse pantois : "le sexe en s’amusant". "Rédiger sa déclaration d’impôts en s’amusant" je comprendrais mais "le sexe en s’amusant" ! Le sexe serait donc pour beaucoup un calvaire qu’il conviendrait de rendre plaisant au plus vite...
Parmi les liens proposés aujourd’hui, il y a un guide de sexualité et de sexologie pour nous les hommes. La vulgarisation autour de la sexualité est souvent des plus divertissantes, je clique donc. Et là, entre un article sur les sex-toys et un témoignage féminin sur le point G, je tombe sur le titre d’un article qui me laisse pantois : "le sexe en s’amusant". "Rédiger sa déclaration d’impôts en s’amusant" je comprendrais mais "le sexe en s’amusant" ! Le sexe serait donc pour beaucoup un calvaire qu’il conviendrait de rendre plaisant au plus vite...
Mes nuits sont plus belles que mes jours
Il y a comme ça des journées gâchées et ratées. Des journées creuses où je n’ai pas d’envies, pas de passion. Des journées où tout me semble ennuyeux, sans intérêt, déjà vu. Des journées où je manque de courage face aux prochains chantiers de mon existence. Des journées où je ne veux que dormir.
Heureusement quand tombe la nuit, se réveillent les pulsions animales.
Heureusement quand tombe la nuit, se réveillent les pulsions animales.
vendredi 24 octobre 2008
Kinky fait du porno (un titre racoleur et mensonger destiné à accroître de façon substantielle son audience)
C’est marrant les liens contextuels. Vous le savez peut-être, lorsque vous utilisez un compte gmail, vos mails sont analysés informatiquement afin de vous proposer des messages publicitaires théoriquement en rapport avec vos centres d’intérêt. En gros si vous discutez de bagnoles, il y a de fortes chances que les encarts publicitaires vous proposent des liens vers des sites ayant trait à l’automobile.
Allez savoir pourquoi, tout à l’heure apparait donc sur la page d’accueil de ma boite mail un lien vers un site, myexibo.com, qui propose aux internautes portés sur l’exhibitionnisme une interface leur permettant de se créer (gratuitement) une galerie virtuelle. Quel intérêt ? Elle vous permet de vendre en ligne, et au prix que vous fixez, vos photos en téléchargement. La société se prenant bien sûr une commission sur le prix de vente.
Vous avez des seins et un cul pas trop vilains ? Vos photos valent désormais de l’or pour une industrie porno en crise. Ce n’est peut-être pas plus mal, en matière d’érotisme, j’ai toujours préféré les girl next door aux blondasses californiennes siliconées et liposucées.
Ma réaction première fût de me dire qu’ils signaient l’arrêt de mort de ces blogs d’exhibition qui pullulent depuis un an. Mais finalement je doute qu’ils soient nombreux les internautes érotomanes prêt à payer… Mais qui sait ? Vous payerez vous, pour me voir nu ?
Allez savoir pourquoi, tout à l’heure apparait donc sur la page d’accueil de ma boite mail un lien vers un site, myexibo.com, qui propose aux internautes portés sur l’exhibitionnisme une interface leur permettant de se créer (gratuitement) une galerie virtuelle. Quel intérêt ? Elle vous permet de vendre en ligne, et au prix que vous fixez, vos photos en téléchargement. La société se prenant bien sûr une commission sur le prix de vente.
Vous avez des seins et un cul pas trop vilains ? Vos photos valent désormais de l’or pour une industrie porno en crise. Ce n’est peut-être pas plus mal, en matière d’érotisme, j’ai toujours préféré les girl next door aux blondasses californiennes siliconées et liposucées.
Ma réaction première fût de me dire qu’ils signaient l’arrêt de mort de ces blogs d’exhibition qui pullulent depuis un an. Mais finalement je doute qu’ils soient nombreux les internautes érotomanes prêt à payer… Mais qui sait ? Vous payerez vous, pour me voir nu ?
jeudi 23 octobre 2008
Curiosité masculine pour les curiosités féminines
Mesdames et demoiselles, j’ai besoin de votre aide pour décoder l’âme féminine.
Une femme avec laquelle vous avez flirtouillé il y a quelques années, avec laquelle vous seriez bien allé plus loin mais qui vous a claqué la porte au nez, dont vous n’avez plus de nouvelles depuis un an et demi et qui subitement vous envoie ses photos de mariage, à quoi est-ce que ça rime au juste ?
Une femme avec laquelle vous avez flirtouillé il y a quelques années, avec laquelle vous seriez bien allé plus loin mais qui vous a claqué la porte au nez, dont vous n’avez plus de nouvelles depuis un an et demi et qui subitement vous envoie ses photos de mariage, à quoi est-ce que ça rime au juste ?
mercredi 22 octobre 2008
Flûte !
Je sais bien que les blogs sont éphémères, qu'ils sont une photographie d'un moment de nos vies dont on éprouve le besoin de se détacher. Moi aussi j'ai fait par le passé table rase. Mais tout de même...
Jeu de liens
Au détour d’une correspondance naissante, une question, un jeu. Définir ce que m’évoque le mot « liens ».
Il y a les liens du sang, de la filiation et du patrimoine génétique, auxquels je suis peu sensible.
Il y a les liens amicaux qui me relient à une poignée de personnes et qui perdurent malgré le temps qui passent. Un ami, c’est quelqu’un qui vous connait bien et vous aime quand même, disait l’autre.
Il y a les liens psychologiques, les tabous, les blocages, les complexes… véritables entraves à l’épanouissement que j’abats un à un, lentement mais surement, au prix d’efforts parfois épuisants mais largement récompensés.
Il y a les liens hypertextes, qui me mènent de blogs en blogs, de textes à l’érotisme troublant en exhibitions vulgaires, de jolies confessions intimes en horreurs syntaxiques, d’illustrations savoureuses en coquilles vides.
Il y a les liens tissés avec mes lectrices, amantes passées et à venir, objets de fantasme inaccessibles, amitiés réelles, inconnues anonymes, connaissances blogosphèriques…
Il y a le lien que j’ai parfois peine à faire entre sexe et amour.
Il y a les liens que j’aime à utiliser parfois pour ligoter de jeunes femmes dociles, les maintenir dans des positions impudiques, me donner libre accès à leurs orifices et en abuser.
Il y a les liens qui me tiendraient prisonnier, totalement soumis et impuissant.
Il y a les liens du sang, de la filiation et du patrimoine génétique, auxquels je suis peu sensible.
Il y a les liens amicaux qui me relient à une poignée de personnes et qui perdurent malgré le temps qui passent. Un ami, c’est quelqu’un qui vous connait bien et vous aime quand même, disait l’autre.
Il y a les liens psychologiques, les tabous, les blocages, les complexes… véritables entraves à l’épanouissement que j’abats un à un, lentement mais surement, au prix d’efforts parfois épuisants mais largement récompensés.
Il y a les liens hypertextes, qui me mènent de blogs en blogs, de textes à l’érotisme troublant en exhibitions vulgaires, de jolies confessions intimes en horreurs syntaxiques, d’illustrations savoureuses en coquilles vides.
Il y a les liens tissés avec mes lectrices, amantes passées et à venir, objets de fantasme inaccessibles, amitiés réelles, inconnues anonymes, connaissances blogosphèriques…
Il y a le lien que j’ai parfois peine à faire entre sexe et amour.
Il y a les liens que j’aime à utiliser parfois pour ligoter de jeunes femmes dociles, les maintenir dans des positions impudiques, me donner libre accès à leurs orifices et en abuser.
Il y a les liens qui me tiendraient prisonnier, totalement soumis et impuissant.
lundi 20 octobre 2008
Mesdames, cul nu !
Chers lecteurs et lectrices, désireux de réaliser au moins la moitié de ma to do list, j’ai l’honneur et le plaisir de vous annoncer officiellement le lancement de mon grand concours de photos de fesses de lectrices.
Ce concours est ouvert à toute personne de sexe féminin souhaitant y participer. Les photos devront dévoiler votre charmant fessier. Vous avez toutes latitudes quant à la mise en scène. Je précise qu’il s’agit avant tout d’un concours photographique. Vos clichés seront donc jugés sur leur pouvoir érotique et émotionnel mais aussi et surtout sur des critères artistiques (cadrage, lumière, mise en scène…).
Trois prix seront décernés, un Kinky d’or, un Kinky d’argent et un Kinky de bronze.
Vos photos devront être envoyées avant le 04/11/08 à minuit à l’adresse suivante : concourskinky@hotmail.fr. Elles seront mises en ligne le 05/11/08 et le votre sera clos le 12/11/08 à minuit. Les gagnantes seront officiellement désignées le 14/11/08.
Mesdames et demoiselles qui voudriez participer, je vous invite à lire le règlement de ce concours :
Les modalités
Toute participante pourra le faire de façon anonyme. Elle ne devra envoyer qu’une seule photo, de bonne qualité (taille, définition…). Une photo inédite, réalisée spécialement pour l’occasion. Elle s’engage à ne pas envoyer de photos volées sur le web ou ailleurs. Je me réserve le droit d’exclure toute photo volée ou ne respectant pas les critères de qualité (timbre poste, photo pixellisée…).
Afin de préserver l’anonymat des participantes et l’impartialité des votants, je n’aurai pas accès à la boite mail susmentionnée. Maitresse M, amie complice improvisée huissière, sera chargée de réceptionner vos contributions. Elle me fera parvenir après clôture des inscriptions l’ensemble photos, numérotées, pour une publication anonyme. Chacun votera donc en toute impartialité.
Il sera interdit aux participantes d’utiliser leur blog (ou tout autre blog) dans le but d’inciter un lectorat déjà acquis à voter pour elles. Elles ne pourront donc y publier la photo participante, ni en révéler le numéro.
Les prix
Les Kinky d’or, d’argent et de bronze seront décernés par les lecteurs et lectrices de ce blog. Votes auxquels s’ajoutera le mien.
Chacun(e) ne pourra voter qu’une seule fois, pour ses trois photos préférées auxquelles seront attribuées 5 points pour la première, 3 points pour la seconde et 1 point pour la troisième. Ne seront pas pris en compte les votes des distraits qui voteront pour plus ou moins de trois photos.
Mon vote comptera double. J’attribuerai donc 10, 6 et 2 points. La photo qui aura le plus de points sera désignée gagnante, la seconde médaille d’argent et la troisième médaille de bronze.
Les participantes auront le droit de voter pour elle-même, faute de moyens de contrôle, mais je compte sur leur fair-play pour ne pas le faire.
Les récompenses
C’est là que le concours prend tout son intérêt, enfin je trouve, ce sont les gagnantes qui choisiront pour leurs récompenses.
Je m’explique. Chaque participante qui le souhaite pourra suggérer deux idées de récompense en même temps qu’elle enverra sa photo. Les suggestions devront bien sûr rester réalistes. Les suggestions les plus originales seront sélectionnées de façon totalement arbitraire par Maitresse M qui établira une short-list de 9 à 12 récompenses potentielles qu’elle me fera parvenir après clôture des votes. En cas de pénurie d’idées créatives, Maitresse M sera autorisée à faire quelques additions à la liste.
Sur cette short-list je me réserve un droit de véto. Je pourrai donc éliminer trois suggestions (maximum). Avant officialisation du palmarès, Maitresse M contactera la lauréate du Kinky d’or afin qu’elle choisisse sa récompense. Puis la lauréate du Kinky d’argent qui choisira parmi la liste dont aura été ôtée la récompense choisie par la lauréate du Kinky d’or. Et ainsi de suite.
Lors de l’officialisation du palmarès, seront également publiées les récompenses choisies par les gagnantes.
Mesdames, à vos appareils photos !
Et faites-moi bander…
Ce concours est ouvert à toute personne de sexe féminin souhaitant y participer. Les photos devront dévoiler votre charmant fessier. Vous avez toutes latitudes quant à la mise en scène. Je précise qu’il s’agit avant tout d’un concours photographique. Vos clichés seront donc jugés sur leur pouvoir érotique et émotionnel mais aussi et surtout sur des critères artistiques (cadrage, lumière, mise en scène…).
Trois prix seront décernés, un Kinky d’or, un Kinky d’argent et un Kinky de bronze.
Vos photos devront être envoyées avant le 04/11/08 à minuit à l’adresse suivante : concourskinky@hotmail.fr. Elles seront mises en ligne le 05/11/08 et le votre sera clos le 12/11/08 à minuit. Les gagnantes seront officiellement désignées le 14/11/08.
Mesdames et demoiselles qui voudriez participer, je vous invite à lire le règlement de ce concours :
Les modalités
Toute participante pourra le faire de façon anonyme. Elle ne devra envoyer qu’une seule photo, de bonne qualité (taille, définition…). Une photo inédite, réalisée spécialement pour l’occasion. Elle s’engage à ne pas envoyer de photos volées sur le web ou ailleurs. Je me réserve le droit d’exclure toute photo volée ou ne respectant pas les critères de qualité (timbre poste, photo pixellisée…).
Afin de préserver l’anonymat des participantes et l’impartialité des votants, je n’aurai pas accès à la boite mail susmentionnée. Maitresse M, amie complice improvisée huissière, sera chargée de réceptionner vos contributions. Elle me fera parvenir après clôture des inscriptions l’ensemble photos, numérotées, pour une publication anonyme. Chacun votera donc en toute impartialité.
Il sera interdit aux participantes d’utiliser leur blog (ou tout autre blog) dans le but d’inciter un lectorat déjà acquis à voter pour elles. Elles ne pourront donc y publier la photo participante, ni en révéler le numéro.
Les prix
Les Kinky d’or, d’argent et de bronze seront décernés par les lecteurs et lectrices de ce blog. Votes auxquels s’ajoutera le mien.
Chacun(e) ne pourra voter qu’une seule fois, pour ses trois photos préférées auxquelles seront attribuées 5 points pour la première, 3 points pour la seconde et 1 point pour la troisième. Ne seront pas pris en compte les votes des distraits qui voteront pour plus ou moins de trois photos.
Mon vote comptera double. J’attribuerai donc 10, 6 et 2 points. La photo qui aura le plus de points sera désignée gagnante, la seconde médaille d’argent et la troisième médaille de bronze.
Les participantes auront le droit de voter pour elle-même, faute de moyens de contrôle, mais je compte sur leur fair-play pour ne pas le faire.
Les récompenses
C’est là que le concours prend tout son intérêt, enfin je trouve, ce sont les gagnantes qui choisiront pour leurs récompenses.
Je m’explique. Chaque participante qui le souhaite pourra suggérer deux idées de récompense en même temps qu’elle enverra sa photo. Les suggestions devront bien sûr rester réalistes. Les suggestions les plus originales seront sélectionnées de façon totalement arbitraire par Maitresse M qui établira une short-list de 9 à 12 récompenses potentielles qu’elle me fera parvenir après clôture des votes. En cas de pénurie d’idées créatives, Maitresse M sera autorisée à faire quelques additions à la liste.
Sur cette short-list je me réserve un droit de véto. Je pourrai donc éliminer trois suggestions (maximum). Avant officialisation du palmarès, Maitresse M contactera la lauréate du Kinky d’or afin qu’elle choisisse sa récompense. Puis la lauréate du Kinky d’argent qui choisira parmi la liste dont aura été ôtée la récompense choisie par la lauréate du Kinky d’or. Et ainsi de suite.
Lors de l’officialisation du palmarès, seront également publiées les récompenses choisies par les gagnantes.
Mesdames, à vos appareils photos !
Et faites-moi bander…
Quelqu’un peut-il m’expliquer ?
- Les concours d’air guitar
- Le cinéma français
- Les libertines mal baisées
- La droite décomplexée
- Sébastien Tellier
- Les ornithorynques
- Le ballbusting
- La bouillie qu’est la bande FM
- Second Life
- Laurence Ferrari présentant le 20h maquillée comme une Deschiens
- Notre goût pour les chieuses
- Les films en VF
- Les chocolats à la menthe
- Le botox à 30 ans
- Votre présence ici
- Le cinéma français
- Les libertines mal baisées
- La droite décomplexée
- Sébastien Tellier
- Les ornithorynques
- Le ballbusting
- La bouillie qu’est la bande FM
- Second Life
- Laurence Ferrari présentant le 20h maquillée comme une Deschiens
- Notre goût pour les chieuses
- Les films en VF
- Les chocolats à la menthe
- Le botox à 30 ans
- Votre présence ici
vendredi 17 octobre 2008
Un matin d'automne
Comment ne pas tomber sous le charme d’une jeune femme d’une vingtaine d’années qui se rend à un premier rendez-vous avec un inconnu dans une chambre d’hôtel avec un gode-ceinture dans son sac ?
Début d’après-midi. Je l’attends assis sur le lit, les yeux bandés, tel que me le demandaient les instructions reçues par texto quelques minutes plus tôt. Nu ou habillé ? Elle n’a pas précisé son souhait. J’hésite quelques instants. Lui offrir dès son entrée dans la chambre le spectacle impudique de mon corps nu - et probablement de mon sexe au garde à vous - ou jouir du plaisir d’une lente découverte ? S’il y a quelque chose de terriblement excitant à se retrouver nu et en érection face à une femme habillée, que vous ne pouvez voir qui plus est, j’opte finalement pour la seconde solution. A mon grand désespoir, je ne choisis pas toujours pour les alternatives les plus déraisonnables.
La porte s’entrouvre et j’entends des talons résonner sur le carrelage de la chambre joliment décorée. Nous y voilà. Enfin. Sans mots dire, elle me rejoint sur le lit, m’allonge sur le dos, me caresse et promène ses lèvres sur mon corps, dans mon cou. J’aime cette passivité, me laisser guider. Mais je suis impatient de découvrir son corps, ses courbes, son goût. Mais joueuse, elle se soustrait à mes caresses, à mes tentatives de baisers. J'aime le jeu. Je m’abandonne totalement à ses caresses.
Je frissonne lorsqu’elle ôte mes vêtements un à un, goûte ma peau, pince ou mordille mes tétons. Elle me laisse enfin la liberté de la toucher. J’explore ses courbes du bout des doigts et m’enivre de son odeur. Je frémis de plaisir lorsqu’elle fait glisser mon boxer, embrasse mon sexe et promène sa langue sur ma queue. Se mettant en position pour un 69 dont je rêve depuis de longues minutes, elle offre sa croupe à ma bouche. Je savoure le premier contact de ma langue sur son sexe humide comme on savoure un vin rare. Délicieuses saveurs sucrées. Ma langue caresse ses lèvres, son clito, son petit trou avant de pénétrer son sexe juteux. Nous jouons un moment à nous découvrir, moi en aveugle, elle profitant de ses cinq sens. Puis elle déroule un préservatif sur ma queue et s’y empale.
Malgré une nuit plutôt courte, nous nous réveillons au petit matin, d’excellente humeur. Nos mains ne tardent pas à explorer. Il ne nous vient même pas à l’idée d’aller prendre un petit déjeuner. Dans quelques heures nous devrons nous quitter et nous voulons profiter du temps qu’il nous reste. Elle me fait part de cette envie qu’elle a eu la veille de me sodomiser. Je lui avoue que je n’aurais pas été contre. Elle sort le gode-ceinture dont elle m’a parlé la veille. Je suis un peu impressionné par la taille l’engin. Tout est relatif bien sûr… mais tout de même c’est d’un autre calibre qu’un doigt dont j’ai plus l’habitude. A ma grande joie elle me propose de m’attacher et de me bander les yeux. Elle connait mes fantasmes de soumission.
Me voici donc ligoté et totalement à sa merci, pieds et poings liés aux montants du lit. Elle a eu le bon sens de louer la seule chambre de tout l’hôtel à proposer un lit à barreaux. Je suis épaté par son sens de l’organisation et imaginer cette jeune fille qui semble si innocente demander une chambre avec barreaux au lit, dans le but prémédité d’attacher et sodomiser un amant, m’excite terriblement.
La voir enfiler l’objet du délit est un spectacle délicieux et un peu angoissant. J’imagine ce que ressens une femme inexpérimentée face à un amant raide de désir qui lui propose de l’enculer. Elle me passe le bandeau sur les yeux. Je me prive de son regard mais étrangement il me semble plus facile (et plus excitant) de m’offrir ainsi en aveugle. Pudeur idiote. Au-delà du plaisir éprouvé par la stimulation d’une zone érogène, il y a je crois le plaisir de s’offrir à sa partenaire. La prochaine fois peut-être n'aurai-je pas peur de son regard.
Elle me branle et me suce avec beaucoup de savoir-faire. Mon excitation est plus que visible, mais sent-elle mes craintes ? J’ai toute confiance en elle. admirable complice de luxure. Ma crainte est surtout de ne pas aller au bout, de baisser les armes, lâchement. Ne pas penser, se détendre et profiter. Un doigt se promène entre mes fesses, caresse mon anus qui s’ouvre peu à peu. J’ai une soudaine envie d’y sentir sa langue. Je n’ai pas le temps de lui formuler mon souhait que son doigt fait une entrée en douceur et se fraye un chemin.
Son doigt ayant pris ses aises et se trouvant désormais en terrain conquis, elle me détache les chevilles et me demande de me retourner, de lui présenter mon cul, passif et soumis, à quatre pattes sur lit. Je m'exécute. Je sens la fraicheur du gel lubrifiant et deux doigts me pénètrent. Mon petit anneau se détend peu à peu. Sensation agréable. C’est au tour du braquemard en silicone d’entrer en jeu. Gémissement incontrôlé. De surprise ? De douleur ? De plaisir ? Un peu des trois probablement. Je pense à notre voisine dans la chambre d'à côté, touriste anglophone, dont on entend tous les faits et gestes à travers la mince paroi qui sépare nos chambres. Non sans excitation.
Elle me pénètre lentement. Alternance de petites douleurs et de plaisirs, de petites résistances et d’avancées prometteuses. A chaque nouvelle avancée c’est une petite douleur, assez indescriptible, comme un écartèlement intérieur, qui m'en fait craindre une bien plus forte au prochain coup de rein de ma belle amante. Mais mon petit trou s’adapte peu à peu à l’envahisseur, et régulièrement ouvre la porte à une nouvelle vague de plaisir. A sa demande je remue les fesses pour bien sentir les centimètres que je lui abandonne. J’apprends à apprivoiser la bête.
Le plaisir, la douleur, le défi, l’abandon. Tout est hors norme dans ce que je ressens. Ces coups de reins se font plus violents et je me découvre une nouvelle capacité de résistance, d’acceptation et d’adaptation. Je me demande ce qu’elle ressent, le plaisir que lui procurent ce pénis factice et le pouvoir qu’il lui donne. Elle saisit ma queue qu’elle branle lentement. Habile diversion, destinée à m’assener les ultimes percées en terres ennemies. Elle est désormais toute en moi et ses coups de reins sadiques s’accélèrent, jusqu’à ce que je perde totalement prise avec le réel, et finisse par lui réclamer un cessez-le-feu.
jeudi 16 octobre 2008
Big Brother is watching you (acte 2)
On annonce l’installation de mille caméras de surveillance dans les rues de Paris.
Amis parisiens, bientôt pour baiser tranquillement sous un porche ou sur un banc public sans risquer de finir au poste ou sur youtube il faudra venir nous rendre visite en province.
Amis parisiens, bientôt pour baiser tranquillement sous un porche ou sur un banc public sans risquer de finir au poste ou sur youtube il faudra venir nous rendre visite en province.
mercredi 15 octobre 2008
Kinky est amoureux
Il est des culs dont la beauté défie le vocabulaire.
Des culs majestueux qui peuvent vous faire perdre la tête.
Il est des culs fiers dans leurs vêtements moulants.
Des culs timides dont on n’entraperçoit que les grandes lignes.
Il est des culs qui vous font retourner dans la rue.
Des culs qui vous inspirent des pensées crues.
Il est des culs gros ou petits, plats ou rebondis.
Des culs qui suscitent envie et jalousie.
Il est des culs discrets et des culs expressifs.
Des culs confortables qui se révèlent hautement addictifs.
Il est des culs venimeux qui peuvent causer votre perte.
Des culs complices qui vous mènent au 7ème ciel.
Il est des culs aux courbes renversantes.
Des culs qui semblent taillés pour vos mains.
Il est des culs pour les gourmets.
Des culs dont on se souvient de la forme et de la texture.
Il est des culs qui vous hantent.
Des culs dont on se souvient le pantalon aux chevilles.
Il est des culs charmants que l’on a envie de caresser.
Des culs provocants que l’on a envie de visiter, bouffer et lécher
Il est des culs qui se refusent à se laisser pénétrer.
Des culs généreux qui s’offrent aux coups de boutoir passionnés.
Il est des culs sur lesquels poser la tête après la baise.
Des culs meilleurs à baiser qu’un sexe.
Il est des culs qui sont une bénédiction.
Des culs que l’on veut pour soi à la maison.
...
Mesdames, c’est plus fort que moi,
Je crois que je suis amoureux de vos culs.
Des culs majestueux qui peuvent vous faire perdre la tête.
Il est des culs fiers dans leurs vêtements moulants.
Des culs timides dont on n’entraperçoit que les grandes lignes.
Il est des culs qui vous font retourner dans la rue.
Des culs qui vous inspirent des pensées crues.
Il est des culs gros ou petits, plats ou rebondis.
Des culs qui suscitent envie et jalousie.
Il est des culs discrets et des culs expressifs.
Des culs confortables qui se révèlent hautement addictifs.
Il est des culs venimeux qui peuvent causer votre perte.
Des culs complices qui vous mènent au 7ème ciel.
Il est des culs aux courbes renversantes.
Des culs qui semblent taillés pour vos mains.
Il est des culs pour les gourmets.
Des culs dont on se souvient de la forme et de la texture.
Il est des culs qui vous hantent.
Des culs dont on se souvient le pantalon aux chevilles.
Il est des culs charmants que l’on a envie de caresser.
Des culs provocants que l’on a envie de visiter, bouffer et lécher
Il est des culs qui se refusent à se laisser pénétrer.
Des culs généreux qui s’offrent aux coups de boutoir passionnés.
Il est des culs sur lesquels poser la tête après la baise.
Des culs meilleurs à baiser qu’un sexe.
Il est des culs qui sont une bénédiction.
Des culs que l’on veut pour soi à la maison.
...
Mesdames, c’est plus fort que moi,
Je crois que je suis amoureux de vos culs.
vendredi 10 octobre 2008
Kinky a mal aux bourses
Je n’en peux plus d’entendre parler de cette crise. Stop ! Stop ! Stop ! Comme si elle datait d’hier. Comme si la crise (n’)était (que) financière. Se faire sucer est toujours aussi bon, non ? On n’annonce pas de pénurie de chocolat à ce que je sache. Billie Holiday est toujours aussi bouleversante. Un grand Bordeaux ne cessera jamais de faire du bien au palais. Alors qu’est-ce qu’ils me cassent les couilles avec leurs bourses ?!
Kinky ne bande plus
J'ai une libido proche du néant depuis quelques jours. En fait depuis cette soirée totalement ratée le week-end dernier où tout le monde se regardait en chien de faïence au lieu de baiser. Il n'y a rien de plus sinistre que des libertins blasés qui parlent politique. Rattrapé par cette putain de crise financière dont je me contrefiche jusque dans mes nuits de luxure !
Je m'étais déjà un peu fait chier lors de ma dernière sortie en club avec V. J’avais mis ça sur le compte de la mauvaise journée que j’avais passé, de mon irritation envers ces hommes seuls trop nombreux et peu respectueux. La vérité c’est que tout ceci ne m’excitait plus. A part des câlins un peu poussés avec V et une petite pipe par une hollandaise rondelette je m’étais contenté de mater mollement.
Petite Brune met du coeur à l’ouvrage pour me sortir de mon apathie mais elle a, bien plus que moi, son lot de saloperies de la vie à gérer. J’ai déjà eu des baisses de libido par le passé. La fatigue, les préoccupations personnelles… Je me sens à un nouveau carrefour de mes envies. Je ne veux pas baiser en pilotage automatique. Sex is just about fun. Aller me ressourcer et revenir. Désirant et en verve.
Je m'étais déjà un peu fait chier lors de ma dernière sortie en club avec V. J’avais mis ça sur le compte de la mauvaise journée que j’avais passé, de mon irritation envers ces hommes seuls trop nombreux et peu respectueux. La vérité c’est que tout ceci ne m’excitait plus. A part des câlins un peu poussés avec V et une petite pipe par une hollandaise rondelette je m’étais contenté de mater mollement.
Petite Brune met du coeur à l’ouvrage pour me sortir de mon apathie mais elle a, bien plus que moi, son lot de saloperies de la vie à gérer. J’ai déjà eu des baisses de libido par le passé. La fatigue, les préoccupations personnelles… Je me sens à un nouveau carrefour de mes envies. Je ne veux pas baiser en pilotage automatique. Sex is just about fun. Aller me ressourcer et revenir. Désirant et en verve.
mercredi 8 octobre 2008
Tagué t'es
A défaut d'autre chose, j’ai été tagué par In Virgo Veritas.
En général je n’aime pas trop me plier à ces jeux mais cette fois cela touche à la musique et ça a le mérite d’être un peu plus original que les questionnaires habituels.
Reste à définir ce qu’est « une chanson qui me ressemble ». Etant bien plus sensible à la musique qu’aux paroles il m’est difficile de trouver des textes qui me ressemblent. J’ai tout de même essayé. Reposez-moi la question demain, il est probable que je vous cite 5 chansons totalement différentes.
Les femmes c’est du chinois de Serge Gainsbourg
Celle-ci ce sera pour le texte. Même si je progresse de jour en jour les femmes sont pour moi du chinois. Et puis parce que la période jazzy de Gainsbourg, qui reste méconnue, est à mon sens ce qui s’est fait de mieux dans la chanson d’expression française.
Bionic de Placebo
Parce que dans une période sombre de mon existence, proche de l’état dépressif, les fulgurances rock du groupe de Brian Molko m’ont apporté quotidiennement un précieux réconfort. Et puis le groupe est devenu tout ce qu’il destetait. Et je suis passé à autre chose.
Bury the evidence de Tricky
Parce que les paroles collent à merveille à cette sensation récurrente d’être un spectateur passif de ma vie. Parce qu’étiré jusqu’à la transe lors d’un concert mythique à l’Elysée Montmartre ce morceau restera mon plus beau souvenir de musique live.
Tired Of Being Alone d’Al Green
Parce que la voix extraordinaire d’Al Green parfaitement mise en valeur par les sublimes arrangements de Willie Mitchell est idéale pour emballer et s’emballer à l’horizontale.
Paranoid Android de Radiohead
Parce que j’ai une grande admiration pour Radiohead, sa musique et sa démarche puriste ? Oui. Mais non. Juste pour cette phrase simple et brillante : « ambition makes you look pretty ugly »
En général je n’aime pas trop me plier à ces jeux mais cette fois cela touche à la musique et ça a le mérite d’être un peu plus original que les questionnaires habituels.
Reste à définir ce qu’est « une chanson qui me ressemble ». Etant bien plus sensible à la musique qu’aux paroles il m’est difficile de trouver des textes qui me ressemblent. J’ai tout de même essayé. Reposez-moi la question demain, il est probable que je vous cite 5 chansons totalement différentes.
Les femmes c’est du chinois de Serge Gainsbourg
Les femmes c'est du chinois
Le comprenez-vous ? Moi pas.
Le comprenez-vous ? Moi pas.
Celle-ci ce sera pour le texte. Même si je progresse de jour en jour les femmes sont pour moi du chinois. Et puis parce que la période jazzy de Gainsbourg, qui reste méconnue, est à mon sens ce qui s’est fait de mieux dans la chanson d’expression française.
Bionic de Placebo
Parce que dans une période sombre de mon existence, proche de l’état dépressif, les fulgurances rock du groupe de Brian Molko m’ont apporté quotidiennement un précieux réconfort. Et puis le groupe est devenu tout ce qu’il destetait. Et je suis passé à autre chose.
Bury the evidence de Tricky
Parce que les paroles collent à merveille à cette sensation récurrente d’être un spectateur passif de ma vie. Parce qu’étiré jusqu’à la transe lors d’un concert mythique à l’Elysée Montmartre ce morceau restera mon plus beau souvenir de musique live.
It doesn't move me
Life doesn't move
It doesn't move me
Move me
It's like a blow to the head
It's like a blow to my head
It doesn't move me
Move me
Move me
Move me
It doesn't move me
It's like a movie
Just like a movie
Blow to the head
Life's like a blow to the head
Life doesn't move
It doesn't move me
Move me
It's like a blow to the head
It's like a blow to my head
It doesn't move me
Move me
Move me
Move me
It doesn't move me
It's like a movie
Just like a movie
Blow to the head
Life's like a blow to the head
Tired Of Being Alone d’Al Green
Parce que la voix extraordinaire d’Al Green parfaitement mise en valeur par les sublimes arrangements de Willie Mitchell est idéale pour emballer et s’emballer à l’horizontale.
Paranoid Android de Radiohead
Parce que j’ai une grande admiration pour Radiohead, sa musique et sa démarche puriste ? Oui. Mais non. Juste pour cette phrase simple et brillante : « ambition makes you look pretty ugly »
Pour ce qui est de LA chanson, ce sera le reprise par Nina Simone d' I Put A Spell On You. Insurpassable.
lundi 6 octobre 2008
J'hésite
Ouvrir un autre blog ou aborder d'autres sujets sur ce blog consacré à la fesse et la luxure.
jeudi 2 octobre 2008
Ma To Do List
- Engager une femme de ménage
- Organiser un concours de photos de fesses de lectrices
- Sauter la femme de ménage
- Trouver le sommeil
- Me faire sucer dans la rue
- M'organiser un week-end DVD et junk food
- Arrêter de mater des vidéos porno au boulot
- Songer à ma reconversion professionnelle
- Reprendre contact avec mon artiste fellatrice
- Lire le dernier Houellebecq pour en parler très fort au restaurant
- Revendre les strings usagés de ma petite brune
- Mettre des bandeaux de pub partout sur mon blog
- Changer mes photos sur netech'
- Trouver un sens à tout ceci
- Organiser un concours de photos de fesses de lectrices
- Sauter la femme de ménage
- Trouver le sommeil
- Me faire sucer dans la rue
- M'organiser un week-end DVD et junk food
- Arrêter de mater des vidéos porno au boulot
- Songer à ma reconversion professionnelle
- Reprendre contact avec mon artiste fellatrice
- Lire le dernier Houellebecq pour en parler très fort au restaurant
- Revendre les strings usagés de ma petite brune
- Mettre des bandeaux de pub partout sur mon blog
- Changer mes photos sur netech'
- Trouver un sens à tout ceci
mercredi 1 octobre 2008
Tout le monde n'a pas eu la chance de détester le lycée
Au départ j’étais très réticent. Je n’aime pas me souvenir du passé. Ou plutôt je suis pour la mémoire sélective. Mes années adolescentes et post-adolescentes ne sont dans ma mémoire qu’un no man’s land temporel que je n’ai nul plaisir à remuer. Et puis sous la pression amusée de ma petite brune j’ai fini par craquer. Je me suis inscrit sur copains d’avant, le site des jeunes vieux nostalgiques. La vérité c’est que je n’ai pas été insensible à cette petite voix intérieure, au petit espoir de retrouver les quelques cancres qui ont illuminé mes années de primaire.
Evidemment en consultant les fiches des inscrits qui ont fréquentés mon école de banlieue je n’ai retrouvé aucun des gamins avec lesquels j’ai fait les 400 coups au grand désespoir de mes parents. Devant moi défilent noms et têtes inconnus. En moins de deux minutes je suis saisi d’un gros coup de blues. Il y a quelque chose de déprimant dans les fiches de ces personnes qui ne se définissent et se projettent qu’à travers leur profession et leur statut marital. Et puis je ne sais pas comment dire les choses autrement, mais ça sent la naphtaline et la mort.
J’ai tout de même un sourire en tombant sur quelques photos de classe où j’apparais, l’air ridicule avec mes coupes de cheveux et vêtements improbables. Saletés d’années 80. La décennie qui n’aurait jamais dû exister. Je n’ai aucune nostalgie de ce passé. Et puis quid de mon droit à l’image ? L’oubli et l’anonymat sont morts avec Internet.
J’ai le doigt sur la souris, je suis prêt à refermer à jamais ce poussiéreux musée virtuel lorsqu’un sentiment de curiosité pointe le bout de son nez. Je jette un œil aux fiches de mes camarades de lycée. Camarades est un bien grand mot tant je me suis peu lié d’amitié dans le lycée pour gosses de riches où j’ai dû faire pénitence pour avoir occupé mon ennui en amusant mes petits camarades de classe. Ma curiosité se porte bien sûr vers les jeunes filles aujourd’hui devenues femmes qui ont partagé un peu de salive, excité mes hormones et alimenté mes fantasmes.
A ma grande surprise pratiquement tout le monde est inscrit sur le site et ma vie (sentimentale) repasse devant mes yeux. Je tombe d’abord sur Karine, une petite brune rondelette et dévergondée qui en seconde se plaçait toujours lors des récréations en face de la porte des toilettes pour hommes de telle façon à entrapercevoir le sexe des élèves mâles qui se soulageaient aux urinoirs et à laquelle, ayant repéré le petit manège, je me faisais un malin plaisir de faire plaisir. Quelques années plus tard je la sautais en sortant de boite.
Je suis ravi d’apprendre qu’Hélène, l’amie qui m’a initié à la littérature érotique pendant les cours de math vit aujourd’hui à l’autre bout du monde. Elle au moins s’est échappée du prévisible. Sylvie, l’intello moquée en 5e pour son appareil dentaire qui tiendra sa revanche deux années plus tard en se transformant en fille hautement désirable grâce à une poitrine prodigieuse et qui me caressera avec beaucoup de tendresse et de curiosité la queue pendant un slow lors de la fête de fin d’année, est aujourd’hui infirmière divorcée mère de 3 enfants. Nous avions un peu baisouillé quelques années plus tard lorsque nous nous sommes retrouvés inscrits aux mêmes cours de code de la route.
Flash hautement érectile en tombant sur la fiche de Tatiana, une brune à la beauté stupéfiante et dotée du plus joli cul de la terre, qui un soir d’hiver après les cours s’était fait prendre dans sa voiture par deux pions du lycée. Une scène dont son ex, bellâtre spectateur de la scène, n’avait pas tardé à fournir moult détails à tout le lycée. Le moins que l’on puisse dire c’est que Tatiana n’a rien perdu de sa beauté.
Je cherche Laetitia, la bombe qui en troisième faisait bander tout le lycée et eut l’extrême bon goût de me choisir comme copain pendant 3 mois, avant de tomber dans les bras d’un garçon qui réussit l’incroyable exploit d’obtenir la note d’un sur dix à ses tests psychotechniques. Mais celle-ci n’est pas inscrite. Cette recherche je dois l’avouer est motivée par une quête d’un plaisir sadique. Croisée quelques années plus tard, la pauvre avait perdu beaucoup de sa superbe et gagné une belle culotte de cheval.
Je ne trouve pas non plus Valérie, une petite ronde pas très belle qui s’était forgé dès la 4ème une belle réputation de "salope du lycée" en couchant avec à peu près tout la gente masculine des classes supérieures en un semestre à peine. Ce qui à l’époque était quelque chose. J’ai toujours eu beaucoup de tendresse pour cette fille qui avait cette qualité qui en tous temps m’a séduit : de l’humour.
Je tombe sur une autre Valérie (à l’époque il y en avait au moins 2 par classe), la bombe de la 4e4 qui ne m’aurait pas même adressé la parole et qui est tout à coup tombé sous mon charme le jour où son mec a préféré mêler sa salive à celle de ma copine. Ça m’allait, je ne perdais pas au change. Elle se laissait peloter Valérie. Je découvre que quelques couples formés au lycée sont toujours ensemble aujourd’hui. Demandez à n’importe quelle personne, il y a 99% de chances qu’elle trouve ça beau ces amours de jeunesse. Moi je trouve ça triste. Et ce n’est vraiment pas de la jalousie.
(Note à moi-même : penser à enfin prendre rendez-vous chez ce psy)
Mon cœur s’accélère lorsque je tombe sur le nom que je recherchais. Anne-Sophie, la première fille dont je sois tombé amoureux, la première femme que j’ai vu nue dans les vestiaires de la piscine municipale, la première à être l’héroïne de mes rêveries érotiques nocturnes. Celle qui m’aimait bien mais préférait les fils à papa. Le visage a un peu grossi mais elle a gardé ses jolies joues roses qui faisaient mon bonheur. Elle est toujours aussi belle. Elle vit désormais à l’autre bout de la France, mettant prématurément un terme à cette idée de la contacter pour enfin baiser mon amour de jeunesse qui traverse mon esprit malade.
(Note à moi-même : définitivement penser à prendre rendez-vous chez le psy)
Le sentiment de nausée mêlé de spleen est adouci par quelques jolis souvenirs qui remontent à la surface. Je prends la (sage) décision de supprimer ma fiche et d’éteindre l’ordinateur. Un bon jogging avec du gros son dans les oreilles me fera le plus grand bien.
Evidemment en consultant les fiches des inscrits qui ont fréquentés mon école de banlieue je n’ai retrouvé aucun des gamins avec lesquels j’ai fait les 400 coups au grand désespoir de mes parents. Devant moi défilent noms et têtes inconnus. En moins de deux minutes je suis saisi d’un gros coup de blues. Il y a quelque chose de déprimant dans les fiches de ces personnes qui ne se définissent et se projettent qu’à travers leur profession et leur statut marital. Et puis je ne sais pas comment dire les choses autrement, mais ça sent la naphtaline et la mort.
J’ai tout de même un sourire en tombant sur quelques photos de classe où j’apparais, l’air ridicule avec mes coupes de cheveux et vêtements improbables. Saletés d’années 80. La décennie qui n’aurait jamais dû exister. Je n’ai aucune nostalgie de ce passé. Et puis quid de mon droit à l’image ? L’oubli et l’anonymat sont morts avec Internet.
J’ai le doigt sur la souris, je suis prêt à refermer à jamais ce poussiéreux musée virtuel lorsqu’un sentiment de curiosité pointe le bout de son nez. Je jette un œil aux fiches de mes camarades de lycée. Camarades est un bien grand mot tant je me suis peu lié d’amitié dans le lycée pour gosses de riches où j’ai dû faire pénitence pour avoir occupé mon ennui en amusant mes petits camarades de classe. Ma curiosité se porte bien sûr vers les jeunes filles aujourd’hui devenues femmes qui ont partagé un peu de salive, excité mes hormones et alimenté mes fantasmes.
A ma grande surprise pratiquement tout le monde est inscrit sur le site et ma vie (sentimentale) repasse devant mes yeux. Je tombe d’abord sur Karine, une petite brune rondelette et dévergondée qui en seconde se plaçait toujours lors des récréations en face de la porte des toilettes pour hommes de telle façon à entrapercevoir le sexe des élèves mâles qui se soulageaient aux urinoirs et à laquelle, ayant repéré le petit manège, je me faisais un malin plaisir de faire plaisir. Quelques années plus tard je la sautais en sortant de boite.
Je suis ravi d’apprendre qu’Hélène, l’amie qui m’a initié à la littérature érotique pendant les cours de math vit aujourd’hui à l’autre bout du monde. Elle au moins s’est échappée du prévisible. Sylvie, l’intello moquée en 5e pour son appareil dentaire qui tiendra sa revanche deux années plus tard en se transformant en fille hautement désirable grâce à une poitrine prodigieuse et qui me caressera avec beaucoup de tendresse et de curiosité la queue pendant un slow lors de la fête de fin d’année, est aujourd’hui infirmière divorcée mère de 3 enfants. Nous avions un peu baisouillé quelques années plus tard lorsque nous nous sommes retrouvés inscrits aux mêmes cours de code de la route.
Flash hautement érectile en tombant sur la fiche de Tatiana, une brune à la beauté stupéfiante et dotée du plus joli cul de la terre, qui un soir d’hiver après les cours s’était fait prendre dans sa voiture par deux pions du lycée. Une scène dont son ex, bellâtre spectateur de la scène, n’avait pas tardé à fournir moult détails à tout le lycée. Le moins que l’on puisse dire c’est que Tatiana n’a rien perdu de sa beauté.
Je cherche Laetitia, la bombe qui en troisième faisait bander tout le lycée et eut l’extrême bon goût de me choisir comme copain pendant 3 mois, avant de tomber dans les bras d’un garçon qui réussit l’incroyable exploit d’obtenir la note d’un sur dix à ses tests psychotechniques. Mais celle-ci n’est pas inscrite. Cette recherche je dois l’avouer est motivée par une quête d’un plaisir sadique. Croisée quelques années plus tard, la pauvre avait perdu beaucoup de sa superbe et gagné une belle culotte de cheval.
Je ne trouve pas non plus Valérie, une petite ronde pas très belle qui s’était forgé dès la 4ème une belle réputation de "salope du lycée" en couchant avec à peu près tout la gente masculine des classes supérieures en un semestre à peine. Ce qui à l’époque était quelque chose. J’ai toujours eu beaucoup de tendresse pour cette fille qui avait cette qualité qui en tous temps m’a séduit : de l’humour.
Je tombe sur une autre Valérie (à l’époque il y en avait au moins 2 par classe), la bombe de la 4e4 qui ne m’aurait pas même adressé la parole et qui est tout à coup tombé sous mon charme le jour où son mec a préféré mêler sa salive à celle de ma copine. Ça m’allait, je ne perdais pas au change. Elle se laissait peloter Valérie. Je découvre que quelques couples formés au lycée sont toujours ensemble aujourd’hui. Demandez à n’importe quelle personne, il y a 99% de chances qu’elle trouve ça beau ces amours de jeunesse. Moi je trouve ça triste. Et ce n’est vraiment pas de la jalousie.
(Note à moi-même : penser à enfin prendre rendez-vous chez ce psy)
Mon cœur s’accélère lorsque je tombe sur le nom que je recherchais. Anne-Sophie, la première fille dont je sois tombé amoureux, la première femme que j’ai vu nue dans les vestiaires de la piscine municipale, la première à être l’héroïne de mes rêveries érotiques nocturnes. Celle qui m’aimait bien mais préférait les fils à papa. Le visage a un peu grossi mais elle a gardé ses jolies joues roses qui faisaient mon bonheur. Elle est toujours aussi belle. Elle vit désormais à l’autre bout de la France, mettant prématurément un terme à cette idée de la contacter pour enfin baiser mon amour de jeunesse qui traverse mon esprit malade.
(Note à moi-même : définitivement penser à prendre rendez-vous chez le psy)
Le sentiment de nausée mêlé de spleen est adouci par quelques jolis souvenirs qui remontent à la surface. Je prends la (sage) décision de supprimer ma fiche et d’éteindre l’ordinateur. Un bon jogging avec du gros son dans les oreilles me fera le plus grand bien.
mardi 30 septembre 2008
Sodomie pour tous (même les normands)
Je vous vois trépigner d’impatience. Vous vous demandez si oui ou non, bordel de merde, je me suis fait sodomiser.
Alors oui je dois le dire, lorsque j’apprends que notre bien aimé chef du gouvernement, celui-là même qui n’a de cesse de nous demander de mettre la main à la poche et de nous montrer écologiquement responsables, loue aux frais du contribuable un jet privé pour rejoindre Paris depuis sa résidence sarthoise alors que cela ne demande qu’une heure en TGV, j’ai le sentiment de me faire enculer.
Comment ça c’est une réponse de normand ?
Alors oui je dois le dire, lorsque j’apprends que notre bien aimé chef du gouvernement, celui-là même qui n’a de cesse de nous demander de mettre la main à la poche et de nous montrer écologiquement responsables, loue aux frais du contribuable un jet privé pour rejoindre Paris depuis sa résidence sarthoise alors que cela ne demande qu’une heure en TGV, j’ai le sentiment de me faire enculer.
Comment ça c’est une réponse de normand ?
jeudi 25 septembre 2008
vendredi 12 septembre 2008
Vendredi matin
Il pleut des cordes.
Je n’ai pas eu de pipe ce matin.
Les routes sont encombrées et le prix du carburant n’a toujours pas baissé.
La femme chocolat n’existe pas.
Mon boulot est devenu plus ennuyeux qu’un épisode de Desperate Housewives.
Ma petite brune est indisposée.
Benoit XVI vient nous vendre sa poudre de perlimpinpin réactionnaire.
Bukowski est toujours décédé.
Mon meilleur ami est à ramasser à la petite cuillère.
Les français n’aiment toujours pas la musique.
Raymond Domenech est toujours en poste.
J’ai une couille plus petite que l’autre.
Il faut trois mois pour un rendez-vous chez le dentiste.
L’amour est mort.
Mais tout va bien, le CAC 40 était à la hausse ce matin.
Je n’ai pas eu de pipe ce matin.
Les routes sont encombrées et le prix du carburant n’a toujours pas baissé.
La femme chocolat n’existe pas.
Mon boulot est devenu plus ennuyeux qu’un épisode de Desperate Housewives.
Ma petite brune est indisposée.
Benoit XVI vient nous vendre sa poudre de perlimpinpin réactionnaire.
Bukowski est toujours décédé.
Mon meilleur ami est à ramasser à la petite cuillère.
Les français n’aiment toujours pas la musique.
Raymond Domenech est toujours en poste.
J’ai une couille plus petite que l’autre.
Il faut trois mois pour un rendez-vous chez le dentiste.
L’amour est mort.
Mais tout va bien, le CAC 40 était à la hausse ce matin.
jeudi 11 septembre 2008
lundi 8 septembre 2008
Mise au point
Je tiens à tordre le cou à la rumeur et le dis bien fort : je ne suis pas le père de l'enfant de Rachida Dati.
vendredi 5 septembre 2008
Jeune et con (ou comment j’ai raté mon entrée en libertinage)
Un samedi de mars à la fin des années 90.
J'ai rencontré Linda sur un site de rencontres coquines à une époque où, Internet ne s’étant pas encore réellement démocratisé, les rapports sont relativement simples, courtois et sans prise de tête. Deux trois échanges rapides et elle me laisse son numéro de téléphone portable. Le courant passe instantanément. Je suis charmé par la douceur sensuelle de sa voix et son sens de l'humour plutôt acéré et décalé. Nous convenons d'un rendez-vous le soir même dans un bar d'une petite ville de province à une trentaine de kilomètres de chez moi.
A l’époque ma vie amoureuse et sexuelle n’est pas folichonne. Je sors d’une histoire un peu compliquée puisque quasiment platonique avec une amie de fac dont je suis tombé (fou) amoureux, suivie d’une relation houleuse avec une eurasienne superbe mais caractérielle et manipulatrice. On peut dire que je suis moralement blessé. J’ai de temps à autres quelques histoires qui ne durent rarement plus que quelques jours, et le plus souvent des aventures d’une nuit. Sexuellement je tire des coups, rien de plus. Je comprends très vite tout le parti qu’il y a à tirer d’Internet en matière de consommation sexuelle.
Lorsqu’elle fait son entrée dans le bar, roulant du cul de façon totalement provocante dans sa jupe écossaise, la bande de poivrots au comptoir se retourne à son passage. La jalousie est lisible sur leurs visages lorsqu’elle s’assoit à la table de ce jeune type quelconque : moi. Probable qu’ils la traitent de salope (voire pire) entre leurs moustaches. Moi je ne suis pas peu fier. J’ai toujours trouvé qu’une mauvaise réputation donnait à une femme un charme fou. Et puis il faut dire qu'elle est sacrément bandante. Quelques rondeurs là où il faut, de jolies jambes et une poitrine généreuse dont il est difficile de détourner le regard. Des yeux verts joueurs sur un visage parfait, blanc et laiteux. Je tombe en quelques secondes sous le charme de cette jeune excentrique qui n’a pas encore fêté ses 20 ans. Un vrai coup de foudre. Le dernier de mon existence.
Comme souvent alors devant une femme qui m’attire, je me sens totalement minable et désarmé. Nous échangeons quelques banalités probablement très ennuyeuses. Elle ne doit pas reconnaitre le type avec lequel elle a eu une conversation enflammée quelques heures plus tôt. Pourtant elle ne semble pas regretter d’être là. Elle met fin à ma drague laborieuse en m'expliquant yeux dans les yeux, et suffisamment fort pour que tout le bar en soit témoin, qu'elle n’est là que pour le cul et que si je suis d’accord il y a un hôtel sympa pas très loin de là.
Je suis bluffé par sa franchise. Elle me raconte avec force détails son mode de vie hédoniste, cette philosophie (dont je ne connais que quelques bribes) qu’est le libertinage. Même si à l’époque j’ai lu Sade et quelques classiques de la littérature coquine, c’est un monde nouveau qui s’ouvre à moi. Et bien sûr attise ma curiosité. Moi qui ai souffert toute mon adolescence et une partie de ma jeunesse de ne pas suffisamment oser, je tombe sur le cul lorsqu’elle me raconte comment elle a fêté ses 18 ans en baisant quasiment tous les hommes d'un club échangiste allemand lors d'un stage en Bavière. Je devrais être choqué et dégoûté et je ne le suis pas. Je crois même que je l’admire. Je me prends toute ma médiocrité de jeune homme timide à la gueule.
Nous louons une chambre dans un hôtel un peu cheap situé en périphérie de la ville. Sur le chemin nous nous découvrons pas mal d’affinités. Mais cette fille (et son expérience) m'impressionne et lorsque nous franchissons le pas de la porte la crainte se mêle à l’excitation. Finalement tout se passe à merveille. Elle ose même sans prévenir me glisser un doigt dans le cul pendant qu’elle me suce. Plaisir nouveau pour moi. Nous nous réveillons plusieurs fois dans la nuit pour baiser.
Nous passons la journée de dimanche à baiser à l'hôtel, à écouter les Pixies et Sonic Youth en fumant des joints dans ma voiture, à baiser en voiture, sur des parkings et des terrains vagues. Une journée merveilleuse. Nous passons la soirée et une bonne partie de la nuit à refaire le monde. Sans baiser. Lorsque je la dépose chez elle au petit matin avant d’aller bosser, j’ai la certitude d’être amoureux de cette fille.
Rendez-vous le mardi soir dans le bar où nous nous sommes rencontrés. Je m’y rends le cœur léger. Mes ardeurs sont vite refroidies. Nous ne nous sommes rien promis l’un à l’autre et je connais son mode de vie mais lorsqu’elle me désigne un type, la quarantaine bedonnante, avec lequel elle me dit avoir passé la nuit précédente, insistant sur le plaisir qu’elle a ressenti lorsqu’il l’a maladroitement pénétrée avec ses gros doigts sales et râpeux, je me prends un uppercut en plein ventre. Ce n’est plus tard que j’ai compris que c’était sans doute un bobard destiné à me tester. Le monde qui nous sépare, l’avance qu’elle a sur moi, étalés devant nos yeux. Confronté à ma vile jalousie, à ma possessivité, il s’avère qu’à aucun moment je n’envisage que le libertinage nous pourrions aussi le vivre à deux.
Je réussis tout de même à prendre sur moi et nous passons finalement un agréable moment dans la voiture à fumer et délirer au son des Breeders. Je lui propose de louer une chambre mais elle préfère que je la ramène chez elle. Je me gare sur le trottoir juste en face de chez ses parents. Elle déboutonne mon jean et me suce. Lorsque je jouis elle me roule une pelle la bouche encore pleine de mon sperme. Elle rit devant ma mine dégoutée. Je l’embrasse à pleine bouche. Pour la première fois de ma vie j’ai l’impression (galvanisante) que je serais prêt à tout pour une femme.
Sur la route du retour je me repasse le film de la soirée. J’accuse le coup de sa polygamie revendiquée que je me sais incapable de gérer. Suffisamment lucide pour réaliser que je n’ai pas les épaules pour me lancer dans une relation qui va encore me faire souffrir, incapable que je suis de l’aimer pour ce qu’elle est et aime, je décide de mettre fin à notre histoire. Lucide mais lâche. Je la « largue » le lendemain par texto.
Je n’ai plus de nouvelles de Linda pendant une semaine. Une semaine de tergiversions, de remords, de douleurs au ventre. Jusqu’à ce qu’un soir elle m’appelle en larmes. Elle me dit avoir déconné, être allée trop loin, tenir à moi et vouloir une relation plus « classique ». Je crois voir une issue de secours. J’apprendrai un peu plus tard qu’elle est entre temps tombée sur un maitre SM particulièrement sadique qui est allé bien plus loin qu’elle ne pouvait l’accepter et le supporter, la bouleversant profondément.
Nouveau rendez-vous le lendemain. La soirée se passe à merveille. Jusqu’à ce qu’au restaurant elle s’absente et passe une demi-heure au téléphone avec un amant (que je soupçonne être le maitre SM), me plantant comme un con devant mon assiette. Lorsqu’elle me rejoint à table, je me lève sans dire un mot et pars. Elle ne dit un mot, ne me retient pas. Les semaines passent et je pense toujours à elle. Un soir de déprime alcoolisée je décide de l’appeler. Je laisse un, deux, trois messages sur son répondeur. L’idée qu’elle puisse être en train de baiser m’est insupportable. Je plonge vers le néant.
Le lendemain elle m’envoie un mail très bref pour me dire à quel point je suis pathétique et à quel point elle est heureuse avec l’homme qu’elle vient de rencontrer. Trois jours plus tard je rencontre une jeune fille avec laquelle je passe les cinq années suivantes.
Aussi douloureuse qu’ait été cette aventure à l’époque, et aussi immature qu’ait été ma façon de la gérer, celle-ci aura été pour moi un déclic. Un déclic à retardement, une brèche ouverte dans laquelle je m’engouffrerai quelques années plus tard. Car si dès l’adolescence j’ai été attiré par le pluralisme (mes rêves érotiques d’adolescents mettaient souvent en scène des parties à trois voire plus), il m’a fallu du temps pour que l’idée fasse son chemin, pour gagner en assurance, et pour enfin dépasser les concepts de fidélité et de jalousie.
Merci à toi Linda. J’aurais aimé que la vie nous fasse nous rencontrer à un autre moment.
J'ai rencontré Linda sur un site de rencontres coquines à une époque où, Internet ne s’étant pas encore réellement démocratisé, les rapports sont relativement simples, courtois et sans prise de tête. Deux trois échanges rapides et elle me laisse son numéro de téléphone portable. Le courant passe instantanément. Je suis charmé par la douceur sensuelle de sa voix et son sens de l'humour plutôt acéré et décalé. Nous convenons d'un rendez-vous le soir même dans un bar d'une petite ville de province à une trentaine de kilomètres de chez moi.
A l’époque ma vie amoureuse et sexuelle n’est pas folichonne. Je sors d’une histoire un peu compliquée puisque quasiment platonique avec une amie de fac dont je suis tombé (fou) amoureux, suivie d’une relation houleuse avec une eurasienne superbe mais caractérielle et manipulatrice. On peut dire que je suis moralement blessé. J’ai de temps à autres quelques histoires qui ne durent rarement plus que quelques jours, et le plus souvent des aventures d’une nuit. Sexuellement je tire des coups, rien de plus. Je comprends très vite tout le parti qu’il y a à tirer d’Internet en matière de consommation sexuelle.
Lorsqu’elle fait son entrée dans le bar, roulant du cul de façon totalement provocante dans sa jupe écossaise, la bande de poivrots au comptoir se retourne à son passage. La jalousie est lisible sur leurs visages lorsqu’elle s’assoit à la table de ce jeune type quelconque : moi. Probable qu’ils la traitent de salope (voire pire) entre leurs moustaches. Moi je ne suis pas peu fier. J’ai toujours trouvé qu’une mauvaise réputation donnait à une femme un charme fou. Et puis il faut dire qu'elle est sacrément bandante. Quelques rondeurs là où il faut, de jolies jambes et une poitrine généreuse dont il est difficile de détourner le regard. Des yeux verts joueurs sur un visage parfait, blanc et laiteux. Je tombe en quelques secondes sous le charme de cette jeune excentrique qui n’a pas encore fêté ses 20 ans. Un vrai coup de foudre. Le dernier de mon existence.
Comme souvent alors devant une femme qui m’attire, je me sens totalement minable et désarmé. Nous échangeons quelques banalités probablement très ennuyeuses. Elle ne doit pas reconnaitre le type avec lequel elle a eu une conversation enflammée quelques heures plus tôt. Pourtant elle ne semble pas regretter d’être là. Elle met fin à ma drague laborieuse en m'expliquant yeux dans les yeux, et suffisamment fort pour que tout le bar en soit témoin, qu'elle n’est là que pour le cul et que si je suis d’accord il y a un hôtel sympa pas très loin de là.
Je suis bluffé par sa franchise. Elle me raconte avec force détails son mode de vie hédoniste, cette philosophie (dont je ne connais que quelques bribes) qu’est le libertinage. Même si à l’époque j’ai lu Sade et quelques classiques de la littérature coquine, c’est un monde nouveau qui s’ouvre à moi. Et bien sûr attise ma curiosité. Moi qui ai souffert toute mon adolescence et une partie de ma jeunesse de ne pas suffisamment oser, je tombe sur le cul lorsqu’elle me raconte comment elle a fêté ses 18 ans en baisant quasiment tous les hommes d'un club échangiste allemand lors d'un stage en Bavière. Je devrais être choqué et dégoûté et je ne le suis pas. Je crois même que je l’admire. Je me prends toute ma médiocrité de jeune homme timide à la gueule.
Nous louons une chambre dans un hôtel un peu cheap situé en périphérie de la ville. Sur le chemin nous nous découvrons pas mal d’affinités. Mais cette fille (et son expérience) m'impressionne et lorsque nous franchissons le pas de la porte la crainte se mêle à l’excitation. Finalement tout se passe à merveille. Elle ose même sans prévenir me glisser un doigt dans le cul pendant qu’elle me suce. Plaisir nouveau pour moi. Nous nous réveillons plusieurs fois dans la nuit pour baiser.
Nous passons la journée de dimanche à baiser à l'hôtel, à écouter les Pixies et Sonic Youth en fumant des joints dans ma voiture, à baiser en voiture, sur des parkings et des terrains vagues. Une journée merveilleuse. Nous passons la soirée et une bonne partie de la nuit à refaire le monde. Sans baiser. Lorsque je la dépose chez elle au petit matin avant d’aller bosser, j’ai la certitude d’être amoureux de cette fille.
Rendez-vous le mardi soir dans le bar où nous nous sommes rencontrés. Je m’y rends le cœur léger. Mes ardeurs sont vite refroidies. Nous ne nous sommes rien promis l’un à l’autre et je connais son mode de vie mais lorsqu’elle me désigne un type, la quarantaine bedonnante, avec lequel elle me dit avoir passé la nuit précédente, insistant sur le plaisir qu’elle a ressenti lorsqu’il l’a maladroitement pénétrée avec ses gros doigts sales et râpeux, je me prends un uppercut en plein ventre. Ce n’est plus tard que j’ai compris que c’était sans doute un bobard destiné à me tester. Le monde qui nous sépare, l’avance qu’elle a sur moi, étalés devant nos yeux. Confronté à ma vile jalousie, à ma possessivité, il s’avère qu’à aucun moment je n’envisage que le libertinage nous pourrions aussi le vivre à deux.
Je réussis tout de même à prendre sur moi et nous passons finalement un agréable moment dans la voiture à fumer et délirer au son des Breeders. Je lui propose de louer une chambre mais elle préfère que je la ramène chez elle. Je me gare sur le trottoir juste en face de chez ses parents. Elle déboutonne mon jean et me suce. Lorsque je jouis elle me roule une pelle la bouche encore pleine de mon sperme. Elle rit devant ma mine dégoutée. Je l’embrasse à pleine bouche. Pour la première fois de ma vie j’ai l’impression (galvanisante) que je serais prêt à tout pour une femme.
Sur la route du retour je me repasse le film de la soirée. J’accuse le coup de sa polygamie revendiquée que je me sais incapable de gérer. Suffisamment lucide pour réaliser que je n’ai pas les épaules pour me lancer dans une relation qui va encore me faire souffrir, incapable que je suis de l’aimer pour ce qu’elle est et aime, je décide de mettre fin à notre histoire. Lucide mais lâche. Je la « largue » le lendemain par texto.
Je n’ai plus de nouvelles de Linda pendant une semaine. Une semaine de tergiversions, de remords, de douleurs au ventre. Jusqu’à ce qu’un soir elle m’appelle en larmes. Elle me dit avoir déconné, être allée trop loin, tenir à moi et vouloir une relation plus « classique ». Je crois voir une issue de secours. J’apprendrai un peu plus tard qu’elle est entre temps tombée sur un maitre SM particulièrement sadique qui est allé bien plus loin qu’elle ne pouvait l’accepter et le supporter, la bouleversant profondément.
Nouveau rendez-vous le lendemain. La soirée se passe à merveille. Jusqu’à ce qu’au restaurant elle s’absente et passe une demi-heure au téléphone avec un amant (que je soupçonne être le maitre SM), me plantant comme un con devant mon assiette. Lorsqu’elle me rejoint à table, je me lève sans dire un mot et pars. Elle ne dit un mot, ne me retient pas. Les semaines passent et je pense toujours à elle. Un soir de déprime alcoolisée je décide de l’appeler. Je laisse un, deux, trois messages sur son répondeur. L’idée qu’elle puisse être en train de baiser m’est insupportable. Je plonge vers le néant.
Le lendemain elle m’envoie un mail très bref pour me dire à quel point je suis pathétique et à quel point elle est heureuse avec l’homme qu’elle vient de rencontrer. Trois jours plus tard je rencontre une jeune fille avec laquelle je passe les cinq années suivantes.
Aussi douloureuse qu’ait été cette aventure à l’époque, et aussi immature qu’ait été ma façon de la gérer, celle-ci aura été pour moi un déclic. Un déclic à retardement, une brèche ouverte dans laquelle je m’engouffrerai quelques années plus tard. Car si dès l’adolescence j’ai été attiré par le pluralisme (mes rêves érotiques d’adolescents mettaient souvent en scène des parties à trois voire plus), il m’a fallu du temps pour que l’idée fasse son chemin, pour gagner en assurance, et pour enfin dépasser les concepts de fidélité et de jalousie.
Merci à toi Linda. J’aurais aimé que la vie nous fasse nous rencontrer à un autre moment.
mercredi 3 septembre 2008
Un instant de vie
Jean et string aux chevilles, tel un garçon, elle se masturbe dans le silence de son grand bureau vide. Un doigt sur le clito, l'autre caressant l'entrée de son sexe, elle atteint l'orgasme en imaginant leurs fouteries forcément magnifiques.
Pendant que ses collègues s'activent sur leurs claviers, il bande derrière son écran au récit impudique de ses plaisirs solitaires, rêvassant à ses cuisses ouvertes et ses doigts pleins de cyprine prenant possession de sa bouche.
Pendant que ses collègues s'activent sur leurs claviers, il bande derrière son écran au récit impudique de ses plaisirs solitaires, rêvassant à ses cuisses ouvertes et ses doigts pleins de cyprine prenant possession de sa bouche.
mardi 2 septembre 2008
samedi 30 août 2008
Réflexion nocturne
Le club libertin est le seul endroit où dans les toilettes des hommes votre voisin ne jette pas un coup d'oeil (plus ou moins) discret pour comparer son engin au votre.
jeudi 28 août 2008
C'est beau une ville la nuit
La ville est aussi belle que de jour et la nuit est d’une agréable douceur. Nous regagnons notre chambre d’hôtel quelque peu éméchés après quelques caipirinhas sirotées sur la terrasse d’un bar diffusant une musique afro-caribéenne muy caliente. Nous empruntons des ruelles étroites, propres aux villes méditerranéennes. Des ruelles malheureusement pas aussi désertes que nous le souhaiterions. Nous trouvons finalement abri sous un porche, presque à l’abri des regards. Nous devons malheureusement prendre la fuite, incommodés par une terrible odeur de pisse. Dommage…
Dans l’ascenseur elle saisit ma main qu’elle glisse entre ses cuisses. Nos bouches joueuses se dévorent pendant que mes doigts caressent son bouton. Ses lèvres ont encore le goût de sucre et de citron vert. Life can be so sweet.
Joueuse et impatiente, elle me caresse l’entre-jambe pendant que je cherche la clé de la chambre que bien sûr je m’efforce de ne pas trouver. L’excitation est si forte que nous aurions sans doute baisé dans le couloir si nous n’avions été dérangés par l’arrivée bruyante de trois jeunes anglaises ivres, buvant du vin au goulot et franchement ridicules dans leurs robes de soirées et chaussures à talons qui me font penser à une version adolescente des héroïnes d’Absolutely Fabulous.
Me reviens soudain l’image de cette jeune anglaise d’une beauté absolument stupéfiante, croisée un soir dans les rues de Brighton en train de vomir dans le caniveau, à moitié nue en plein mois de janvier et tenant à peine debout, qui m’avait balancé un « do you want to shag me ? » qui m’avait fendu le cœur. Je glisse la carte dans la serrure électronique, et nous nous engouffrons dans la chambre.
A peine ai-je le temps de refermer la porte qu’elle me plaque contre le mur, déboutonne mon jean et avale ma queue. Je ferme les yeux et m’abandonne totalement à ses lèvres et sa langue qui savent à merveille m’amener vers de vertigineux plaisirs. Ma petite brune a un don pour se jouer de mon plaisir et me maintenir dans un état de frustration absolument délicieux.
Nous nous débarrassons de nos quelques vêtements superflus lorsque me vient une charmante inspiration. Notre chambre est idéalement située, à l’angle de deux rues animées et fréquentées sur lesquelles une grande baie vitrée nous offre une vue magnifique. J’ouvre les rideaux et l’attire à moi. « Mais tu es fou » me dit-elle. Je la plaque contre vitre et la pénètre par derrière avant qu’elle n’ait le temps de réagir. Nous dominons une foule clairsemée de touristes et promeneurs et offrons une vue insolite aux habitants d’un immeuble en vis-à-vis. Une jolie carte postale.
Dans l’ascenseur elle saisit ma main qu’elle glisse entre ses cuisses. Nos bouches joueuses se dévorent pendant que mes doigts caressent son bouton. Ses lèvres ont encore le goût de sucre et de citron vert. Life can be so sweet.
Joueuse et impatiente, elle me caresse l’entre-jambe pendant que je cherche la clé de la chambre que bien sûr je m’efforce de ne pas trouver. L’excitation est si forte que nous aurions sans doute baisé dans le couloir si nous n’avions été dérangés par l’arrivée bruyante de trois jeunes anglaises ivres, buvant du vin au goulot et franchement ridicules dans leurs robes de soirées et chaussures à talons qui me font penser à une version adolescente des héroïnes d’Absolutely Fabulous.
Me reviens soudain l’image de cette jeune anglaise d’une beauté absolument stupéfiante, croisée un soir dans les rues de Brighton en train de vomir dans le caniveau, à moitié nue en plein mois de janvier et tenant à peine debout, qui m’avait balancé un « do you want to shag me ? » qui m’avait fendu le cœur. Je glisse la carte dans la serrure électronique, et nous nous engouffrons dans la chambre.
A peine ai-je le temps de refermer la porte qu’elle me plaque contre le mur, déboutonne mon jean et avale ma queue. Je ferme les yeux et m’abandonne totalement à ses lèvres et sa langue qui savent à merveille m’amener vers de vertigineux plaisirs. Ma petite brune a un don pour se jouer de mon plaisir et me maintenir dans un état de frustration absolument délicieux.
Nous nous débarrassons de nos quelques vêtements superflus lorsque me vient une charmante inspiration. Notre chambre est idéalement située, à l’angle de deux rues animées et fréquentées sur lesquelles une grande baie vitrée nous offre une vue magnifique. J’ouvre les rideaux et l’attire à moi. « Mais tu es fou » me dit-elle. Je la plaque contre vitre et la pénètre par derrière avant qu’elle n’ait le temps de réagir. Nous dominons une foule clairsemée de touristes et promeneurs et offrons une vue insolite aux habitants d’un immeuble en vis-à-vis. Une jolie carte postale.
lundi 25 août 2008
En direct de Beijing
Comme pour la cérémonie d'ouverture deux semaines plus tôt les chinois ont fait les choses en grand(iose). Le spectacle est superbe, à l'image de l’aventure humaine que viennent de vivre quelques milliers d'athlètes. A peine la cérémonie est-elle entachée, l’espace de quelques (interminables) minutes de l'effroyable ringardise de nos voisins britanniques et leur chorale de culs bénis. De quoi nous faire craindre le pire pour les jeux de Londres.
Après des mois et des mois de sacrifices, nos amis sportifs peuvent enfin relâcher la pression. Et ils ne s'en privent pas. Défilé de visages radieux, danses improvisées, embrassades, accolades et poignées de main... Le plaisir de ces jeunes gens à participer tous ensemble à cette fête crève l'écran.
La caméra s’attarde sur la délégation française et plus particulièrement sur un jeune homme et une jeune femme qui se jettent dans les bras l'un de l'autre, s'embrassent et s'étreignent fougueusement, sans doute boostés par le climat d'euphorie généralisée (et des semaines de sexualité ralentie). Joie des retrouvailles. Pendant de longues secondes ils sont seuls au monde parmi la foule. Une image magnifique qui de façon assez inexplicable crée la gêne des commentateurs de notre cher service public, soudain pris d'une étonnante crise pudibonderie. Long silence, puis l'un d'eux finit par lâcher cette phrase incroyable : "C'est bon, je les connais. Ils sont fiancés."
Je crois que l’on peut s’inquiéter encore longtemps du puritanisme hypocrite de nos chaines de télévision.
Après des mois et des mois de sacrifices, nos amis sportifs peuvent enfin relâcher la pression. Et ils ne s'en privent pas. Défilé de visages radieux, danses improvisées, embrassades, accolades et poignées de main... Le plaisir de ces jeunes gens à participer tous ensemble à cette fête crève l'écran.
La caméra s’attarde sur la délégation française et plus particulièrement sur un jeune homme et une jeune femme qui se jettent dans les bras l'un de l'autre, s'embrassent et s'étreignent fougueusement, sans doute boostés par le climat d'euphorie généralisée (et des semaines de sexualité ralentie). Joie des retrouvailles. Pendant de longues secondes ils sont seuls au monde parmi la foule. Une image magnifique qui de façon assez inexplicable crée la gêne des commentateurs de notre cher service public, soudain pris d'une étonnante crise pudibonderie. Long silence, puis l'un d'eux finit par lâcher cette phrase incroyable : "C'est bon, je les connais. Ils sont fiancés."
Je crois que l’on peut s’inquiéter encore longtemps du puritanisme hypocrite de nos chaines de télévision.
samedi 9 août 2008
vendredi 8 août 2008
Surfin' safari
Je surfe de blog en blog. Du laid et du beau. Du cru et du raffiné. De l'insipide et du troublant. Des éclats de rire embarrassés. Et des petites pépites qui me foutent la honte avec mes petites bêtises maladroites.
mardi 5 août 2008
Kinky est d'humeur joueuse
Est-ce un effet secondaire de la douceur estivale ? Toujours est-il que je suis d'humeur joueuse en ce moment. Le jeu que je vous propose est simple (et pas très novateur). Je vous autorise à me poser une question à laquelle je répondrai sans détour. En contrepartie, je vous poserai à mon tour une question à laquelle vous devrez répondre avec la même franchise.
Attention, je ne répondrai pas aux questions anonymes. Vous avez jusqu'à demain (mercredi) soir minuit.
Attention, je ne répondrai pas aux questions anonymes. Vous avez jusqu'à demain (mercredi) soir minuit.
vendredi 1 août 2008
Monsieur rêve
- Un jour je ferai une pause
- Un jour je serai capable de draguer une inconnue dans la rue
- Un jour je baiserai ma sirène parisienne
- Un jour je comprendrai les femmes
- Un jour je me perdrai dans les quartiers chauds de Tokyo
- Un jour je terminerai les textes que je commence
- Un jour je snifferai un rail de coke entre les fesses d’un mannequin anorexique
- Un jour j’aurai la nostalgie de mon avenir
- Un jour je trouverai ma domina
- Un jour j’accepterai de vieillir
- Un jour je vous montrerai ma bite
- Un jour je tournerai ma langue sept fois dans ma bouche avant de parler
- Un jour je tournerai ma langue sept fois dans ton cul avant de t’enculer
- Un jour je jetterai ce blog aux orties
- Un jour je goûterai ma première chatte africaine
- Un jour je tirerai un trait sur le passé
- Un jour je caresserai les seins de l’abricotière
- Un jour je serai capable d’ignorer vos commentaires
- Un jour je ferai tomber mes derniers tabous
- Un jour je n’aurai pas peur de l’amour
- Un jour je serai capable de draguer une inconnue dans la rue
- Un jour je baiserai ma sirène parisienne
- Un jour je comprendrai les femmes
- Un jour je me perdrai dans les quartiers chauds de Tokyo
- Un jour je terminerai les textes que je commence
- Un jour je snifferai un rail de coke entre les fesses d’un mannequin anorexique
- Un jour j’aurai la nostalgie de mon avenir
- Un jour je trouverai ma domina
- Un jour j’accepterai de vieillir
- Un jour je vous montrerai ma bite
- Un jour je tournerai ma langue sept fois dans ma bouche avant de parler
- Un jour je tournerai ma langue sept fois dans ton cul avant de t’enculer
- Un jour je jetterai ce blog aux orties
- Un jour je goûterai ma première chatte africaine
- Un jour je tirerai un trait sur le passé
- Un jour je caresserai les seins de l’abricotière
- Un jour je serai capable d’ignorer vos commentaires
- Un jour je ferai tomber mes derniers tabous
- Un jour je n’aurai pas peur de l’amour
mercredi 30 juillet 2008
(Petits) joueurs
Des règles du jeu simples. Pas de pénétration. Pas d’artifices. Pas de sexe oral. Un véritable défi. Une délicieuse torture. Une utopie ?
Effleurements, effeuillage, caresses... Les corps se dénudent, frissonnent, s'apprivoisent et s’épousent. Nous prenons notre temps. Mains baladeuses et longues caresses sensuelles. Epidermes de plus en plus réactifs. Redécouverte de nos corps, de zones érogènes délaissées.
Les caresses deviennent plus aventureuses. Nos mains osent. La température monte, des frissons parcourent mon échine. Accélération du rythme cardiaque. Ses yeux se posent sur mon sexe en érection, moulé dans mon boxer devenu trop étroit. Aguicheuse, elle passe sa langue sur ses lèvres et me lance un regard plein de défi. J’adore…
Ma main s'attarde sur ses fesses. Du bout des doigts elle survole le sillon entre mes couilles, effleure ma verge et taquine mon gland à travers le tissu devenu seconde peau. Envie d’y sentir la douceur de sa langue. Une idée à vite oublier, nous avons scellé un pacte. Je promène mon index entre ses fesses, descendant jusqu'à la naissance de son sexe, remontant jusqu'à son petit trou... Des images pornographiques défilent dans mon cerveau en ébullition. J’ai une envie pulsionnelle d'un 69 obscène, de ma langue dans son cul. La privation devient de moins en moins supportable.
Elle me chevauche et le contact de ses seins chauds sur mon torse m’électrise. Elle se déhanche pour sentir mon pieu entre ses cuisses puis me mordille les tétons. Mon point faible. Je réplique immédiatement. Dent pour dent. Elle fait glisser mon boxer et se débarrasse de son string, frotte son sexe trempé contre ma queue turgescente. Le jeu dure de longues minutes, prenant une tournure franchement masochiste.
Je la sens à deux doigts de jouir. Je l'embrasse à pleine bouche et lui mordille la lèvre inférieure au moment de l’orgasme. Sa chatte dégouline sur mes couilles. Le liquide chaud coule entre mes fesses, caressant mon anus. Sensation divine. Pas de pénétration avons-nous dit. Dommage, je n’aurais pas été contre un doigt dans le cul.
Je la retourne, la plaque sur le ventre et avec son string lui attache les poignets aux barreaux du lit. Je lui écarte les cuisses et lui demande de se cambrer. Elle se plie volontiers, m’offrant sa croupe luisante et son entrée interdite. Je lui pince les fesses, les mords. Elle se tortille quand mes doigts visitent sa chatte et son cul. Quelques claques bien senties viennent rosir ses fesses rebondies. La tension érotique est insoutenable.
Son corps entier tremble lorsque je caresse son clito avec mon gland. Lorsqu’elle lâche un « prends-moi » suppliant, j’en oublie les règles de ce jeu qui nous a menés à ce divinement douloureux état de désir et la pénètre violemment.
- Excuse-moi j’ai oublié notre pacte
- Si tu ne l’avais pas fait je t’aurais coupé les couilles !
Pas très fiers d’avoir si rapidement cédé, nous nous sommes promis de recommencer. Et gare au premier qui craquera...
Effleurements, effeuillage, caresses... Les corps se dénudent, frissonnent, s'apprivoisent et s’épousent. Nous prenons notre temps. Mains baladeuses et longues caresses sensuelles. Epidermes de plus en plus réactifs. Redécouverte de nos corps, de zones érogènes délaissées.
Les caresses deviennent plus aventureuses. Nos mains osent. La température monte, des frissons parcourent mon échine. Accélération du rythme cardiaque. Ses yeux se posent sur mon sexe en érection, moulé dans mon boxer devenu trop étroit. Aguicheuse, elle passe sa langue sur ses lèvres et me lance un regard plein de défi. J’adore…
Ma main s'attarde sur ses fesses. Du bout des doigts elle survole le sillon entre mes couilles, effleure ma verge et taquine mon gland à travers le tissu devenu seconde peau. Envie d’y sentir la douceur de sa langue. Une idée à vite oublier, nous avons scellé un pacte. Je promène mon index entre ses fesses, descendant jusqu'à la naissance de son sexe, remontant jusqu'à son petit trou... Des images pornographiques défilent dans mon cerveau en ébullition. J’ai une envie pulsionnelle d'un 69 obscène, de ma langue dans son cul. La privation devient de moins en moins supportable.
Elle me chevauche et le contact de ses seins chauds sur mon torse m’électrise. Elle se déhanche pour sentir mon pieu entre ses cuisses puis me mordille les tétons. Mon point faible. Je réplique immédiatement. Dent pour dent. Elle fait glisser mon boxer et se débarrasse de son string, frotte son sexe trempé contre ma queue turgescente. Le jeu dure de longues minutes, prenant une tournure franchement masochiste.
Je la sens à deux doigts de jouir. Je l'embrasse à pleine bouche et lui mordille la lèvre inférieure au moment de l’orgasme. Sa chatte dégouline sur mes couilles. Le liquide chaud coule entre mes fesses, caressant mon anus. Sensation divine. Pas de pénétration avons-nous dit. Dommage, je n’aurais pas été contre un doigt dans le cul.
Je la retourne, la plaque sur le ventre et avec son string lui attache les poignets aux barreaux du lit. Je lui écarte les cuisses et lui demande de se cambrer. Elle se plie volontiers, m’offrant sa croupe luisante et son entrée interdite. Je lui pince les fesses, les mords. Elle se tortille quand mes doigts visitent sa chatte et son cul. Quelques claques bien senties viennent rosir ses fesses rebondies. La tension érotique est insoutenable.
Son corps entier tremble lorsque je caresse son clito avec mon gland. Lorsqu’elle lâche un « prends-moi » suppliant, j’en oublie les règles de ce jeu qui nous a menés à ce divinement douloureux état de désir et la pénètre violemment.
- Excuse-moi j’ai oublié notre pacte
- Si tu ne l’avais pas fait je t’aurais coupé les couilles !
Pas très fiers d’avoir si rapidement cédé, nous nous sommes promis de recommencer. Et gare au premier qui craquera...
mardi 29 juillet 2008
Goodbye & Good Luck
- Le monsieur du couple : Et tu es bien membré ?
- Kinky : Non, pas spécialement
- Le monsieur du couple : Ah dommage…
- Kinky : …
- Le monsieur du couple : Madame ne veut que des tbm
- Kinky : On veut toujours ce qu’on n’a pas à la maison...
- Le monsieur du couple : Connard !
- Kinky : Non, pas spécialement
- Le monsieur du couple : Ah dommage…
- Kinky : …
- Le monsieur du couple : Madame ne veut que des tbm
- Kinky : On veut toujours ce qu’on n’a pas à la maison...
- Le monsieur du couple : Connard !
Qu’on se le dise
Il y a deux types d’hommes, ceux qui gardent leurs chaussettes dans une partouze et les autres.
lundi 28 juillet 2008
Les vacances de Mr Kinky (1ère partie)
Je viens d’avoir quatre ans. Je suis sous le charme d’une petite anglaise nommée Suzy. Sur la plage il y a des dizaines d’enfants de mon âge et pourtant je reviens invariablement vers cette fille qui ne comprend pas un mot de ce que je lui dis. Elle est mignonne Suzy. Jolie blonde aux yeux bleus. Quelque chose comme une Mariel Hemingway modèle enfant. Nous faisons des pâtés de sable, je l’invite sur mon bateau gonflable. On ne se comprend toujours pas et pourtant on rigole bien. Et puis un matin plus de Suzy. Pas plus le matin suivant. Première peine de cœur.
Eté de mes sept ans. Je joue les funambules, j’escalade les rochers pour atteindre la petite crique où quelques jolis bateaux viennent jeter l’encre pour la journée et où j’aime plonger. Je tombe sur deux femmes nues qui se sont isolées pour bronzer loin des regards. Je reste un moment à les regarder, fasciné et intrigué. Les jours suivants j’y emmène des copains. Bien sûr il n’y a personne et je passe pour un mytho. Mais j’ai des souvenirs plein la tête.
L’été de mes huit ans j’ai sympathisé avec un garçon de deux ans plus vieux que moi qui m’initie au baby-foot et me laisse regarder le magazine porno qu’il a planqué quelque part derrière la cabane des CRS chargés de surveiller la baignade. Les photos de ces créatures peu farouches ouvrant les cuisses sont une révélation. Il faut dire que dans mon imaginaire de petit garçon qui n’ose pas demander à sa mère comment on fait les bébés, le sexe des femmes se trouvait au milieu du pubis, caché derrière les poils. J’observe et reste circonspect devant ces sexes de femmes dont la complexité est effroyablement intimidante. De toute façon les filles m’intéressent bien moins que le football.
Je dois avoir 10 ans. On s’est arrêtés quelques jours dans la famille avant de descendre sur la côte provençale. On est toute une bande de gamins à jouer dans la grange. Un cousin parvient à convaincre la fille des voisins de nous montrer ce qu’il y a dans sa culotte. J’ai déjà vu celle de ma cousine, je ne suis pas impressionné. Je le suis plus par mon cousin qui n’hésite pas une seconde avant de se déboutonner. Je crois que je l’envie d'oser.
Eté de mes douze ans. Le réveil violent de mes hormones a lieu le jour de mon entrée au collège en voyant Virginie, la blonde pulpeuse de la 6ème7 qui porte toujours des sous-pulls hyper moulants. Avec un copain on essaie de draguer un peu sur la plage. Il est aussi timide que moi. Une catastrophe. La première pelle attendra. De toute façon aucune n’est aussi jolie que Virginie, mon amoureuse secrète qui préfère les garçons qui ont une mobylette.
Les choses se passent mieux l’année suivante. On est une super bande de potes. J’ai pris un peu d’assurance depuis qu’Isabelle, une belle redoublante de ma classe, m’a laissé glisser ma langue dans sa bouche, sans manifester le moindre signe de dégout. Cet été là je connais mon premier vrai amour de vacances. Sortez les violons. Je pratique avec beaucoup d’assuidité la masturbation que j’ai découvert quelques mois plus tôt, en m’imaginant me faire dépuceler par la mère de la fille qui me laisse parfois toucher ses seins. Ce fantasme d'une initiation par une femme mûre m'accompagnera un bon moment.
Eté de mes sept ans. Je joue les funambules, j’escalade les rochers pour atteindre la petite crique où quelques jolis bateaux viennent jeter l’encre pour la journée et où j’aime plonger. Je tombe sur deux femmes nues qui se sont isolées pour bronzer loin des regards. Je reste un moment à les regarder, fasciné et intrigué. Les jours suivants j’y emmène des copains. Bien sûr il n’y a personne et je passe pour un mytho. Mais j’ai des souvenirs plein la tête.
L’été de mes huit ans j’ai sympathisé avec un garçon de deux ans plus vieux que moi qui m’initie au baby-foot et me laisse regarder le magazine porno qu’il a planqué quelque part derrière la cabane des CRS chargés de surveiller la baignade. Les photos de ces créatures peu farouches ouvrant les cuisses sont une révélation. Il faut dire que dans mon imaginaire de petit garçon qui n’ose pas demander à sa mère comment on fait les bébés, le sexe des femmes se trouvait au milieu du pubis, caché derrière les poils. J’observe et reste circonspect devant ces sexes de femmes dont la complexité est effroyablement intimidante. De toute façon les filles m’intéressent bien moins que le football.
Je dois avoir 10 ans. On s’est arrêtés quelques jours dans la famille avant de descendre sur la côte provençale. On est toute une bande de gamins à jouer dans la grange. Un cousin parvient à convaincre la fille des voisins de nous montrer ce qu’il y a dans sa culotte. J’ai déjà vu celle de ma cousine, je ne suis pas impressionné. Je le suis plus par mon cousin qui n’hésite pas une seconde avant de se déboutonner. Je crois que je l’envie d'oser.
Eté de mes douze ans. Le réveil violent de mes hormones a lieu le jour de mon entrée au collège en voyant Virginie, la blonde pulpeuse de la 6ème7 qui porte toujours des sous-pulls hyper moulants. Avec un copain on essaie de draguer un peu sur la plage. Il est aussi timide que moi. Une catastrophe. La première pelle attendra. De toute façon aucune n’est aussi jolie que Virginie, mon amoureuse secrète qui préfère les garçons qui ont une mobylette.
Les choses se passent mieux l’année suivante. On est une super bande de potes. J’ai pris un peu d’assurance depuis qu’Isabelle, une belle redoublante de ma classe, m’a laissé glisser ma langue dans sa bouche, sans manifester le moindre signe de dégout. Cet été là je connais mon premier vrai amour de vacances. Sortez les violons. Je pratique avec beaucoup d’assuidité la masturbation que j’ai découvert quelques mois plus tôt, en m’imaginant me faire dépuceler par la mère de la fille qui me laisse parfois toucher ses seins. Ce fantasme d'une initiation par une femme mûre m'accompagnera un bon moment.
vendredi 25 juillet 2008
Conseil aux hommes
N'appellez jamais, ô grand jamais, une femme par le prénom d'une ex. Curieusement elle risque de mal le prendre.
jeudi 24 juillet 2008
Le post qui a failli avoir pour titre le jeu de mot le plus pourri de toute la blogosphère
Un restaurant en terrasse. Soleil couchant et douceur d’une nuit d’été. Gambas et chianti. Bêtises et rires complices. La belle s’amuse à me chauffer en me contant ses aventures saphiques d’adolescence. Cela fonctionne. Elle me connait...
Je lui souffle mon désir au creux de l’oreille.
- D’accord, me dit-elle, pleine de défi.
De retour à table elle pose le string devant moi sans la moindre gêne, ce qui fait halluciner la jeune femme de la table voisine et nous fait beaucoup rire.
Elle se déchausse et son pied vient caresser mon entrejambes qui se dresse aussitôt. C’est bon à savoir, le vin italien lui donne des audaces. Là maintenant, sur la table au milieu de cette foule inconnue, je ferais bien de son cul mon dessert.
Détour sur des chemins de traverses. Nous croisons des petits vieux qui promènent Médor et quelques couples en promenade amoureuse. Nous nous égarons vers les coins sombres. Je la plaque face contre un mur, relève sa jupe et caresse ses fesses nues et blanches.
Elle gémit lorsque je passe un doigt sur sa fente ouverte et humide. « Prends-moi vite », lâche-t-elle. En un temps record mon pantalon glisse sur mes chevilles et mon vit turgescent fait une entrée fracassante.
Nous reprenons le chemin de la maison, un sourire radieux aux lèvres, sa jupe souillée, faisant le compte des piqures d’insectes.
Je lui souffle mon désir au creux de l’oreille.
- D’accord, me dit-elle, pleine de défi.
De retour à table elle pose le string devant moi sans la moindre gêne, ce qui fait halluciner la jeune femme de la table voisine et nous fait beaucoup rire.
Elle se déchausse et son pied vient caresser mon entrejambes qui se dresse aussitôt. C’est bon à savoir, le vin italien lui donne des audaces. Là maintenant, sur la table au milieu de cette foule inconnue, je ferais bien de son cul mon dessert.
Détour sur des chemins de traverses. Nous croisons des petits vieux qui promènent Médor et quelques couples en promenade amoureuse. Nous nous égarons vers les coins sombres. Je la plaque face contre un mur, relève sa jupe et caresse ses fesses nues et blanches.
Elle gémit lorsque je passe un doigt sur sa fente ouverte et humide. « Prends-moi vite », lâche-t-elle. En un temps record mon pantalon glisse sur mes chevilles et mon vit turgescent fait une entrée fracassante.
Nous reprenons le chemin de la maison, un sourire radieux aux lèvres, sa jupe souillée, faisant le compte des piqures d’insectes.
jeudi 19 juin 2008
...
Plein de choses à (vous) dire. Du croustillant, du graveleux et du décadent. Mais les mots sortent tout vilains en ce moment.
Patience donc.
Patience donc.
mercredi 18 juin 2008
Give me a break
Un mail intitulé What a stupid face you have here. J'ai parfois du mal à comprendre à quelle notion marketing se plient les pollueurs de boites mail.
mardi 17 juin 2008
Esperando la ultima ola
Dans la salle il fait déjà très chaud. L’attente est grande et l’atmosphère électrique. Lorsque les lumières s’éteignent un mouvement de foule nous propulse vers l’avant. Puis retentissent les premières notes. Une véritable décharge électrique. Tel un seul homme le public crie, bondit et saute dans tous les sens. Du pur bonheur. A côté de moi une armoire à glace se fraye un chemin à coups d’épaule, exhortant ses amis à le suivre d’un «venez c’est que des gonzesses devant». Tout un poème.
Suite à nouveau mouvement de foule, je me retrouve propulsé malgré moi contre une jeune fille. Bien involontairement ma main vient se coller directement sur ses fesses. Une main au cul parfaite et franche. A ma grande surprise la demoiselle ne se retourne même pas et ne dit un mot. Décidément la musique adoucit les mœurs me dis-je. Je change d’avis lorsque notre ami poète en marcel moulant décide de tester sa virilité en propulsant de tout son cœur son quintal contre une pauvre jeune fille frêle pas vraiment en mesure d’encaisser le choc. La sanction est immédiate. Des types lui tombent dessus, au sens propre comme au figuré. Pas sûr que sa virilité en sorte indemne.
Sur scène le groupe maitrise plutôt bien son sujet, délivrant une musique puissante et redoutablement efficace malgré une acoustique très moyenne. Epuiser les corps avant de ravir l’âme. Un truc de vieux routiers de la scène. Peu à peu les corps en sueur entrent en transe, se frôlent involontairement et dansent à l’unisson. A plusieurs reprises la jeune fille vient se coller contre moi plus ou moins involontairement. Je lui donne 18 ans, 19 tout au plus. Une nana bien foutue avec un beau petit cul de son âge, un visage assez banal, un petit air de Catherine Keener non dénué de charme.
Après une petite heure pied au plancher, les musiciens ralentissent le tempo pour faire place à des compositions tout en sensualité et en nuances. Les pogoteurs partent soigner leurs bosses. L’atmosphère se féminise et s’érotise peu à peu. La chaleur étouffante et la forte odeur d’herbe n’y sont pas étrangères. Ma petite allumeuse se retrouve une nouvelle fois à se trémousser contre moi, ses fesses caressant régulièrement mon bas ventre qui ne reste pas insensible. Puis la musique s’accélère à nouveau et elle est emportée par un mouvement de foule. Elle tente plusieurs fois de remonter le courant pour se rapprocher, jetant régulièrement un regard discret pour évaluer ma position. Plus de doute possible, la petite est joueuse. Un ami qui a repéré le manège est hilare. Commence un jeu du chat et de la souris.
Au milieu de cette foule compacte, ses petites fesses fermes se trémoussent discrètement contre le haut de ma cuisse. Des petits mouvements discrets, de bas en haut, qui commencent à sérieusement m’exciter. Nous n’échangeons aucune parole, aucun regard, aucune caresse. Ce qui ajoute au charme de la situation. Juste les caresses de son cul dont je cerne de plus en plus précisément la géographie et les nuances, se frottant le long de ma cuisse, effleurant parfois ma queue qui durcit peu à peu et me faisant frissonner sur tout le corps. Je frôle le détournement d’à peine majeure avec cette fille que je n’aurais même pas regardé dans la rue. Et c’est bien ce qui me fait bander.
Le jeu dure ainsi de longues minutes dans un corps à corps sensuel, rythmé par les chaloupements des rythmes latins, sans que personne ne semble remarquer notre jeu. Il y a quelque chose de terriblement excitant dans cette fusion secrète, cette intimité en public, cette innocence affichée sur son visage contredisant l’audace de ses déhanchements. Sa tenue, un jean hyper-serré, m’interdit toute intrusion discrète et c’est mieux ainsi, malgré mon envie pulsionnelle de lui glisser un doigt dans le cul. Cette deuxième peau est si moulante que se frottant contre moi elle est presque nue. Nos corps deviennent si fusionnels, nos caresses se font si impudiques que dans nos contacts je crois deviner les moindres nuances de son sexe, de son petit trou que je m’imagine baiser sauvagement. Une incroyable expérience tactile.
Elle sursaute lorsque ma main se pose sur sa hanche dénudée par ses déhanchements. J’enroule mon bras autour de sa taille et la presse contre mon sexe dont la turgescence trahit mon envie de la prendre dans l’instant. Fixant toujours la scène elle se cambre légèrement lorsque ma main caresse ses fesses et s’aventure vers son entrecuisse dont je sens la chaleur moite à travers l’infranchissable frontière de tissu. Mes doigts caressent lentement la zone entre son sexe et son anus. Nous sommes proches du climax lorsque la musique s’arrête soudain et que le groupe quitte la scène pour un court répit bien mérité. Avant que nous n’ayons le temps d’improviser quoi que ce soit, elle se fait embarquer par un groupe d’amies dont elle s’était éloignée au gré des mouvements de foule. Adieu lubrique inconnue. Retour à la musique.
Quand au bout de 3 heures de concert et une demi-douzaine de rappels, à court de répertoire, Manu se propose de chanter quelques chansons en français, il nous fait quasiment tout Sibérie m’était contée. Une générosité totale. Un moment de grâce. Lorsqu’il chante ces mots d’une noirceur terrible, c’est un uppercut au plexus.
Ce soir je vais te tromper
J'en pleure de rage les yeux crevés
Ce soir je vais tout quitter
Oublier l'amour me laisser aller
Je m'en vais boire, boire et reboire,
Je prendrais la première qui viens
Pour lui faire l'amour dans le noir
La rage au ventre les yeux fermés...
Après une Xième ovation, les musiciens quittent la scène. Les pogoteurs hyper-testostéronés sont depuis longtemps rentrés chez leur maman. Ma généreuse du cul a déserté et mes envies sont retombées. Jusqu’au moment où, de retour à la maison, je me glisse sous les draps et me colle contre le corps chaud de ma belle brune.
Suite à nouveau mouvement de foule, je me retrouve propulsé malgré moi contre une jeune fille. Bien involontairement ma main vient se coller directement sur ses fesses. Une main au cul parfaite et franche. A ma grande surprise la demoiselle ne se retourne même pas et ne dit un mot. Décidément la musique adoucit les mœurs me dis-je. Je change d’avis lorsque notre ami poète en marcel moulant décide de tester sa virilité en propulsant de tout son cœur son quintal contre une pauvre jeune fille frêle pas vraiment en mesure d’encaisser le choc. La sanction est immédiate. Des types lui tombent dessus, au sens propre comme au figuré. Pas sûr que sa virilité en sorte indemne.
Sur scène le groupe maitrise plutôt bien son sujet, délivrant une musique puissante et redoutablement efficace malgré une acoustique très moyenne. Epuiser les corps avant de ravir l’âme. Un truc de vieux routiers de la scène. Peu à peu les corps en sueur entrent en transe, se frôlent involontairement et dansent à l’unisson. A plusieurs reprises la jeune fille vient se coller contre moi plus ou moins involontairement. Je lui donne 18 ans, 19 tout au plus. Une nana bien foutue avec un beau petit cul de son âge, un visage assez banal, un petit air de Catherine Keener non dénué de charme.
Après une petite heure pied au plancher, les musiciens ralentissent le tempo pour faire place à des compositions tout en sensualité et en nuances. Les pogoteurs partent soigner leurs bosses. L’atmosphère se féminise et s’érotise peu à peu. La chaleur étouffante et la forte odeur d’herbe n’y sont pas étrangères. Ma petite allumeuse se retrouve une nouvelle fois à se trémousser contre moi, ses fesses caressant régulièrement mon bas ventre qui ne reste pas insensible. Puis la musique s’accélère à nouveau et elle est emportée par un mouvement de foule. Elle tente plusieurs fois de remonter le courant pour se rapprocher, jetant régulièrement un regard discret pour évaluer ma position. Plus de doute possible, la petite est joueuse. Un ami qui a repéré le manège est hilare. Commence un jeu du chat et de la souris.
Au milieu de cette foule compacte, ses petites fesses fermes se trémoussent discrètement contre le haut de ma cuisse. Des petits mouvements discrets, de bas en haut, qui commencent à sérieusement m’exciter. Nous n’échangeons aucune parole, aucun regard, aucune caresse. Ce qui ajoute au charme de la situation. Juste les caresses de son cul dont je cerne de plus en plus précisément la géographie et les nuances, se frottant le long de ma cuisse, effleurant parfois ma queue qui durcit peu à peu et me faisant frissonner sur tout le corps. Je frôle le détournement d’à peine majeure avec cette fille que je n’aurais même pas regardé dans la rue. Et c’est bien ce qui me fait bander.
Le jeu dure ainsi de longues minutes dans un corps à corps sensuel, rythmé par les chaloupements des rythmes latins, sans que personne ne semble remarquer notre jeu. Il y a quelque chose de terriblement excitant dans cette fusion secrète, cette intimité en public, cette innocence affichée sur son visage contredisant l’audace de ses déhanchements. Sa tenue, un jean hyper-serré, m’interdit toute intrusion discrète et c’est mieux ainsi, malgré mon envie pulsionnelle de lui glisser un doigt dans le cul. Cette deuxième peau est si moulante que se frottant contre moi elle est presque nue. Nos corps deviennent si fusionnels, nos caresses se font si impudiques que dans nos contacts je crois deviner les moindres nuances de son sexe, de son petit trou que je m’imagine baiser sauvagement. Une incroyable expérience tactile.
Elle sursaute lorsque ma main se pose sur sa hanche dénudée par ses déhanchements. J’enroule mon bras autour de sa taille et la presse contre mon sexe dont la turgescence trahit mon envie de la prendre dans l’instant. Fixant toujours la scène elle se cambre légèrement lorsque ma main caresse ses fesses et s’aventure vers son entrecuisse dont je sens la chaleur moite à travers l’infranchissable frontière de tissu. Mes doigts caressent lentement la zone entre son sexe et son anus. Nous sommes proches du climax lorsque la musique s’arrête soudain et que le groupe quitte la scène pour un court répit bien mérité. Avant que nous n’ayons le temps d’improviser quoi que ce soit, elle se fait embarquer par un groupe d’amies dont elle s’était éloignée au gré des mouvements de foule. Adieu lubrique inconnue. Retour à la musique.
Quand au bout de 3 heures de concert et une demi-douzaine de rappels, à court de répertoire, Manu se propose de chanter quelques chansons en français, il nous fait quasiment tout Sibérie m’était contée. Une générosité totale. Un moment de grâce. Lorsqu’il chante ces mots d’une noirceur terrible, c’est un uppercut au plexus.
Ce soir je vais te tromper
J'en pleure de rage les yeux crevés
Ce soir je vais tout quitter
Oublier l'amour me laisser aller
Je m'en vais boire, boire et reboire,
Je prendrais la première qui viens
Pour lui faire l'amour dans le noir
La rage au ventre les yeux fermés...
Après une Xième ovation, les musiciens quittent la scène. Les pogoteurs hyper-testostéronés sont depuis longtemps rentrés chez leur maman. Ma généreuse du cul a déserté et mes envies sont retombées. Jusqu’au moment où, de retour à la maison, je me glisse sous les draps et me colle contre le corps chaud de ma belle brune.
vendredi 13 juin 2008
Good music makes good people
Hier soir, à l'heure des navrantes fictions, des débats ennuyeux et des gags de pétomane de Cauet, une chaine de télévision publique belge diffusait l’impensable sur une chaine française grand public : un remarquable concert de Radiohead. Alors c’est décidé, dès demain je demande l’asile politique. En plus il y a des lieux de luxure à tous les coins de rue.
mardi 10 juin 2008
lundi 9 juin 2008
Cri primal
Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
Pff, ça marche pas.
Pff, ça marche pas.
vendredi 6 juin 2008
Oedipe Purple
Petit message à tous ces hommes qui fantasment sur le fait de coucher avec leur génitrice et qui débarquent sur mon blog, je ne sais comment ni dans quel but : la psychothérapie peut faire des miracles ;-)
lundi 2 juin 2008
Crazy crazy world
Je n’ai pas pu résister à l’envie de partager l’info. Dimanche 25 Mai eut lieu à San Francisco un événement pour le moins étonnant : le masturbate-a-thon 2008 (un marathon de la masturbation pour ceux qui rêvassaient pendant les cours d’anglais). Au cours de cette réunion des plus grands branleurs mondiaux, les spectateurs ont pu assister à quelques records qui s’annoncent dur à battre. Ainsi un homme adepte du tantrisme a réussi l’exploit de se masturber et jouir 31 fois dans la journée. Une jeune masseuse de 28 ans s’est masturbé avec divers sex-toys vibrants pendant 7 heures, atteignant l’orgasme en moyenne "une fois par heure" a-t-elle précisé. Deux japonais ont quant à eux battu un record en se masturbant chacun pendant 8 heures et 40 minutes sans éjaculer, utilisant un vagin masturbateur dont ils étaient venus faire la promotion.
Voilà qui force le respect. Mais reste à trouver la finalité de tout ceci...
Voilà qui force le respect. Mais reste à trouver la finalité de tout ceci...
Subtil éloge de l'enculade
Tout obsédé du cul que je suis, je me suis peu à peu détourné d’une littérature érotique contemporaine qui trop souvent manque de sève et de style. Et puis un soir pluvieux, flânant sans but dans les rayons de mon supermarché de la culture favori, je me suis (pour une fois) laissé convaincre par la 4ème de couverture. Ma reddition de Toni Bentley est le vibrant hommage à la sodomie d’une femme (narcissique) qui vécut une révélation quasi mystique le jour où une queue la visita par le cul pour la 1ère fois. C’est brillant, concis et chaudement recommandé.
"Pénétrer un cul, c'est pénétrer dans un passage qui n'a pas de fin. C’est la sortie vers l'infini. La petite porte de la liberté" - Toni Bentley
"Pénétrer un cul, c'est pénétrer dans un passage qui n'a pas de fin. C’est la sortie vers l'infini. La petite porte de la liberté" - Toni Bentley
mercredi 28 mai 2008
mardi 27 mai 2008
La salle d'attente
Je l'observe du coin de l'œil depuis quelques minutes, séduit par son élégance et sa beauté froide mais également agacé par son laxisme face au vacarme incessant auquel nous exposent ses deux petites terreurs. Lorsqu’elle menace le plus turbulent de "lui donner la fessée devant tout le monde", la menace se révèle des plus efficaces puisque le petit garçon s’assoit aussitôt et se tait. Je ne peux m’empêcher de sourire en réalisant que ce qui terrifie un petit garçon de cinq ravirait le trentenaire que je suis.
vendredi 23 mai 2008
Kinky capture Cali Rise
Vous connaissez probablement Cali Rise et ses "divagations" érotiques troublantes et hautement addictives qui font de son site Impudique un incontournable du genre. Cali m’a proposé de répondre à un petit questionnaire ludique auquel je me suis soumis de bonne grâce et accessible ici.
J’ai eu envie de lui soumettre à mon tour quelques questions idiotes auxquelles elle a bien voulu répondre. Magnéto Serge !
Si vous me racontiez votre dernière fois ?
Je l’ai portée à ma bouche avec lenteur. J’en ai aspiré l’odeur avec délectation. Après plusieurs longues minutes que j’ai aimé faire durer, j’ai écrasé ma cigarette mentholée dans le cendrier. Et froissé le paquet vide avant de tout jeter. Sauf le cendrier.
Maitriser la langue, est-ce si important ?
Je voue une admiration sans borne aux personnes capables de passer d’une langue à l’autre en une fraction de secondes. Mais il existe toujours un moyen de se faire comprendre…
Qu’est-ce qui est le plus troublant, rougir de ce que l’on vient d’écrire ou être émoustillé(e) en lisant les mots d’un(e) autre ?
Rougir en lisant les mots ses mots.
La taille, ça compte ?
Pour les rosiers, c’est très important. Pour les jardiniers qui s’occupent de jardins à la française aussi. Quant à moi, je ne supporte pas une mine de crayon mal taillée. Une belle taille, c’est aussi plus facile pour ajuster son trait, non ?
Quel est pour vous le comble de l’impudeur ?
Montrer son cul à une foule composée d’aveugles manchots.
D’après un sondage récent, 48% des Françaises atteindraient l’orgasme à chaque rapport. Mythomanes nos compatriotes ?
Encore un sondage fait par des phallocrates qui se prétendent de merveilleux amants, vous croyez ? Je ne me préoccupe pas de la jouissance de ma voisine mais une femme est multi-orgasmique.
Qu’évoque pour vous l’expression « garde à vous » ?
Buckingham Palace et sa garde royale. Le « Si je t’aime, prends garde à toi ! » de la Carmen de Bizet.
Qu’est ce qui est pire selon vous, se faire traiter de salope ou de mal baisée ?
Tout dépend qui prononce ces mots et à quel instant, non ? Le mot salope peut être un compliment et devenir un regret s’il est exprimé sur un ton vif. Pour baiser, il faut normalement être deux. Vous me suivez ? Alors qu’un ex-amant croit insulter son ex-maîtresse en la traitant de mal-baisée me fait sourire. Beaucoup même.
Est-il interdit d’interdire ?
Tout autoriser serait totalement idiot.
Qu’est-ce qu’un bon coup pour vous ?
Je n’y connais rien en boxe… En sexe, je dirais que c’est un homme animal et sensuel, capable de vivre son côté masculin et féminin sans aucun tabou, un amant attentif à la moindre respiration, au moindre regard et au moindre geste, capable de baiser ou faire l’amour pendant plusieurs heures en entraînant sa partenaire dans sa danse charnelle. Généralement, l’un comme l’autre mettent des heures à redescendre sur terre.
69, année érotique. 2008, année… ?
Que voulez-vous que je fasse avec ce nombre ? 96 aurait pu signifier l’hôtel du cul tourné renversé. Mais 2008…
Qu’est-ce qui est le plus cruel selon vous, un amour impossible ou un amour qui se meurt ?
Je ne vois nulle cruauté. Un amour impossible engendrera toujours un espoir fou. Quant à un amour qui se meurt, c’est dans l’ordre des choses. Seuls les poètes croient à l’éternel amour. Et encore.
La masturbation rend sourd, l’amour rend aveugle… la nature ne nous incite-t-elle pas à être volage ?
Ou à acheter le plus vite possible un Sonotone et à se faire greffer des cornées ?
Qu’est-ce qui est le plus séduisant, un jeu de mot savoureux ou un beau jeu de jambes ?
Je ne fréquente pas de footballeur mais un bel homme intelligent capable de me faire rire par son sens de la repartie ou de me clouer le bec, j’aime beaucoup.
Quelque chose à ajouter ?
Après que vous m’avez soustrait ces réponses ?
J’ai eu envie de lui soumettre à mon tour quelques questions idiotes auxquelles elle a bien voulu répondre. Magnéto Serge !
Si vous me racontiez votre dernière fois ?
Je l’ai portée à ma bouche avec lenteur. J’en ai aspiré l’odeur avec délectation. Après plusieurs longues minutes que j’ai aimé faire durer, j’ai écrasé ma cigarette mentholée dans le cendrier. Et froissé le paquet vide avant de tout jeter. Sauf le cendrier.
Maitriser la langue, est-ce si important ?
Je voue une admiration sans borne aux personnes capables de passer d’une langue à l’autre en une fraction de secondes. Mais il existe toujours un moyen de se faire comprendre…
Qu’est-ce qui est le plus troublant, rougir de ce que l’on vient d’écrire ou être émoustillé(e) en lisant les mots d’un(e) autre ?
Rougir en lisant les mots ses mots.
La taille, ça compte ?
Pour les rosiers, c’est très important. Pour les jardiniers qui s’occupent de jardins à la française aussi. Quant à moi, je ne supporte pas une mine de crayon mal taillée. Une belle taille, c’est aussi plus facile pour ajuster son trait, non ?
Quel est pour vous le comble de l’impudeur ?
Montrer son cul à une foule composée d’aveugles manchots.
D’après un sondage récent, 48% des Françaises atteindraient l’orgasme à chaque rapport. Mythomanes nos compatriotes ?
Encore un sondage fait par des phallocrates qui se prétendent de merveilleux amants, vous croyez ? Je ne me préoccupe pas de la jouissance de ma voisine mais une femme est multi-orgasmique.
Qu’évoque pour vous l’expression « garde à vous » ?
Buckingham Palace et sa garde royale. Le « Si je t’aime, prends garde à toi ! » de la Carmen de Bizet.
Qu’est ce qui est pire selon vous, se faire traiter de salope ou de mal baisée ?
Tout dépend qui prononce ces mots et à quel instant, non ? Le mot salope peut être un compliment et devenir un regret s’il est exprimé sur un ton vif. Pour baiser, il faut normalement être deux. Vous me suivez ? Alors qu’un ex-amant croit insulter son ex-maîtresse en la traitant de mal-baisée me fait sourire. Beaucoup même.
Est-il interdit d’interdire ?
Tout autoriser serait totalement idiot.
Qu’est-ce qu’un bon coup pour vous ?
Je n’y connais rien en boxe… En sexe, je dirais que c’est un homme animal et sensuel, capable de vivre son côté masculin et féminin sans aucun tabou, un amant attentif à la moindre respiration, au moindre regard et au moindre geste, capable de baiser ou faire l’amour pendant plusieurs heures en entraînant sa partenaire dans sa danse charnelle. Généralement, l’un comme l’autre mettent des heures à redescendre sur terre.
69, année érotique. 2008, année… ?
Que voulez-vous que je fasse avec ce nombre ? 96 aurait pu signifier l’hôtel du cul tourné renversé. Mais 2008…
Qu’est-ce qui est le plus cruel selon vous, un amour impossible ou un amour qui se meurt ?
Je ne vois nulle cruauté. Un amour impossible engendrera toujours un espoir fou. Quant à un amour qui se meurt, c’est dans l’ordre des choses. Seuls les poètes croient à l’éternel amour. Et encore.
La masturbation rend sourd, l’amour rend aveugle… la nature ne nous incite-t-elle pas à être volage ?
Ou à acheter le plus vite possible un Sonotone et à se faire greffer des cornées ?
Qu’est-ce qui est le plus séduisant, un jeu de mot savoureux ou un beau jeu de jambes ?
Je ne fréquente pas de footballeur mais un bel homme intelligent capable de me faire rire par son sens de la repartie ou de me clouer le bec, j’aime beaucoup.
Quelque chose à ajouter ?
Après que vous m’avez soustrait ces réponses ?
jeudi 22 mai 2008
I guess
J’ai relu mes anciens blogs. C’est comme s’ils avaient été écrits par un étranger. C’est sans doute bon signe.
mercredi 21 mai 2008
Passé (re)composé
Nos regards se sont croisés furtivement. Suffisamment pour attirer mon attention. Comme une évidence. Tu as souri et tu t’es frayée un chemin parmi la foule d’hommes pour mieux jouir du spectacle. Nous nous sommes souris puis ton homme t’a pris la main pour t’emmener vers d’autres plaisirs. Mais je me suis fixé comme objectif de la soirée de retrouver ta trace.
J’avais laissé la miss qui m’accompagnait entre les mains expertes d’un jeune homme musclé et me prélassais sous la douche lorsque nos yeux se sont croisés de nouveaux. Toutes les douches étant occupées, tu as profité que ton mari se lance dans une discussion avec un couple d’amis pour t’inviter sous ma douche. « Merci pour le spectacle tout à l’heure » m’as-tu glissé. Nous nous sommes effleurés, caressés… Puis ton homme est arrivé, je lui ai cédé ma place.
Je me séchais quand j’ai senti le doux contact d’une main sur mes fesses. Je me suis retourné, tu t’es agenouillée encore toute mouillée, et tu as pris mon sexe en bouche. Peu à peu il a repris vigueur au contact de te langue joueuse. De temps en temps, les gens de passage lâchaient un "c’est chaud ici !" ou un "oh la gourmande !".
Ton mari nous a rejoints, un sourire aux lèvres, visiblement fier de l’audace de cette incorrigible coquine qu’il s’est choisi comme femme. Il t’a présenté son chibre au garde à vous. Tu t’es régalée à nous sucer alternativement. Puis il a fini par lâcher un "allons-y chérie, ils nous attendent" qui a mis fin à mes espoirs de t’enculer.
Ce n’est que lorsque que tu t’es éloignée dans le couloir que mon esprit a fait tilt. Annabelle B. La petite brune timide de 4ème B. A l’époque ton petit cul admirablement moulé dans son 501 m’avait fait tourner la tête des mois durant.
Life’s funny sometimes.
J’avais laissé la miss qui m’accompagnait entre les mains expertes d’un jeune homme musclé et me prélassais sous la douche lorsque nos yeux se sont croisés de nouveaux. Toutes les douches étant occupées, tu as profité que ton mari se lance dans une discussion avec un couple d’amis pour t’inviter sous ma douche. « Merci pour le spectacle tout à l’heure » m’as-tu glissé. Nous nous sommes effleurés, caressés… Puis ton homme est arrivé, je lui ai cédé ma place.
Je me séchais quand j’ai senti le doux contact d’une main sur mes fesses. Je me suis retourné, tu t’es agenouillée encore toute mouillée, et tu as pris mon sexe en bouche. Peu à peu il a repris vigueur au contact de te langue joueuse. De temps en temps, les gens de passage lâchaient un "c’est chaud ici !" ou un "oh la gourmande !".
Ton mari nous a rejoints, un sourire aux lèvres, visiblement fier de l’audace de cette incorrigible coquine qu’il s’est choisi comme femme. Il t’a présenté son chibre au garde à vous. Tu t’es régalée à nous sucer alternativement. Puis il a fini par lâcher un "allons-y chérie, ils nous attendent" qui a mis fin à mes espoirs de t’enculer.
Ce n’est que lorsque que tu t’es éloignée dans le couloir que mon esprit a fait tilt. Annabelle B. La petite brune timide de 4ème B. A l’époque ton petit cul admirablement moulé dans son 501 m’avait fait tourner la tête des mois durant.
Life’s funny sometimes.
mardi 20 mai 2008
The unbelievable truth
Le problème avec les femmes ce n’est pas tant leur besoin récurrent de “parler” et “de faire le point” mais bien le fait que dans 99% des cas elles ne soient pas prêtes pour la conversation cartes sur table qu’elles appellent de leurs vœux.
mercredi 14 mai 2008
Parental Advisory
Conseil aux jeunes parents : à noël plutôt qu’une poupée, offrez à votre petite fille une boite de legos®. Vous lui épargnerez peut-être ce curieux syndrome dont souffrent tant de jeunes femmes : le besoin de "construire quelque chose".
lundi 28 avril 2008
Tu ne t'appelles pas Fernande et pourtant...
C'est si loin déjà... et pourtant si frais dans ma mémoire. La rencontre fût belle. Nous avons pris notre temps. Nous avons été de bons amants. Complices, généreux, aventureux et insatiables.
Me reviennent en mémoire, comme un tourbillon, nos premiers effleurements timides, le parfum de tes baisers, la texture de ta peau si réactive à mes caresses, tes petits seins fiers aux pointes délicates, ta chute de reins vertigineuse, tes mains caressant mon corps nu, les saveurs troublantes et grisantes de ton intimité, la géographie de ton sexe, l’élasticité accueillante de ton anus...
Je bande en repensant à la sensation de tes lèvres enserrant ma queue, de ta langue caressant mon gland gonflé de désir... Je bande à l'idée de croquer tes fesses délicieuses... Je bande en songeant à ma langue caressant ton clito, à ta main caressant ma nuque… Je bande à l'idée de nous regarder dans le miroir… Je bande à l’idée de baiser ton cul... Je bande à l'idée d'avoir les audaces que je n'ai pas eues...
Si loin déjà. Trop loin. Remettons ça.
Me reviennent en mémoire, comme un tourbillon, nos premiers effleurements timides, le parfum de tes baisers, la texture de ta peau si réactive à mes caresses, tes petits seins fiers aux pointes délicates, ta chute de reins vertigineuse, tes mains caressant mon corps nu, les saveurs troublantes et grisantes de ton intimité, la géographie de ton sexe, l’élasticité accueillante de ton anus...
Je bande en repensant à la sensation de tes lèvres enserrant ma queue, de ta langue caressant mon gland gonflé de désir... Je bande à l'idée de croquer tes fesses délicieuses... Je bande en songeant à ma langue caressant ton clito, à ta main caressant ma nuque… Je bande à l'idée de nous regarder dans le miroir… Je bande à l’idée de baiser ton cul... Je bande à l'idée d'avoir les audaces que je n'ai pas eues...
Si loin déjà. Trop loin. Remettons ça.
jeudi 24 avril 2008
On se connait ?
C’est devenu une petite habitude, courante parait-il chez le bloggeur narcissique. Le matin en arrivant au boulot, juste après avoir salué mes collègues, bu le jus de chaussette qui nous sert de café en matant le cul de la secrétaire qui s’épaissit harmonieusement et trié mes mails, je consulte les statistiques de fréquentation de mon blog.
Des fonctionnalités offertes par mon logiciel de stat se dégagent quelques informations anecdotiques mais pas inintéressantes :
- Un peu plus de 44% des visites sur Tout le plaisir est pour moi proviennent directement de blogs « amis ». Depuis le 1er janvier 2008, le blog qui m’apporte le plus de visites est celui d’Elly, devant X-Addict et A@T. A noter une belle percée de Lilou ces dernières semaines.
- Un quart de mes lecteurs utilisent Firefox comme navigateur. Ce qui signifie qu’un lecteur sur quatre seulement voit mon blog sous son meilleur profil.
- Sans surprise, l’immense majorité des visiteurs proviennent de France et de Belgique. Et plus étonnant, d’Allemagne. Ce qui me froisse un peu en raison de ma germanophobie rampante, née malgré moi lors de la demi-finale de coupe du monde 82.
- Logiquement, une grosse partie de mon lectorat français habite en Ile de France. La province d’Ontario au Canada semble elle aussi particulièrement friande de coquineries.
- Un pourcentage non négligeable des petits cochons qui accèdent à mon blog en frappant des cochoncetés dans un moteur de recherche (pour ne pas faire de pub à Google) sont issus de pays que l’on imagine plutôt répressifs en matière de pornographie (Chine, Emirats Arabes Unis, Arabie Saoudite…)
Mais ce qui me détend plus que tout et m’offre quelques bonnes crises de rire, c’est la liste des mots-clés par lesquels les internautes de passage sont arrivés sur mon blog. Ils en disent si long et révèlent un lectorat on ne peut plus hétéroclite.
Il y a ceux qui jugent ce blog à sa juste valeur ("histoires pour se branler", "blog pour se branler"…) et ceux qui me confondent avec les pages jaunes ("étudiante 18 ans à baiser dans ascenseur", "adresses pour se branler ensemble"…), Gala ("Laurence Ferrari vit-elle seule") ou une célèbre encyclopédie en ligne ("quel fruit donne des envies sex").
Il y a des extra-terrestres ("Alain Juppé sexe symbole"), des étudiants en psycho ("personnalité de l’échangiste"), des mal baisées ("jeune fille voudrait avoir le plaisir du sexe"), des apprentis branleurs ("technique pour se branler dans le bain", "l’art de se branler"…), des gérontophiles ("récit de vieux sodomisé"), des philosophes en herbe ("le plaisir est dans l’attente"), des pervers ("je matte ma mère qui se déshabille elle me sourit").
Il y a des fétichistes ("hommes qui se branlent sur les vitres"), des femmes qui doutent de leur potentiel érotique ("pourquoi les hommes amoureux se branlent"), des hommes généreux ("échangeons nos femmes"), des traqueurs de double personnalité ("combien sont les kinky"), des gentils organisateurs ("rechercher participants pour partouze", "organisation d’une soirée baise").
Et peut-être …
PS : J'ai fait le choix de conserver les fautes d'orthographes d'origine.
Des fonctionnalités offertes par mon logiciel de stat se dégagent quelques informations anecdotiques mais pas inintéressantes :
- Un peu plus de 44% des visites sur Tout le plaisir est pour moi proviennent directement de blogs « amis ». Depuis le 1er janvier 2008, le blog qui m’apporte le plus de visites est celui d’Elly, devant X-Addict et A@T. A noter une belle percée de Lilou ces dernières semaines.
- Un quart de mes lecteurs utilisent Firefox comme navigateur. Ce qui signifie qu’un lecteur sur quatre seulement voit mon blog sous son meilleur profil.
- Sans surprise, l’immense majorité des visiteurs proviennent de France et de Belgique. Et plus étonnant, d’Allemagne. Ce qui me froisse un peu en raison de ma germanophobie rampante, née malgré moi lors de la demi-finale de coupe du monde 82.
- Logiquement, une grosse partie de mon lectorat français habite en Ile de France. La province d’Ontario au Canada semble elle aussi particulièrement friande de coquineries.
- Un pourcentage non négligeable des petits cochons qui accèdent à mon blog en frappant des cochoncetés dans un moteur de recherche (pour ne pas faire de pub à Google) sont issus de pays que l’on imagine plutôt répressifs en matière de pornographie (Chine, Emirats Arabes Unis, Arabie Saoudite…)
Mais ce qui me détend plus que tout et m’offre quelques bonnes crises de rire, c’est la liste des mots-clés par lesquels les internautes de passage sont arrivés sur mon blog. Ils en disent si long et révèlent un lectorat on ne peut plus hétéroclite.
Il y a ceux qui jugent ce blog à sa juste valeur ("histoires pour se branler", "blog pour se branler"…) et ceux qui me confondent avec les pages jaunes ("étudiante 18 ans à baiser dans ascenseur", "adresses pour se branler ensemble"…), Gala ("Laurence Ferrari vit-elle seule") ou une célèbre encyclopédie en ligne ("quel fruit donne des envies sex").
Il y a des extra-terrestres ("Alain Juppé sexe symbole"), des étudiants en psycho ("personnalité de l’échangiste"), des mal baisées ("jeune fille voudrait avoir le plaisir du sexe"), des apprentis branleurs ("technique pour se branler dans le bain", "l’art de se branler"…), des gérontophiles ("récit de vieux sodomisé"), des philosophes en herbe ("le plaisir est dans l’attente"), des pervers ("je matte ma mère qui se déshabille elle me sourit").
Il y a des fétichistes ("hommes qui se branlent sur les vitres"), des femmes qui doutent de leur potentiel érotique ("pourquoi les hommes amoureux se branlent"), des hommes généreux ("échangeons nos femmes"), des traqueurs de double personnalité ("combien sont les kinky"), des gentils organisateurs ("rechercher participants pour partouze", "organisation d’une soirée baise").
Et peut-être …
PS : J'ai fait le choix de conserver les fautes d'orthographes d'origine.
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